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Après l'agrégation ?

Bonjour,

J'aimerais obtenir quelques précisions sur le devenir des agrégés de mathématiques.

1) Est-il possible d'enseigner à l'étranger ? Si oui sous quelles conditions, si non pensez-vous qu'un agrégé français obtiendrait facilement un diplome équivalent dans un autre pays ?

2) Est-ce vraiment difficile pour un agrégé d'obtenir un poste dans le supérieur (sans doctorat) ? Je ne parle pas des postes en prépa, je connais déjà la réponse et ça ne m'intéresse de toutes façons pas. En revanche je suis très intéressé par les postes en iut, bts, fac. Gérer des gamins ou des clowns, c'est vraiment pas ma tasse de thé. Je sais ce que vous allez répondre, mais je préfère gérer des grands gamins...

3) Connaissez-vous un site officiel qui publie des chiffres sur ce concours ? Proportions d'admis et d'admissibles par rapport au nombre d'inscrits, ... J'étais déjà tombé sur un site qui permettait de calculer le salaire d'un certifié, d'un agrégé, d'un maitre de conférence, d'un professeur, ... en fonction de l'ancienneté, avez-vous ce site sous la main ?

4) Quelle marge de manoeuvre possèdent les enseignants dans le choix de leur premier établissement de travail ? Peut-on être "obligé" de travailler en ZEP par exemple ?

C'est tout pour aujourd'hui. Par avance merci.

Réponses

  • Salut!

    4) Pour la ZEP après le stage, c'est pas impossible du tout... Et malheureusement, c'est surtout les nouveaux enseignants (agrégés ou non) qui y vont!
  • 1. Oui, il est possible d'enseigner à l'étranger mais il faut bien se dire qu'un certifié revient moins cher au ministère qu'un agrégé; chaque année, vers novembre, le BO publie une liste de poste à l'étranger avec les profils demandés; tu peux aussi aller sur le site de l'AEFE
    2. Pour un IUT ou la FAC, je pense qu'il vaut mieux connaitre du monde ou avoir déjà enseigné en tant que vacataire (pour passer du secondaire au supérieur); en tt cas, je connais qq personnes qui avait déjà un pied dans le supérieur en plus de leur enseignement en lycée.
    3. les rapports de jury mettent toutes les stats des concours; ils sont téléchargeables sur le site de l'EN
    4. Evidemment, un agrégé peut se retrouver en collège... c'est même quasiment certain s'il est débutant célibataire (je connais des collègues agrégés de 50 ans qui ont obtenu un poste en collège !). Cependant, si tu termines dans les 20 premiers de l'agrégation externe, je doute que l'inspection générale laisse échaper ton savoir pour un collège...
  • Merci, c'est bien ce que je craignais. Et qu'est-ce qui se passe si je m'obstine à refuser des établissements qui ne me plaisent pas, types collèges et zep ?

    Tous les autres avis sont les bienvenus :)
  • "...Et qu'est-ce qui se passe si je m'obstine à refuser des établissements qui ne me plaisent pas, types collèges et zep ?.."

    Bonsoir,

    Je ne crois pas que cela soit possible ; il y a une forte probabilité de mise en demeurre du statut, il me semble.
  • La question est : comment comptez vous vous y prendre pour refuser une affectation ? L'agrégation est un concours de recrutement d'enseignants du secondaire et du premier cycle, donc vous etes susceptible d'avoir toute classe de la 6 eme à la MP*.

    "Gérer des gamins ou des clowns, c'est vraiment pas ma tasse de thé. Je sais ce que vous allez répondre, mais je préfère gérer des grands gamins..."

    Je ne sais pas si les grands gamins valent mieux que les petits, honnetement. Si vous aimez vraiment travailler avec les grands, faites une thèse (en demandant un report) et devenez maitre de conf, c'est une solution possible.
  • La thèse, c'est sans doutes l'idéal Ben. Malheureusement le devenir des docteurs en mathématiques me parait encore plus obscure que celui des enseignants du secondaire, dans la mesure où ces derniers sont au moins sûr de décrocher un emploi ... un docteur ne peut pas en dire autant !

    C'est quand même aberrant, qu'après tant d'années de travail, d'acharnement et finalement de réussite, le nouvel enseignant n'ait même pas son mot à dire quant au choix de son établissement de travail...

    Les petits ne valent peut-être pas mieux que les grands, par contre j'imagine qu'une année enfermé dans une classe de petits 6èmes déchainés, ça doit en partie au moins lobotomiser le cerveau !
  • Bonjour jack39,

    J'espere me tromper mais en lisant entre les lignes de ton precedent message, j'ai l'impression que tu as choisi l'agreg parce qu'il s'agit d'une assurance contre le chomage et que finalement enseigner n'a pas l'air de te plaire plus que ca, surtout si les conditions sont un peu plus delicates. Dis-moi que je me trompe...
    Parce que si ce n'est pas le cas, compte-tenu de l'offre sur le marche du travail pour des profils scientifiques, je ne comprendrais pas pourquoi tu ne t'orienterais pas vers cette voie la.
    Mais j'espere etre a cote de la plaque.

    All
  • Bonjour,

    Il faudrait aussi avoir conscience qu'on a certainement pas plus de liberté dans le privé que dans l'enseignement; alors qu'on en est pas moins méritant évidemment. Il ne faut pas croire que parcequ'on est bardé de diplôme, on choisi son boulot, son entreprise et l'endroit où on travaille, et ses collegues !!! On prend se qu'on trouve et on fait avec les circonstances. Beaucoup de secteur d'activité ne sont présents que dans une seule région (Parisienne par exemple); on peut être muté et on a rien à dire (tout les contrats de cadres ont une clause de mobilité souvent Européenne), son travail change au gres des réorganisations (j'ai travaillé dans une boite où c'était tous les 6 mois); et vous devez gerer vos chefs, parfois vos clients, vos collegues aigris (et meme rester des années 10 heures par jours dans le meme bureau que quelqu'un à qui vous n'auriez meme pas envie de dire bonjour dans une soirée). Alors l'éducation Nationale n'est peut-être pas le paradis dont vous rêvez, mais il y a peu de chance que vous soyez les rois du pétrole dans le privé, pesez bien le pour et le contre.
  • Oui dido, tu as raison, le prive ce n'est pas toujours la panacee (loin s'en faut). Mais avec de bons diplomes et dans certains secteurs on choisit son boulot (et donc ses collegues, chefs)... pour peu qu'on soit un peu mobile. En ce qui me concerne, j'ai du m'exiler a Londres pour trouver un boulot dans lequel je m'amuse. Et le jour ou ca ne me plaira plus, je traverse la rue et je vais bosser chez le voisin. Bon c'est vrai que le jour ou je serai marie avec marmots, je ferai moins le malin mais c'est rarement le cas d'un jeune agrege, non?
    Ce qui m'ennuie, c'est de voir un contingent non negligeable choisir l'EN par souci de securite. Parmi ceux-ci, certains peuvent etre de tres bons profs et se reveler in situ, mais la plupart des autres le vivent mal (ne faut-il pas etre extrement motive pour aimer son metier dans un contexte parfois violent tout en reportant a une bureaucratie kafkaienne?)... Et il n'y a rien de pire qu'un prof malheureux qui deverse son aigreur sur ses eleves.

    All qui, comme Toto le Zero, espere ne pas dire trop de betises.
  • All,

    Tu as beaucoup de chance pour l'instant, c'était aussi mon cas au début (j'étais dans les télécoms, bien que je n'ai jamais eu le choix de mon chef, je savais que j'en changerais rapidement); et puis ça a bien changé, c'est un secteur qui n'est plus du tout le paradis maintenant. Mon propos n'est pas non plus de dire que le privé est l'enfer, certains y sont fort heureusement très heureux. Simplement qu'il ne faut pas trop jouer les enfants gâtés et cracher dans la soupe de l'EN sans avoir bien réfléchi à ce qu'on pourrait avoir ou ne pas avoir ailleurs. En résumé, je suis entierement d'accord avec toi, il faut choisir un travail parcequ'on l'aime et qu'on aime l'environnement dans lequel on l'effectue, c'est indissociable; si on aime l'enseignement, mais qu'on n'aime pas l'idée d'avoir 30 enfants en face de soit, alors mieux vaut aller travailler pour Learning Tree par exemple (bon, pour y enseigner les maths, c'est difficile....). Je ne dénigre pas ceux qui veulent la sécurité de l'emploi, mais alors il faut avoir fait le deuil d'un certains nombre de choses (par exemple le salaire) parcequ'on peut rarement avoir le beure et l'argent du beure et qu'il vaut mieux aller là où il y a le meilleur compromis et essayer d'y être heureux. Je trouve ça inquiettant qu'on puisse déjà se plaindre d'un travail qu'on a choisi avant même d'avoir travailler, il faut penser que vous aller le faire pendant peut-être 40 ans !
  • Oui Dido,

    Suis d'accord avec toi, c'est bien dommage de se plaindre d'un travail avant meme de l'avoir commence. Par ailleurs, c'est vrai que j'ai de la chance de bosser dans un secteur qui marche bien et ca peut s'arreter a tout moment. J'espere quand meme que ca va continuer a marcher un certain temps quand meme. En ce qui concerne les telecoms, il y avait une vraie bulle autour de ce secteur. Je ne pense pas que ce soit vrai, ou tout au moins aussi manifeste dans la finance. Enfin, j'espere pas... sinon y'a du monde k'a du souci a's faire.
    J'ai cru lire que tu passes l'agreg cette annee. J'espere que ca c'est bien passe. Bonne chance,

    All
  • All, ce qui me gène c'est de ne pas pouvoir imposer au système mes goûts en matière d'établissement. Enseigner, c'est un bien grand mot. Je ne veux pas faire carrière dans l'enseignement au collège, je suis persuadé que je ne pourrais pas m'y épanouir. D'une part, parce que je n'aime pas les gamins (je n'y peux rien c'est comme ça... un gosse ça mérite essentiellement des baffes...), et d'autre part je suis persuadé qu'à la longue, classe de collégiens rime avec viscosité mentale.

    Je prends beaucoup plus de plaisir à expliquer des concepts plus profonds, parce que je suis plus sensible à ce type de relation prof/élève, où le cours prend de l'importance, où il est suivit avec attention, où le prof est traité avec respect, où les élèves osent poser des questions intéressantes.

    Je ne rentre pas dans une salle de classe pour me marrer, le problème c'est que c'est la motivation principale des jeunes élèves. Par conséquent on n'est pas du tout en phase, eux riraient pour un rien pendant que moi j'observerais le pathétique de la scène. Situation tragique, à éviter vous en conviendrez...

    Si je souhaite passer l'agrégation, c'est pour avoir la possibilité d'enseigner dans le supérieur, et seulement pour cette raison. J'aime enseigner à des gens curieux, et il est clair que le programme post-bac incite plus à la curiosité (au moins à la réfléxion) que le programme du collège et du lycée.

    Je donne quelques cours de soutien à des collégiens et à des lycéens, et même si on est que 2 pendant les cours, à chaque fois je pourrais leur demander "si ça t'emmerde ce que je raconte on peut s'arrêter là". Hors de question d'en avoir 30 des comme ça en même temps. Même un part un, ça doit être un véritable suplice.
  • C'est vrai que les télécom était du vent, j'en ai bien profité et il faut savoir passer à autre chose.
    Merci All, l'agreg ne c'est pas bien passé, mais c'est normal, je venais de trop loin. Ce n'est pas si grave, j'ai réussi le capes l'année derniere, donc je vais de toute façon enseigner (et c'est ce que je veux faire, même si je suis moi aussi inquiète de savoir comment ça va se passer face à 30 ou 40 gamins !), l'agreg était plus une question de vie plus confortable et de satisfaction personnelle à me donner des défis.
    Je ne sais pas si c'est le cas de ceux qui ont commencé ce post, mais il me semble que certains passent l'agreg parcequ'ils aiment les maths et pour la beauté du "tître". Si je peux me permettre un conseil, j'ai passé plusieurs années à faire un boulot que je détestais, et ni le salaire et un certain "statut" ne pouvait me consoler de passer mes journées à faire quelque chose qui pour moi n'avait aucun sens. Ne vous laissez pas mener par la beauté d'un titre ou d'un dîplome, un bout de papier ne vous rendra pas heureux plus que quelques heures; choisissez un métier que vous pouvez aimer même s'il a l'air moins prestigieux.
  • @ jack39
    Je pense qu'on peut faire beaucoup de réflexion avec les programmes de l'école primaire, avec les programmes du collèe et du lycée.
    Prenons un exemple très simple : saurais-tu expliquer clairement le " pourquoi" de la technique d'une multiplication 234,5 X 24,5
    pourquoi décale-t-on les nombres après la seconde ligne, le sens des retenue ( plus facile) , pourquoi compte-t-on les nombres de chiffres arès la virgule...
    Par contre c'est clair que ce n'est pas du tout la réflexion que l'on mène en licence etc... Et alors c'est quand même une réflexion mathématique ! Même si elle aparait très facile, elle ne l'est pas tant que cela.
    Susciter la curiosité d'un collègien est assez facile( surtout en 6eme), il suffit de choisir de bons problèmes. Par contre réussir à aprofondier une notion c'est un peu plus dur ( en tout cas c'est ce que je vis...)


    "D'une part, parce que je n'aime pas les gamins (je n'y peux rien c'est comme ça... un gosse ça mérite essentiellement des baffes...)"

    Je pense qu'il n'y a rien de pire qu'un enseignant qui n'aime pas les gamins, je te souhaite ( et leur souhaite) que tu n'en aies pas. Au fait un enfant cela merite essentiellement de l'amour et de la fermeté....

    "Je ne rentre pas dans une salle de classe pour me marrer, le problème c'est que c'est la motivation principale des jeunes élèves. Par conséquent on n'est pas du tout en phase, eux riraient pour un rien pendant que moi "
    Personnellement si je ne rigole pas avec mes collègiens un peu de temps en temps, je démissionnerai !


    Un agrégé au collège qui ne souhaite pas demander une mutation...
  • jack39, Il me semble que tu dois absolument faire une these pour enseigner en université, ça serait une catastrophe si tu enseignais à des jeunes.
    Personnelement, j'ai choisi les maths un peu par accident, j'ai envie d'enseigner d'abord, j'ai des enfants petits, et je trouve que le processus d'apprentissage est passionnant, et j'ai choisi les maths car ça m'était plus facile, j'aurais aussi pu être prof des écoles, je suis sure que ça doit être passionnant, mais je n'étais pas sure d'avoir le niveau en Français/grammaire. Je ne sais pas si j'ai raison, mais il me semble que pour être prof en college ou lycée il faut d'abord avoir envie d'enseigner, la matiere vient ensuite.
  • Bonjour,

    Je souhaite passer l'agrégation de mathématiques l'année prochaine afin d'enseigner en classes préparatoires. Quel classement faut-il viser pour obtenir un tel poste ?
    J'ai en outre un diplôme d'ingénieur (Polytechnique) et un doctorat en mathématiques appliquées. Cela peut-il entrer en ligne de compte pour une première affectation ?

    Merci d'avance pour vos réponses.
  • Doctorat + X : de tels atouts sont bien évidemment pris en compte.
    Mais, ce qu'il faut également, c'est :
    1. obtenir l'agrégation...
    2. ...avec un très bon rang (disons dans les 30-40 premiers à l'externe)
    L'IG apprécie également lorsque le contact avec l'enseignement supérieur n'a pas été rompu (colles par ex).
  • All a écrit:
    "pas le cas, compte-tenu de l'offre sur le marche du travail pour des profils scientifiques, je ne comprendrais pas pourquoi tu ne t'orienterais pas vers cette voie la.
    Mais j'espere etre a cote de la plaque."

    Que pensez vius du marcher du travail en mathématique appliqué???
    Facile a trouver??? bon salaire??? il faut quitter la france?? , se reconvertir en informatique generale???

    Merci

    Soonix
  • > Laurent,

    Avec ton cursus (X + expérience de recherche), tu as un profil qui intéressa fortement les IG. Reste à avoir l'agreg, si possible correctement classé et tu auras un poste. Après, cela dépend de tes exigences géographiques et de filière mais tu n'as pas trop de souci à avoir à mon avis.

    Argwella
  • perso, je suis prof collège et j'aime bien, et je peux vous dire que je fais des maths dt l'heure, j'ai de bonnes classes il est vrai mais le fait de leur apprendre qq chose me passionne, les élèves sont très réceptifs à) l'effort par le prof aussi, voyant que je m'investis, ils le font aussi. Des élèves font plus d'exos que ceux que je donne. On revoit des choses intéressantesn, ex: angles alternes-internes, etc.... Je passerai l'agrég très rapidement mais pas forcément pour changer d'établissement. Je privilégie le bien-être et l'ambiance entre collègue et avec élèves.
  • >> Je souhaite passer l'agrégation de mathématiques l'année prochaine afin d'enseigner en classes préparatoires. Quel classement faut-il viser pour obtenir un tel poste ?
    J'ai en outre un diplôme d'ingénieur (Polytechnique) et un doctorat en mathématiques appliquées. Cela peut-il entrer en ligne de compte pour une première affectation ?

    Si tu deviens agrégé l'an prochain tu pourras envisager de demander un poste en prépa. Les critères que tu avances seront pris en compte dans le tri des candidats. Mais compte tenu du peu de postes, tu risques de ne pas avoir immédiatement ce type de poste.
    Et donc une affectation en collège ou lycée, et ZEP ou pas ZEP, ça peut être difficile selon le type de classe. Adieu les familles libres et génératrices de classes prépa. Quand un ado de première te met sur sa copie 1/12 + 1/12 = 2/24... et perturbe le cours, ce sera à toi de t'adapter.
    Si tu restes sur la région parisienne, un lycée sera facile à obtenir. Les classes section S sont demandées par des collègues plus anciens.
    Si tu demandes une mutation hors région parisienne, tu risques de te retrouver en collège à l'issue de l'intra.

    Reste à demander le statut de TZR, on t'affecterait en lycée général prioritairement, mais là encore ça dépend des besoins : on a déjà tout vu, une fois il manquait un poste de PLP, alors on a demandé à un jeune agrégé TZR s'il voulait prendre le poste, et il a accepté.

    Pour les affectations dans le privé, je ne sais pas trop comment ça marche. Je sais que Bisam est dans ce cas, peut-être pourra-t-il t'en dire plus. Mais une fois dans le privé, je ne sais pas si on est titulaire du poste, comment on demande une mutation, si on peut réintégrer le public etc...
  • Argwella

    C'est pas parce que Laurent a un bon dossier qu'il obtiendra un poste *tout de suite*.

    Le choix est laissé à la discrétion de l'IG, et l'IG dispose de beaucoup de profils intéressants.
  • Je suis dans la meme situation que jack39 : je préfère ne pas enseigner que d'enseigner en collège/lycée.

    J'ai eu l'agreg l'année dernière et la je fait une thèse, mais malheureusement, je ne suis pas sur du tout d'avoir un poste dans le supérieur.
    En fait je crois que j'ai choisit cette voie car j'aime les maths, pas parce que j'aime enseigner
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