Il est impossible d'infirmer la conjecture de Goldbach pour toute limite suivantes $2n +2$; ayant été vérifiée lors des limites précédentes > 6 : $2n - 2, 2n - 4 , 2n - 6$ etc $2n - k$ avec $k$ entier naturel positif fixé.
Sans les multiples de 2 , 3 et 5 ; Il en est de même par famille d'entiers de la forme $30k + i$ , avec $i\in (1,7,11,13,17,19,23,29)$ ; donc sans les nombres premiers 2,3 et 5.
Pour ce faire , on a besoins de l'algorithme de Goldbach , qui contrairement à Ératosthène va cribler les entiers naturel $A\equiv{2n}[P]$ de 1 à n , avec P premiers >5 , et tel que $P\leqslant\sqrt{2n}$
On utilise donc les congruences , suivant le principe d'Ératosthène : On part de l'index du reste $R$ de $2n$ par $P$ pour marquer 0 tous les $A\equiv{2n}[P]$ par pas de $P$ jusqu'à la limite $n$ qui a été fixée.
Il est évident qu'il est inutile avec cette propriété, de cribler jusqu'à la limite $2n$.
Ce n'est pas le résultat du crible qui compte ou qui permet d'affirmer : qu'il est impossible d'infirmer cette conjecture .
Mais sa propriété récurrente liée à son principe de fonctionnement dans les congruences.
je t'ai envoyé un mp , si tu veux , comme je l'ai demandé à deux autres personne du forum, je peut t'envoyer ce petit document , où il serait simple de vérifier mon raisonnement , sur les deux premières pages , qui traite simplement des entiers naturels impairs $A< 100$
Fixons la limite n = 100 ; 2n est la somme de deux nombres premiers (p’+ q), si et seulement si, p’≢2n [P]. avec p' premier < 100.
P = 3, 5, 7, 11, 13 et les restes R de la division de 200 par P = 2, 0, 4, 2, 5 . si R%2 == 0 on fait R+P, sinonR+2P , puis modulo 2P pour marquer jusqu'à la limite n fixée les $A\equiv{2n}[P]$.
Pour toi l'algorithme que tu n'as jamais compris se résume à : Je ne comprends pas comment on utilise les congruences pour cribler, donc ça ne veut rien dire .
Alors qu'est-ce-que tu viens foutre avec tes interventions inutiles ... (Tout le reste (donc le criblage), ce sont des mots posés là, aléatoirement ), car tu es incapable de comprendre l'évidence de ce criblage... Tu vas bientôt nous sortir, que le crible d'Ératosthène crible aléatoirement ... C'est bon on t'a compris !
Désolé @Poirot , mais si tu me relis bien , je n'ai jamais dit que l'algorithme "son résultat" ne saurait en aucun cas valider une conjecture. J'utilise une propriété récurrente liée au fonctionnement de l'algorithme de Goldbach. Ce qui n'est pas du tout le cas de l'algorithme d'Ératosthène qui n'a aucune propriété particulière . Si tu cribles avec Ératosthène jusqu'à la limite n = 100 , si tu recommences avec n = 101; les multiples de P sont les même et il ne se décalent pas d'un rang. Crible donc avec l'algorithme de Goldbach , qui utilise les congruences en partant du reste R de 2n par P, pour les mêmes limites... Ne vient pas me dire pour la limite n+1, que les congruences ne se décalent pas d"un rang ... Un Hurluberlu n'est pas pour autant aveugle . L'algorithme, vous l'avez seulement utilisé , pour vérifier ...? Même si c'est un Hurluberlu qui l'a découvert ...
Même si vous ne comprenez pas pourquoi il y a cette propriété récurrente du décalage d'un rang des congruences, pour satisfaire à une égalité élémentaire, ou pourquoi le nombre de solutions qui vérifient la conjecture, augmentent lorsque $n$ tends vers l'infini, avec un effet boule de neige, c'est votre problème ...
Je n'ai pas implémenté ton "algorithme" car tu nous sors un charabia incompréhensible (pourquoi utiliser le mot limite partout par exemple ?). Le jour où tu chercheras à communiquer, fais-moi signe. Pour l'instant, tu nous sors juste le discours classique du génie incompris. Et si tu veux mon avis, tu as tout du génie incompris, à part le génie.
Je connais la conjecture de Goldbach, mais je ne connais pas sa version forte.
Samok voici les deux versions: * Conjecture forte de Goldbach : nombre pair= somme de deux nombres premiers * Conjecture faible de Goldbach : Nombre impair= somme de trois nombres premiers.
Tu étais certainement compétent dans ton métier, personne ne remet ça en question. Mais en maths, tu ne l'es pas. Tu ne fais pas une démonstration, tu dis : ça marche toujours. Tout comme GoldBach lui même disait : ça marche toujours.
Tu me dis, j'oublie. Tu m'enseignes, je me souviens. Tu m'impliques, j'apprends. Benjamin Franklin
Mais en maths, tu ne l'es pas. Tu ne fais pas une démonstration, tu dis : ça marche toujours.
Tu as raison pour ta première affirmation. J'ai d'ailleurs à plusieurs reprises expliqué pourquoi. Mais je ne dis pas : ça marche toujours. Je n'ai pas arrêté de dire que le résultat de l'algorithme ne sert à ""rien"". Ce n'est pas ce qui compte, pour prouver que la conjecture ne peut être infirmée.
N'empêche, quelles sont les étapes à suivre et les revues adéquates et fiables. Merci
Si tu cherches à publier dans une revue sérieuse de mathématiques, alors tu peux juste envoyer ton manuscrit à l'éditeur en chef de la revue. En général, c'est préférable de l'envoyer d'abord à un spécialiste du domaine qui pourra te conseiller sur la mise en forme de l'abstract et de la bibliographie (ça permet d'éviter le plagiat malencontreux par des amateurs ignorant les avancées dans le domaine). Ces spécialistes, tu les trouveras quand tu feras ta propre recherche sur l'état de l'art (ce qui est primordial).
Pour ce qui est des revues importantes, si tu as rédigé en français, peut-être que le journal de théorie des nombres de Bordeaux serait une bonne option.
Mais si tu ne contactes pas un spécialiste au préalable, il y a de grandes chances que ton manuscrit ne soit même pas lu et considéré (car présumé faux).
LEG si j'ai bien compris tu as juste "trouvé" une façon alambiquée de dire que tu as "trouvé" (làa il n'y a rien à trouver) un algorithme pour tester jusqu'à n la conjecture de Goldbach ? Ou tu as seulement démontré ou réfuté la conjecture de Goldbach ?
@Quentino37 : démontré qu'il est impossible d'infirmer la conjecture de Goldbach pour la limite $n+1$ suivante , c'est-à-dire : il est impossible de dire que pour $2n +2$, il n'existe aucune solution qui décompose $2n+2$ en somme de deux nombres premiers.
Toujours le même galimatias. On ne sait pas qui est n (il n'y a pas de n dans la conjecture !!). Et le baratin additionnel (évoquer les grands théorèmes sans les utiliser, argument purement rhétorique, digne d'un camelot de foire).
Quentino : Ça fait des années que LEG nous sert la même soupe, sans jamais sortir une preuve sérieuse ("J'ai suffisamment bien gagné ma vie, sans m'em......, à apprendre les Maths !"). Inutile de lui demander autre chose que sa prétention absurde d'avoir démontré quelque chose.
C'est dingue comme le crible de Goldbach est un outil simple et impressionnant à la fois. Je vois déjà des applications dans la démonstration de la conjecture de Collatz. Chapeau bas @LEG Les mathématiciens ne sont pas encore prêts à ce qu'un simple amateur ait résolu une conjecture aussi réputée difficile. Mais ton heure de gloire viendra LEG où ton nom restera à la postérité.
Oui, mais lorsque j'ai rencontré Gregory Perelman au Québec , lors d'un congrès de Mathématiques à Chicoutimi en 2019 , il m'a surtout recommandé de modifier certaines explications et de ne pas la publier ! Car vue mon niveau de Maths , j'allais faire énormément de malheureux dans votre communauté Mathématique ...
Didier Deschamps l'avait aussi contacté pour renforcer l'équipe de France au Qatar, mais "J'ai suffisamment bien gagné ma vie , sans m'em......, à apprendre les règles du football".
@noobey J'attire quand même ton attention sur ce décalage d'un rang des congruences lorsque tu cribles jusqu'à la limite suivante $n+1$ , comme on peut le voir avec l'illustration du document et expliquée ci dessus . Que cela serait suffisant pour justifier la démonstration de la conjecture, c'est à dire même si on constate très bien avec ce décalage , qui est récurrent et qui t'empêche de dire que 2n+2 , 2n+4 , 2n+6 , 2n+8 ; ne pourrait pas avoir de solutions , puisque tu connais déjà le résultat sans avoir besoins de cribler en utilisant simplement ce décalage d'un rang récurrent... ça ne justifie pas complètement la démonstration.
Tu dis : il est impossible d'affirmer que pour 2n+2, il n'y aura pas de décomposition. C'est exactement ce que disait Goldbach : il est impossible de conclure. Lui savait qu'en disant ça, il ouvrait une question, et toi , tu crois qu'en disant ça, tu réponds à la question. Ce n'est pas la seule différence entre ce que lui disait, et ce que tu dis, tu ajoutes tout un tas de trucs totalement confus.
Je sais que tu vas rester persuadé que tu as démontré cette conjecture, je n'espère même plus déclencher une toute petite lumière dans ton cerveau.
Tu me dis, j'oublie. Tu m'enseignes, je me souviens. Tu m'impliques, j'apprends. Benjamin Franklin
Pourquoi tu t'acharnes alors , à vouloir me convaincre à tous prix ..? Goldbach disait que pour 2n >6 tout entiers pairs peut s'écrire comme la somme de deux nombres premiers.. Ce qu'il faut donc démontrer.
Moi j'affirme qu'il est impossible d'infirmer cette supposition,
Tu me demandes si le point 2a est vrai ou faux. Ou de prouver que le point 2a serait faux. Je ne sais pas te répondre. Et ce n'est pas un aveu de faiblesse, au contraire, je le revendique.
Si je te dis : Le cheval d'Henri IV était blanc : tu sais dire si c'est vrai ou faux. Le cheval d'Henri IV était vert à pois rouge : tu sais dire si c'est vrai ou faux. Henri IV cheval le blanc était : sais tu répondre si c'est vrai ou faux ? Je ne pense pas. On n'est pas dans le registre vrai contre faux, on est dans un autre registre. Ce n'est ni vrai, ni faux, c'est juste dénué de sens. Et de même, pour les mêmes raisons, je ne sais pas dire si le point 2a est vrai ou faux, il est juste dénué de sens. Des mots mis aléatoirement les uns à côté des autres donnent rarement des phrases sensées.
Tu me dis, j'oublie. Tu m'enseignes, je me souviens. Tu m'impliques, j'apprends. Benjamin Franklin
Ben , il n'a pas besoins de lire , sa parole est suffisante ... Il a fait la même réflexion il y a un peu plus de 3 ans : J'avais affirmé que si un entier ("impair") $A\not\equiv{2n}[P]$ et $< n$, précède un entiers $A +2$, un nombre premiers $< n$ alors $2n +2$ se décomposera en la somme de deux nombres premiers : $(A+2) + q$ Réponse : quelque soit ta démonstration, je sais d'avance quelle sera fausse !
Toi et d'autres m'avez finalement, demandé de prouver mon affirmation, que je ne coulais pas vous indiquer ... vous laisser chercher etc. C'était une égalité qui se prouvait de façon élémentaire, la même que j'utilise toujours dans ce document.. Qui est aussi la raison du point 2_a) si la conjecture est fausse ; puisque cela entraînerait l'absent de décalage dans les congruences pour la limite suivante $n+1$... Mais peut importe ce serra faux, parole de lourrran ! Bonne continuation...
Bonjour, @gebrane Je pars de statistiques fréquentistes sur l'historique des démonstrations correctes de conjecture par des amateurs, cela me donne une valeur à priori. Ensuite, je fais un peu de statistiques baysiennes pour combiner avec les informations apportées par l'amateur en question : y a t'il des références aux publications sur ce sujet ? y a t'il un problème d'égo qui transparait dans sa prose qui justifierait des prétentions exagérées ? ses textes mathématiques sont-ils suffisamment structurés pour que j'ai envie de les lire ? Une fois le bilan fait, j'en déduis généralement qu'il y a plus de chance que je gagne au loto en ramassant un billet tombé par terre par hasard que de lire une démonstration de conjecture correcte dans shtam. Du coup je vais me promener pour chercher ce billet ce qui est bon pour ma santé au lieu de perdre mon temps à lire l'amateur en question qui ne se remettra généralement pas en question
In mémoriam de tous les professeurs assassinés dans l'exercice de leurs fonctions en 2023, n'oublions jamais les noms de Agnes-Lassalle et Dominique-Bernard qui n'ont pas donné lieu aux mêmes réactions sur ce forum (et merci à GaBuZoMeu)
Tu me demandes si le point 2a est vrai ou faux. Ou de prouver que le point 2a serait faux. Je ne sais pas te répondre. Et ce n'est pas un aveu de faiblesse, au contraire, je le revendique.
Au moins on est d'accord sur un point, tu ne peux rien affirmer sur le point 2_a), c'est mieux que rien, ou incompréhensible ce qui, je veux bien le comprendre, si tu ne connais pas la propriété de l'algorithme... (je vais d'ailleurs modifier (rajouter) un supplément à ce point en question...
pour toi , c'est évident que ce point 2a) est dénué de sens, puisque tu ne comprends pas l'algorithme ! Donc qui d'après toi, est dénué de sens ... il y a longtemps que je l'ai compris.
Leg, tu vas nous faire une preuve en expliquant chaque mot mathématique que tu utilises (pas de "limite", "algorithme" (le quel), etc... on est trop mauvais pour comprendre XD
Réponses
@noobey , en ce qui me concerne ,:
Il est impossible d'infirmer la conjecture de Goldbach pour toute limite suivantes $2n +2$; ayant été vérifiée lors des limites précédentes > 6 : $2n - 2, 2n - 4 , 2n - 6$ etc $2n - k$ avec $k$ entier naturel positif fixé.
Sans les multiples de 2 , 3 et 5 ; Il en est de même par famille d'entiers de la forme $30k + i$ , avec $i\in (1,7,11,13,17,19,23,29)$ ; donc sans les nombres premiers 2,3 et 5.
Pour ce faire , on a besoins de l'algorithme de Goldbach , qui contrairement à Ératosthène va cribler les entiers naturel $A\equiv{2n}[P]$ de 1 à n , avec P premiers >5 , et tel que $P\leqslant\sqrt{2n}$
On utilise donc les congruences , suivant le principe d'Ératosthène : On part de l'index du reste $R$ de $2n$ par $P$ pour marquer 0 tous les $A\equiv{2n}[P]$ par pas de $P$ jusqu'à la limite $n$ qui a été fixée.
Il est évident qu'il est inutile avec cette propriété, de cribler jusqu'à la limite $2n$.
Ce n'est pas le résultat du crible qui compte ou qui permet d'affirmer : qu'il est impossible d'infirmer cette conjecture .
Mais sa propriété récurrente liée à son principe de fonctionnement dans les congruences.
je t'ai envoyé un mp , si tu veux , comme je l'ai demandé à deux autres personne du forum, je peut t'envoyer ce petit document , où il serait simple de vérifier mon raisonnement , sur les deux premières pages , qui traite simplement des entiers naturels impairs $A< 100$
Fixons la limite n = 100 ; 2n est la somme de deux nombres premiers (p’+ q), si et seulement si, p’≢2n [P]. avec p' premier < 100.
P = 3, 5, 7, 11, 13 et les restes R de la division de 200 par P = 2, 0, 4, 2, 5 . si R%2 == 0 on fait R+P, sinon R+2P , puis modulo 2P pour marquer jusqu'à la limite n fixée les $A\equiv{2n}[P]$.
[code]
1, 3, 5, 7, 9, 11, 13, 15, 17, 19, 21, 23, 25, 27, 29, 31, 33, 35, 37, 39, 41, 43, 45, 47, 49, 51, 53, 55, 57, 59, 61 (en gras les p')
[...3…..7...9…….13……….19..21………..27………..33……37……….43………....49..51…………...61] (entiers A premiers ou pas, non congruent à P)
63, 65, 67, 69, 71, 73, 75, 77, 79, 81, 83, 85, 87, 89, 91, 93, 95, 97, 99 , soit 25 p’ < n
[63……….69…….73………………………..87…….91..93…...97..99 ] , soit 22 A≢2n[P] dont 9 p’≢2n[P] et 12 A ≠ p’
[/code]
Je t'ai envoyé un MP
vous pouvez réfléchir
Pour toi l'algorithme que tu n'as jamais compris se résume à :
Je ne comprends pas comment on utilise les congruences pour cribler, donc ça ne veut rien dire .
Alors qu'est-ce-que tu viens foutre avec tes interventions inutiles ... (Tout le reste (donc le criblage), ce sont des mots posés là, aléatoirement ), car tu es incapable de comprendre l'évidence de ce criblage... Tu vas bientôt nous sortir, que le crible d'Ératosthène crible aléatoirement ...
C'est bon on t'a compris !
12 pages
J'utilise une propriété récurrente liée au fonctionnement de l'algorithme de Goldbach.
Ce qui n'est pas du tout le cas de l'algorithme d'Ératosthène qui n'a aucune propriété particulière .
Si tu cribles avec Ératosthène jusqu'à la limite n = 100 , si tu recommences avec n = 101; les multiples de P sont les même et il ne se décalent pas d'un rang.
Crible donc avec l'algorithme de Goldbach , qui utilise les congruences en partant du reste R de 2n par P, pour les mêmes limites...
Ne vient pas me dire pour la limite n+1, que les congruences ne se décalent pas d"un rang ... Un Hurluberlu n'est pas pour autant aveugle .
L'algorithme, vous l'avez seulement utilisé , pour vérifier ...? Même si c'est un Hurluberlu qui l'a découvert ...
Même si vous ne comprenez pas pourquoi il y a cette propriété récurrente du décalage d'un rang des congruences, pour satisfaire à une égalité élémentaire, ou pourquoi le nombre de solutions qui vérifient la conjecture, augmentent lorsque $n$ tends vers l'infini, avec un effet boule de neige, c'est votre problème ...
Merci
Pour le moment je l'ai rédigé format pdf.
Merci.
* Conjecture forte de Goldbach :
nombre pair= somme de deux nombres premiers
* Conjecture faible de Goldbach :
Nombre impair= somme de trois nombres premiers.
Cordialement.
Mais en maths, tu ne l'es pas. Tu ne fais pas une démonstration, tu dis : ça marche toujours.
Tout comme GoldBach lui même disait : ça marche toujours.
Mais je ne dis pas : ça marche toujours.
Je n'ai pas arrêté de dire que le résultat de l'algorithme ne sert à ""rien"".
Ce n'est pas ce qui compte, pour prouver que la conjecture ne peut être infirmée.
Pour ce qui est des revues importantes, si tu as rédigé en français, peut-être que le journal de théorie des nombres de Bordeaux serait une bonne option.
Mais si tu ne contactes pas un spécialiste au préalable, il y a de grandes chances que ton manuscrit ne soit même pas lu et considéré (car présumé faux).
il est impossible de dire que pour $2n +2$, il n'existe aucune solution qui décompose $2n+2$ en somme de deux nombres premiers.
Chapeau bas @LEG
Les mathématiciens ne sont pas encore prêts à ce qu'un simple amateur ait résolu une conjecture aussi réputée difficile. Mais ton heure de gloire viendra LEG où ton nom restera à la postérité.
"Dites merci à LEG" signé Christian Goldbach.
J'affirme péremptoirement que toute affirmation péremptoire est fausse
https://www.cjoint.com/c/LLdi3dV4Y6Q
J'attire quand même ton attention sur ce décalage d'un rang des congruences lorsque tu cribles jusqu'à la limite suivante $n+1$ ,
comme on peut le voir avec l'illustration du document et expliquée ci dessus .
Que cela serait suffisant pour justifier la démonstration de la conjecture, c'est à dire même si on constate très bien avec ce décalage , qui est récurrent et qui t'empêche de dire que 2n+2 , 2n+4 , 2n+6 , 2n+8 ; ne pourrait pas avoir de solutions , puisque tu connais déjà le résultat sans avoir besoins de cribler en utilisant simplement ce décalage d'un rang récurrent... ça ne justifie pas complètement la démonstration.
C'est exactement ce que disait Goldbach : il est impossible de conclure.
Lui savait qu'en disant ça, il ouvrait une question, et toi , tu crois qu'en disant ça, tu réponds à la question.
Ce n'est pas la seule différence entre ce que lui disait, et ce que tu dis, tu ajoutes tout un tas de trucs totalement confus.
Je sais que tu vas rester persuadé que tu as démontré cette conjecture, je n'espère même plus déclencher une toute petite lumière dans ton cerveau.
Goldbach disait que pour 2n >6 tout entiers pairs peut s'écrire comme la somme de deux nombres premiers.. Ce qu'il faut donc démontrer.
Moi j'affirme qu'il est impossible d'infirmer cette supposition,
@Lourrain comment démontres-tu qu'un amateur ne puisse résoudre la conjecture en question ?
Je ne sais pas te répondre. Et ce n'est pas un aveu de faiblesse, au contraire, je le revendique.
Si je te dis :
Le cheval d'Henri IV était blanc : tu sais dire si c'est vrai ou faux.
Le cheval d'Henri IV était vert à pois rouge : tu sais dire si c'est vrai ou faux.
Henri IV cheval le blanc était : sais tu répondre si c'est vrai ou faux ?
Je ne pense pas. On n'est pas dans le registre vrai contre faux, on est dans un autre registre. Ce n'est ni vrai, ni faux, c'est juste dénué de sens.
Et de même, pour les mêmes raisons, je ne sais pas dire si le point 2a est vrai ou faux, il est juste dénué de sens.
Des mots mis aléatoirement les uns à côté des autres donnent rarement des phrases sensées.
Il a fait la même réflexion il y a un peu plus de 3 ans :
J'avais affirmé que si un entier ("impair") $A\not\equiv{2n}[P]$ et $< n$, précède un entiers $A +2$, un nombre premiers $< n$ alors $2n +2$ se décomposera en la somme de deux nombres premiers : $(A+2) + q$
Réponse : quelque soit ta démonstration, je sais d'avance quelle sera fausse !
Toi et d'autres m'avez finalement, demandé de prouver mon affirmation, que je ne coulais pas vous indiquer ... vous laisser chercher etc.
C'était une égalité qui se prouvait de façon élémentaire, la même que j'utilise toujours dans ce document..
Qui est aussi la raison du point 2_a) si la conjecture est fausse ; puisque cela entraînerait l'absent de décalage dans les congruences pour la limite suivante $n+1$... Mais peut importe ce serra faux, parole de lourrran !
Bonne continuation...
@gebrane Je pars de statistiques fréquentistes sur l'historique des démonstrations correctes de conjecture par des amateurs, cela me donne une valeur à priori. Ensuite, je fais un peu de statistiques baysiennes pour combiner avec les informations apportées par l'amateur en question : y a t'il des références aux publications sur ce sujet ? y a t'il un problème d'égo qui transparait dans sa prose qui justifierait des prétentions exagérées ? ses textes mathématiques sont-ils suffisamment structurés pour que j'ai envie de les lire ?
Une fois le bilan fait, j'en déduis généralement qu'il y a plus de chance que je gagne au loto en ramassant un billet tombé par terre par hasard que de lire une démonstration de conjecture correcte dans shtam. Du coup je vais me promener pour chercher ce billet ce qui est bon pour ma santé au lieu de perdre mon temps à lire l'amateur en question qui ne se remettra généralement pas en question
Et tu as répondu : Au moins on est d'accord sur un point
On est d'accord pour dire que ton point 2a) est dénué de sens ? On est enfin d'accord sur ça ?