Critique de l'enseignement des maths aux USA

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Réponses

  • Heureusement que FdP est là pour nous apprendre que celui qui écrit une tribune le fait pour émettre une opinion, sur la base de sa vision du monde, et avec un but. S'il ne nous l'avait pas dit, personne ne s'en serait douté (:D.
  • Un extrait qui me rappelle étrangement la France :
    "An even bigger problem, in our view, is that the educational establishment has an almost complete lock on the content taught in our schools, with little input from the university math community. This unusual feature of American policymaking has led to a constant stream of ill-advised and dumbed-down “reforms,” which have served to degrade the teaching of mathematics to such an extent that it has become difficult to distinguish a student who is capable from one who is not."

    [Avec google traduction ! AD]
    Un problème encore plus important, à notre avis, est que l'établissement d'enseignement a un verrouillage presque complet sur le contenu enseigné dans nos écoles, avec peu de contribution de la communauté mathématique universitaire. Cette caractéristique inhabituelle de l'élaboration des politiques américaines a conduit à un flux constant de « réformes » malavisées et abruties, qui ont servi à dégrader l'enseignement des mathématiques à un point tel qu'il est devenu difficile de distinguer un élève capable de celui qui ne l'est pas.
  • Le collégien de service qui a toujours raison et qui pratique la guerre d’usure devrait se pointer.
  • « On peut aider les minorités à réussir sans sacrifier l’excellence. »

    « On doit revenir vers une politique de recrutement et de promotion fondée sur le mérite. »

    Effectivement, cela rejoint ce que beaucoup disent ici.

    Fin de Partie: tu viens d’apporter des torrents d’eau aux moulins de tes détracteurs. C’est à se demander si ces derniers n’ont pas (un peu) raison concernant les politiques éducatives.
  • Chaurien:

    Ici, c'est commun de faire passer des convictions idéologiques pour de l'information.
  • Eric, pitié pour les mauvais anglicistes comme moi. Heureusement DeepL me donne la traduction de ta citation faite en anglais :
    « Un problème encore plus important, à notre avis, est que l'établissement d'enseignement a un contrôle presque total sur le contenu enseigné dans nos écoles, avec peu de contribution de la communauté universitaire des mathématiques. Cette caractéristique inhabituelle de l'élaboration des politiques américaines a conduit à un flux constant de "réformes" malavisées et abrutissantes, qui ont servi à dégrader l'enseignement des mathématiques à un point tel qu'il est devenu difficile de distinguer un élève capable d'un élève qui ne l'est pas.»
  • Je ne vois pas pourquoi il faudrait spécialement « aider les minorités à réussir ». Si les personnes appartenant à ces dites « minorités » (à définir, d'ailleurs) en ont les capacités, eh bien qu'elles réussissent, ce sera très bien, et si elles ne les ont pas, qu'elles cherchent un domaine où elles puissent réussir.
    Moi ce qui m'importe c'est surtout le destin du peuple auquel j'appartiens, ainsi que mes descendants, et qui n'est pas encore en « minorité » sur le sol de la France.
  • Mais peut-être parce que les minorités en question n’ont pas les mêmes conditions d’accès au savoir, qu’il y a des déterminismes économiques, sociaux, ethniques etc… Et que pour ces minorités, il ne suffit pas de « vouloir » ou « d’avoir les capacités » pour réussir.
  • Chaurien a écrit:
    Moi ce qui m'importe c'est surtout le destin du peuple auquel j'appartiens, ainsi que mes descendants.

    C'est un concept. Ce qui est réel est l'humanité dans sa diversité et c'est son destin qui m'importe.
    (je n'en ai rien à faire de la couleur des gens, de leur langue dans 100,200 ans, ce qui m'importe est qu'il y ait encore des humains sur terre, qu'ils vivent en paix et en harmonie les uns avec les autres).

    Df:
    La religion méritocratique ne s'intéresse pas à ces "détails".
  • Chaurien a écrit:
    Je ne vois pas pourquoi il faudrait spécialement « aider les minorités à réussir ».

    Disons qu’il ne faudrait pas non plus les aider à « déréussir ».
    Moi ce qui m'importe c'est surtout le destin du peuple auquel j'appartiens, ainsi que mes descendants, et qui n'est pas encore en « minorité » sur le sol de la France.

    Je n’ai pas choisi d’habiter ici même si je préfère y habiter.
    Ce qui m’importe, ce n’est pas le « destin » d’un truand qui a réussi et qui est bien français mais plutôt celui du gus qui habite à côté de chez moi (même s’il n’est pas français) et qui n’est rien.
    Algebraic symbols are used when you do not know what you are talking about.
            -- Schnoebelen, Philippe
  • Nicolas:

    Il n'est pas rien, il est humain et vivant.
  • df, que ces dites « minorités » se débrouillent. Ces gens ne sont pas inférieurs que je sache, ce qui serait une idée fausse et interdite, alors qu'ils fassent comme nos ancêtres, qui se sont débrouillés au cours des siècles, par leur travail et leur intelligence, pour édifier la civilisation qui est la nôtre, et qu'il faut préserver et transmettre.
    Notre responsabilité concerne d'abord les générations françaises à venir, les autres sont membres d'autres communautés, dans le cadre desquelles doivent s'exercer les solidarités naturelles.
  • Chaurien:
    Comme si le concept de France était immuable et ayant existé de tout temps.
    Tu peux m'assurer que dans mille ans, s'il y a encore des humains sur terre, ce que tu nommes France existera encore et avec le sens que tu lui donnes?L'histoire humaine est une succession de civilisations, de sociétés qui apparaissent et disparaissent je ne vois pas pourquoi ce phénomène ne serait plus à l'oeuvre dans le futur.
    Par ailleurs, tu crois sans doute que la volonté des gens est indépendante de leur croyances* et de la représentation qu'ils se font du monde? Les humains ne sont pas des machines, il ne suffit pas de presser un bouton pour qu'ils accomplissent des tâches.

    *: l'actualité récente le montre très bien sans ambiguïté mais je ne veux pas détailler autrement cela va partir en sucette très rapidement.
  • Fin de partie a écrit:
    Il n'est pas rien, il est humain et vivant.

    Je sais bien, je faisais référence à une citation assez connue à propos de gens qui ont réussi et de gens qui ne sont rien.
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            -- Schnoebelen, Philippe
  • Il faut remercier FdP pour cet article, qui a le mérite de mettre en pleine lumière le point aveugle des discussions sur le système d'enseignement. Ce n'est pas une question sociale, de différence de niveau de vie au sein d'une collectivité nationalement homogène, c'est une question civilisationnelle. Laquelle question s'impose dans tous les problèmes de notre société, et s'annonce comme un thème majeur de l'élection présidentielle à venir (voir par exemple les récentes positions d'Eric Ciotti et de Valérie Pécresse).
    J'ai déjà dit que mon mauvais niveau en anglais ne me permettait pas de suivre quant il ne s'agit pas de mathématiques, aussi j'ai traduit cet article avec DeepL, qu'un copain linguiste m'a signalé. Je vous joins cette traduction. Je ne l'ai pas relue et j'espère qu'elle est satisfaisante : vous me direz.

    Bonne après-midi.
    Fr. Ch.
  • « […] ce qui m'importe est qu'il y ait encore des humains sur terre, qu'ils vivent en paix et en harmonie les uns avec les autres). »

    Les humains sur Terre, oui et encore… philosophiquement je ne suis pas convaincu.

    Bon, et pour le reste, maintenant que l’on sait que ça n’arrivera pas ?
  • Nicolas:
    Je sais à quoi tu faisais référence mais à force de répéter ce mensonge, sans signaler explicitement que c'est un mensonge cela a un effet subliminal: l'idée que des gens ne sont rien (que leur vie n'a pas d'importance voire qu'ils sont surnuméraires) fait son petit bonhomme de chemin dans l'imaginaire et les croyances des individus.
    Ma grand-mère répétait souvent cette phrase: je suis un zéro. Quand les individus intègrent cette idée qu'ils ne sont rien, la vie se voit simplifier pour ceux qui croient être tout. (<< Que les pauvres aient le sentiment de leur impuissance, voilà une des conditions de la paix sociale>>)
  • Pour moi « n’être rien » n’est pas une insulte.
    Il y a les élus politiques, les stars, les blaireaux des émissions de « télé-réalité » etc. qui ne sont pas « rien ».
    Les gens qui ne sont rien, c’est moi et d’autres.
    Peut-être qu’au fond je l’interprète comme un raccourci pour dire « être inconnu ».
    Ceux qui disent « un quidam » dans leur langage pourraient dire « quelqu’un qui n’est rien » par exemple.
    C’est comme ça que je l’entends.
    Ainsi, les « non rien » des uns ne sont pas les « non rien » des autres.

    Alors, oui, évidemment, « être rien » peut être interprété comme « nul », « vide », une « m….de » (désolé). Mais ce n’est pas mon acception.
  • C’est de l’ironie de ma part, voire une revendication de refus de parvenir.
    Je reprends l’insulte à mon compte, comme les Noirs ont repris celle de nègre ou les homosexuels celle de pédé.

    À part ça, l’article est presque applicable en France mais avec un peu de retard (nous sommes plus en avance sur la déliquescence).
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            -- Schnoebelen, Philippe
  • Houlala Nicolas, ne parle pas de déliquescence à un déclinophobe qui refuse l’idée même de prendre la température.
  • Quand on donne le "droit" à des noirs d'aller dans des établissements d'enseignement supérieur en remplissant un livre à colorier au lieu de résoudre les mêmes problèmes de maths que leur concurrents blancs, on promeut des gens incompétents à des postes prestigieux visibles et on offre le spectacle de leur incompétence à des gens qui les croyaient déterminés à ne jamais pratiquer d'activité intellectuelle élaborée en raison de leur biologie, ce qui achève de renforcer des préjugés racistes.

    Seule la méritocratie (ou la guerre mais nous nous efforçons de vivre dans une société civilisée) permet aux gens d'obtenir un certain respect.
    Le racisme de gauche refuse aux groupes qu'il prétend défendre un certain nombre d'éléments indispensables à l'épanouissement de l'individu.
    Une fonction est un ensemble $f$ de couples tel que pour tous $x,y,z$, si $(x,y)\in f$ et $(x,z)\in f$ alors $y = z$.
  • Nicolas:
    Mais le mot "rien" avait déjà une signification. Il signifie vide, insignifiant, néant, zéro.
    Penser que des gens sont rien, cela débouchera sur leur faire du tort, leur faire du mal et n'y voir aucune objection morale
    Je pense que cette expression est potentiellement porteuse de persécution, elle permet cette dernière en rabaissant un individu à n'être rien, c'est à dire même plus un être humain.
  • Bonjour,

    Il y a ceux qui ne sont rien et ceux qui ne servent à rien... Nuance !

    A+
    Arcsinus arcsinum fricat.
  • Fin de partie a écrit:
    Mais le mot "rien" avait déjà une signification. Il signifie vide, insignifiant, néant, zéro.

    Je sais bien, je revendique d’en faire partie par provocation contre ce genre de personnage.
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            -- Schnoebelen, Philippe
  • J'admire l'ouverture d'esprit de la personne qui ouvre un fil sur un article du très à droite Quillette, traduit en français par la très libérale Peggy Sastre ...
    Regarder les faits et éviter les procès d'intention, bravo !

    Sinon, l'article est très intéressant. J'espère que ce désastre arrivera en Europe le plus tard possible.
  • J’ai parcouru leur blog. « Très à droite » semble un bel euphémisme.
    Les questions sur la race, l’anti-racisme, l’essentialisme racial, la « fragilité blanche », le « privilège blanc », la théorie de la « race critique » etc… reviennent comme des obsessions.
    Il est bon d’avoir cela en tête avant de commencer la lecture de l’article cité par Fin de partie.
  • Df a écrit:
    Il est bon d’avoir cela en tête avant de commencer la lecture de l’article cité par Fin de partie.

    J'avais déjà averti le lecteur gentiment B-)-. L'un* des trois signataires de cette tribune a appelé à voter Trump aux dernières élections (pour les deux autres, je n'ai pas creusé la question).

    *: visiblement il aime bien s'exprimer dans des tribunes.
  • C’est bien, c’est exactement les amalgames qu’on dénonce parfois mais qu’on a le droit de faire selon le sujet.

    « Très à droite », « il a voté Trump ».
    Il manque fascho, $tout-phobe$, et j’en passe.
  • Allez, je ne résiste pas à une anecdote : (en prépa, 5/2), notre prof de maths nous avait initié aux calculs sur les surfaces gauches, avec tous les vecteurs qui vont avec (torsion, etc …). Puis, désabusé, il nous a dit que ce théme ne serait plus au programme dans le futur, et que s’il l’avait été, c’est grâce à l’insistance d’un inspecteur , fanatique de voile, car cette théorie est utilisée (entre autres) pour les coques de bateaux.

    A cet instant, j’ai touché du doigt une partie du mystère entourant la définition des programmes dans l’éducation nationale

    (Cela dit, je n’ai jamais eu à utiliser ces connaissances, mais le sujet l’avait bien plu).

    (Je suppose que, la voile étant réservée à une élite, ce sujet n’a plus aucune chance de revenir sur le tapis …)
  • Umrk: On peut faire de la voile, être un (petit) bourgeois et ne pas comprendre un traitre mot de ce que tu racontes sur le calcul des surfaces gauches. B-)-
  • Contrairement au sujet du voile qui revient régulièrement sur le tapis (de prière).
  • Df:
    C'est un vieux truc: pour manipuler plus facilement les gens il faut leur désigner un ennemi à haïr même si c'est un ennemi imaginaire.
  • Je sais bien: c’était juste un jeu de mots pourri. Désolé.
  • Pour me faire pardonner, je vous ai débusqué ce joli problème (2013) de Centrale-Supélec.
  • Joli, oui, mais 4 heures seulement pour tout ça ?
  • Ça doit-être jouable pour un centralien. Mais il ne faut pas trop musarder !
  • Je pensais que les candidats avaient une semaine.
  • Chaurien a écrit:
    Laquelle question s'impose dans tous les problèmes de notre société, et s'annonce comme un thème majeur de l'élection présidentielle à venir
    Le sujet ne me désintéresse pas; je viens de lire deux livres sur la thématique de l'intégration, l'un écrit par une femme de gauche engagée dans des mouvements associatifs, l'autre par un universitaire dont j'avais lu une interview sur le youtube de Valeurs actuelles.

    Maintenant, je trouve qu'il y a un petit jeu stérile entre une partie de la gauche radicale et une partie de la droite nationale qui consiste à exagérer le poids de l'autre, les uns voyant des fachos putschistes partout, les autres faisant de même pour les wokistes et autres indigénistes.
    Chacun se fait plaisir à constater que l'autre est là pour mieux pouvoir s'indigner.

    Mon sentiment est que les enjeux ethniques appartiennent à l'Histoire des Etats-Unis, pas à la nôtre.
    Bien sûr, il ne faut pas rentrer là-dedans, et au contraire, maintenir haut la vision universaliste qui est celle de la France.

    Pour ce qui nous concerne ici en premier lieu, l'enseignement des mathématiques, il n'a que faire de l'ethnie. En revanche, on ne peut pas se désintéresser de l'impact de la pauvreté sur les conditions d'apprentissage (en premier lieu le logement), et il faut être clair sur le fait que la maîtrise de la langue française, dans toute sa richesse, est la première priorité.
  • Les épreuves de Centrale ont la caractéristique d'être étouffantes, il y a volonté de provoquer des tendinites.
  • J'aurais au moins appris pourquoi un mille nautique fait 1852m, merci df !
  • Je n'ai pas lu tout l'article mais je suis complètement sur ces lignes qui ne sont pas antinomiques :

    « On peut aider les minorités à réussir sans sacrifier l’excellence. »

    « On doit revenir vers une politique de recrutement et de promotion fondée sur le mérite. »


    Exemple tout bête : je me suis "battu" dans mon établissement pour que les triples félicités de l'année aient un cadeau en fin d'année (et les "dodécafélicités" à la fin de leur collège)

    @Dom : quand tu parles d'amalgames, je vois ce que tu veux dire mais tu ne peux pas nier qu'il existe une base commune de réflexions ou de valeurs dans des catégories de personnes (les électeurs de Trump par exemple). Certes, pour reprendre cette exemple, tous les électeurs de Trump ne sont identiques mais pour moi une grande majorité de ces électeurs partagent un même ensemble d'opinions...
  • Jaymz a écrit:
    « On peut aider les minorités à réussir sans sacrifier l’excellence. »

    Oui, bien sûr. En améliorant significativement leur possibilité de se loger décemment, de se soigner (on parle des USA) d'avoir un emploi stable correctement rémunéré qui permet d'avoir du temps pour s'occuper de leur enfants
    Que la misère et le désespoir disparaissent des quartiers de relégation.

    Autant dire qu'on nage en pleine hypocrisie car ce n'est pas demain la veille que les conditions matérielles d'existence d'un certain nombre de gens vont s'améliorer significativement.

    PS:
    Jaymz a écrit:
    Exemple tout bête : je me suis "battu" dans mon établissement pour que les triples félicités de l'année aient un cadeau en fin d'année (et les "dodécafélicités" à la fin de leur collège)
    Une photo d'Emmanuel Macron dédicacée? Et pour les meilleurs des meilleurs, une photo d'Emmanuel Macron et son épouse, et leur chien? X:-(
  • Je te rejoins FdP mais n'ayant pas les moyens de faire cela au niveau national, j'essaye, tant bien que mal, de le faire humblement dans mon établissement...

    Edit : non, le cadeau est une frise avec tous les ministres de l'EN que la France a connu (:P)
  • Aléa a écrit:
    les uns voyant des fachos putschistes partout
    Parce qu'ils sont partout. Ils défilent par milliers en ce moment tous les samedis comme en 1934, on les voit à la tv, vomir leur haine.
    Dans une situation de crise c'est toujours le même schéma: recherche de bouc-émissaires, recherche de la personne providentielle derrière laquelle on devra se ranger. On vit une période de crise jamais vue en plus de cinquante ans.
  • Voyons Fin de partie.
    Ces gens n’ont pas ma sympathie et je trouve que cela fait longtemps que ça défile, même du temps du président précédent.
    Mais peut-être qu’il s’agissait de gens constructifs ?
    Ne vois-tu pas midi à ta porte ? Selon la cause il y aurait des gens légitimes mais pas d’autres ?


    Jaymz,
    Trump a été élu il y a quatre ans, et personne n’est assez extraordinaire pour penser que « la moitié » du pays était facho (et tous les autres noms d’oiseaux). Dans la crise sanitaire je pense qu’il pouvait même effectuer un deuxième mandat. Et rebelote, je n’aurais pas dit que « la moitié » du pays fut facho & Cie.
  • @FdP: Bravo, tu arrives à troller ton propre fil.

    Pour ma part, je n'ai fait que 3 des 7 manifs, mais je n'ai pas vu les méchants que tu cherches.

    Et il ne faut pas s'arrêter à 1934, voir aussi 1938:



    Le bouquin de Michael Foessel est excellent, je vous le conseille.
  • Aléa:
    Je n'ai jamais écrit qu'il y avait que cette engeance dans la rue. Tu ne dois pas habiter la région parisienne ou en Provence-Côte-d'Azur. Pour ma part je refuse de participer à ces défilés qui ne sont pas clairs idéologiquement et moralement. Il y aura un rattrapage à l'automne sur un tout autre sujet. :-D
  • FDP a écrit:
    Parce qu'ils sont partout. Ils défilent par milliers en ce moment tous les samedis comme en 1934, on les voit à la tv, vomir leur haine.

    Et en plus, ils mangent les petits enfants !!!!!!
    Liberté, égalité, choucroute.
  • Aléa a écrit:
    Pour ma part, je n'ai fait que 3 des 7 manifs, mais je n'ai pas vu les méchants que tu cherches.

    Même chose pour moi....j'ai vu tous les profils, de l'extrême gauche à l'extrême droite comme pendant les années 40 dans la résistance....

    Et maintenant, une petite chanson !!!!! (encore un méchant haineux complotiste destremdrwate sans doute....)
    Liberté, égalité, choucroute.
  • Ramon et Aléa manifestant ensemble. Quand je disais que ce mouvement était idéologiquement et moralement douteux. 8-)
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