scolariser les enfants des roms
bonjour,
Rentrée scolaire 2012, des enfants de Roumanie sont dans la rue à mendier.
ça fait mal au coeur vû qu'ils sont venus en France dans l'espoir d'une vie meilleure.
De plus , il est excessivement regrettable qu'ils n'apprennent ni à lire ni à écrire.
Le gouvernement et les municipalités devraient se remuer
pour scolariser les enfants et trouver des solutions pratiques.
D'après le journal lillois "La voix du Nord", contrairement aux idées reçues,
ce ne sont pas des résaux mafieux qui obligent ces enfants à mendier
mais principalement la pauvreté.
Il faut trouver des solutions pratiques et souples (pourquoi ne pas scolariser
les enfants le matin et leur permettre de pratiquer la mendicité l'après-midi pour survivre)
Chacun a le droit au minimum vital d'éducation : savoir lire et écrire.
La Voix du Nord
vous pouvez prendre contact avec l'association AREAS
A+
Rentrée scolaire 2012, des enfants de Roumanie sont dans la rue à mendier.
ça fait mal au coeur vû qu'ils sont venus en France dans l'espoir d'une vie meilleure.
De plus , il est excessivement regrettable qu'ils n'apprennent ni à lire ni à écrire.
Le gouvernement et les municipalités devraient se remuer
pour scolariser les enfants et trouver des solutions pratiques.
D'après le journal lillois "La voix du Nord", contrairement aux idées reçues,
ce ne sont pas des résaux mafieux qui obligent ces enfants à mendier
mais principalement la pauvreté.
Il faut trouver des solutions pratiques et souples (pourquoi ne pas scolariser
les enfants le matin et leur permettre de pratiquer la mendicité l'après-midi pour survivre)
Chacun a le droit au minimum vital d'éducation : savoir lire et écrire.
La Voix du Nord
vous pouvez prendre contact avec l'association AREAS
A+
Cette discussion a été fermée.
Réponses
Désolé, mais si l'on veut secourir telle ou telle personne, prière de le faire sur ses deniers propres, et non avec nos impôts, qui sont déjà écrasants.
Par exemple, j'ai une amie ivoirienne dont je finance la formation, je ne tympanise pas les populations comme quoi c'est honteux que l'Etat français ne la finance pas.
Les roms ont une nationalité, qu'ils trouvent des solutions dans ce cadre, c'est mieux pour chacun. Ce n'est pas du repli sur soi, qu'ils viennent donc en touristes, à leurs frais, bienvenue. Mais on ne voit pas pourquoi nous Français nous viendrions en aide à toute la misère du monde, comme a dit M. Rocard.
Avec son endettement, la France est à bout de souffle, et je préfère que ses ressources soient consacrées à ses nationaux.
Il paraît que l'immigration est une chance pour la France, son économie, etc. Quel intérêt avons-nous à accueillir des mendiants non francophones ?
De plus, je ne sais pas ce que vient faire ce message sur un forum de math.
Bonjour.
RC
J'ai la vague impression que cette discussion va être fermée très prochainement (par Bibi ou quelque autre modérateur).
On est en France en 2012, il y a très peu de Roms sur notre territoire. Cette commnunauté a un passé de souffrances en Roumanie et certains de ses membres viennent en France pour chercher une vie meilleure. Avant que tout ça ne devienne un problème ethnique à la con,
noué et difficile, scolarisons leurs enfants , profitons-en puisque il n'y a pas de contentieux historique entre les français et les roumains. C'est facile d'être belliciste mais ensuite, comment tu raccomodes les peuples une fois séparés par l'Histoire ?
scolariser les enfants d'une petite communauté de quelques milliers d'âmes,
c'est quand même pas la mer à boire ?
A+
Sans parler du fond qui me semble fort peu mathématique, je suis toujours impresionné par la forme.
Dans notre belle république tous les hommes sont égaux, n'empêche, il n'y a pas si longtemps le vote de certains était fortement pondéré.
Les Rroms sont européens, dit on mais pas totalement ... dit on ailleurs.
Alors la seule chose que je demanderais à nos politiques est de préciser leur axiomatique, ensuite on pourra décider selon nos opinions, notre couleur politique, ... que sais-je.
A part ça j'ai toujours postulé qu'instruire quelqu'un, qui que ce soit, est un noble investissement.
J’aurais trouvé plus finaud de répondre en demandant si quelqu’un avait un lexique mathématique bilingue plutôt qu’en tentant de fermer le débat.
-- Schnoebelen, Philippe
Essaie de dire à un tel enfant "pourquoi n'es-tu pas à l'école" et tu vas voir il va déguerpir de peur d'être pris en situation fautive "officielle".
Maintenant, admettant que tu poses la question en des termes concrets "pourquoi on envoie pas un service professionnel les capturer pour les emmener à l'école de force" (pour leur rendre service), dans ce cas, tu devras aussi poser la même question à propos des écoles elles-mêmes: pourquoi une fois qu'on a mis un enfant à l'école, on ne l'oblige concrêtement pas à ce que cette école soit pour lui (et pour les autres) une "école". En effet, si tu mets des enfants contre leur gré dans dans une école sans prévoir qu'il y a des règles obligatoires à respecter, ça revient non seulement au même que si tu ne les y mets pas, mais en plus ça déscolarise les autres à cause de la destruction partielle de l'école qui en résulte (jusqu'à renvoi des nouveaux arrivants) équivalente à une déscolarisation de facto des autres.
La question que tu poses est donc globale et une partie seulement d'un certain iceberg.
Par contre, cette question n'a pas de sens dans la mesure où on a déjà de l'ordre de 40% des élèves qui ne sont de facto pas scolarisés bien qu'ils soient administrativement inscrits dans un lieu X et aillent physiquement dans un batiment avec un panneau école.
Un gamin dans la rue est en situation plus saine et plus neutre par rapport à sa vision de lui-même vis à vis du reste du monde qu'un gamin parqué dans de faux hangars qui servent de contrefaçons pour la vitrine
Les scolariser peut poser le problème d'une diminution de ressources.
Si leur situation économique est difficile, on pourrait demander aux enfants d'aller à l'Ecole un jour sur deux pour apprendre à lire et à écrire et l'autre jour à contribuer à leur Economie familiale.
Pratiquer la mendicité, c'est faire appel au secteur privé plutôt que de compter sur les aides sociales de l'Etat, aides sociales réduites à peau de chagrin.
Malheureusement, ce que dit Raymond n'est pas inexact, les caisses de l'Etat sont vides, l'époque des années 1970 où les travailleurs sociaux avaient un budget à distribuer, est (provisoirement?) révolue.
Mais attendez.... c'est vrai, les cours gratuit et accessible à tous cela existe déjà, il s'agit de l'EN. Nous avons d'ailleurs souvent des enfants dont les parents sont des gens du voyage. Pourquoi eux arrivent à scolariser leur enfant et les "Roms" n'y arrivent-ils pas ? Cela me semble une bizarrerie de mon point de vu.
Jusqu'à 16ans, il y a obligation de scolarisation comme le précise Christophe. Il "suffit" de faire les démarche et je pense que les associations pour les "Roms" connaissent les dites démarches à effectuer s'il s'agissait d'un problème.
Cordialement,
Il ne faut pas oublier que rien n'est gratuit. La prétendue gratuité de l'Education nationale, nous la payons par nos impôts, et l'on peut discuter le point de savoir si un étranger arrivant ici, et notammment s'il est un clandestin en situation irrégulière, doit bénéficier d'avantages qui sont la contrepartie des mpôts, taxes, cotisations que nous, Français, nous versons depuis des années.
Maintenant, je répète, si certains se sentent des âmes charitables, qu'ils donnent de leur temps ou de leur argent, individuellement ou dans le cadre d'associations, mais je ne vois pas pourquoi ces associations seraient subventionnées par mes impôts.
Et charité bien ordonnée commence par soi-même. On pourrait s'intéresser au sort des Français pauvres, qui passent après les autres dans leur propre pays.
D'accord avec Malot Philippe pour fermer cette discussion qui ne fait que ressasser tous les poncifs qu'on entend à longueur de journée dans les medias normalisés que nous subissons.
Pour le sujet du fil, comme je l'ai dit et comme l'a relevé Remi, de toute façon la question que tu poses, capesard, n'est pas une question concernant la loi puisque la loi a déjà tranché et demande que ces gamins soient à l'école. C'est une question concernant le réel
tu pourrais préciser,dans tes attaques ad hominem que j'ai un certain âge et que donc, , si l'on se réfère au désir d'enseigner et à la Morale non écrite du corps des enseignants, c'est peut être moins grave de ne pas travailler à l'Education à soixante ans, qu'à vingt-cinq ans. disons que je suis en fin de non-carrière :X
Avoir subi le travail forcé pour une communauté demande une "psychothérapie" pour revenir dans le cours productif de la vie.
Eric