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Discussions nouveaux programmes lycée

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Réponses

  • C'est la mode à l'heure actuelle. Faire interdire ceux dont les propos déplaisent au lieu d'argumenter.
  • @Ramon Mercader :
    Je n'avais pas saisi la référence, je suis plutôt du genre à regarder les films en VO ;-)

    Bon je vous laisse pour de vrai cette fois ci !
  • @thule : je crois que Ramon Mercader a déjà expliqué sa conception de l'enseignement. Pour la discipline, utiliser des méthodes de sergent-chef (sans toutefois obéir aux adjudants IPR). Pour le contenu, utiliser les programmes d'il y a 30 ans (ou bien les programmes actuels de certains pays d'Afrique francophone).
  • Bonjour,

    Et puis bon, prétendre diriger le monde quand on a débarqué depuis $2$ semaines seulement, faut pas pousser.

    Cordialement,

    Rescassol
  • @Thulé:
    Si tu ne vis pas dans un autre fuseau horaire, alors je te plains...car cela signifie que tu n'as rien de mieux à faire de tes nuits que m'insulter à 3 heures du matin.....
    Liberté, égalité, choucroute.
  • JLT a écrit:
    Je crois que Ramon Mercader a déjà expliqué sa conception de l'enseignement

    La discipline qui règne en République Populaire de Chine et le contenu des programmes du Sénégal (ou l'inverse...)
    JLT a écrit:
    sans toutefois obéir aux adjudants IPR

    La désobeissance est un devoir lorsque les prétendus garants du savoir ont failli à leur mission......
    Liberté, égalité, choucroute.
  • @paf : je ne souhaite pas interdire à quelqu'un de s'exprimer. Je souhaite l'expression conditionnée à l'apport positif.

    @JLT : merci pour votre traduction.

    @Rescassol : soit je comprends mal votre figure de style, soit vous êtes totalement à côté de la plaque dans votre interprétation de mes propos. D'un point de vue purement logique, j'entends. Ce qui est très étonnant, venant d'un matheux.

    @Raymon Mercader : je constate que vous ne jouez pas le jeu, et que vous ne formalisez pas votre conception d'un enseignement digne de ce nom. Vous cachez derrière des figures de style grossières (quel est l'enseignement/le programme de la République populaire de Chine/du Sénégal ?), dignes des plus miteux journalistes, des pensées qui ne sont jamais révélées de manière précise.
  • Je trouve la répartie de RM infâmante.

    A-t-elle place dans ce forum ?
    Question subsidiaire : cet intervenant est-il de qualité ?
  • J'adore le "Notre tête" ! Mais je suis un vieux con.
  • @thule : il est vrai que les messages de Ramon Mercader ont rarement beaucoup de contenu, mais ils en ont parfois. Voir par exemple ici

    http://www.les-mathematiques.net/phorum/read.php?9,1378158,1378220#msg-1378220

    ce qu'il pense du programme de terminale S.

    Il poste parfois des sujets provenant d'autres pays :

    comme ici :http://www.les-mathematiques.net/phorum/read.php?6,1648428,1648518#msg-1648518
    ou là : http://www.les-mathematiques.net/phorum/read.php?6,1488388,1490642#msg-1490642
  • Ce programme, imparfait, va dans le bon sens.

    Le problème est qu'en première ça ne suit pas au plan quantitatif car l'horaire est trop faible pour former des scientifiques.

    Il faudrait 7H pour ceux qui auront besoin des maths, futurs ingénieurs, physiciens, mathématiciens notamment.

    En plus des maths en lycée, j'enseigne l'optique en BTS et la trigonométrie est une compétence indispensable que même les S ne maîtrisent pas du tout (alors les ES, les bacs pro ...). Et la trigo est allégée en première !

    Faire des interférences quand on n'a pas le niveau collège en trigo ? :-S
  • Bonjour.
    Les nouveaux programmes sont en ligne : PROJET de programmes de seconde

    Ce ne sont que des projets, et je laisse à d'autres le soin d'en faire l'exégèse, en particulier, il me semble que l'APMEP c'est exprimée sur ce point : L'APMEP et la réforme du lycée

    En revanche, je voudrais bien ne pas être le seul à avoir lu les préambules de TOUS les programmes, pas seulement ceux de ma discipline. Avez-vous remarqué une différence de traitement entre les mathématiques et toutes les autres matières ? Ou bien suis-je le seul à m'inquiéter à cause de ma paranoïa habituelle ?

    Remarque : que je sois paranoïaque n'est pas la garantie que le monde entier n'est pas en train de comploter contre moi.

    Bref, avant que je vous pourrisse l'esprit avec mes délires, si des lecteurs impartiaux pouvaient lire les préambules des différents programmes de Français, SES, EPS, etc. et me dire s'ils ont remarqué quelque chose qui singulariserait les mathématiques, ça me rassurerait vaguement sur ma santé mentale.

    Merci d'avance
    Amicalement
    Volny DE PASCALE

    [Restons dans la discussion ouverte sur le sujet. AD]
  • En SES comme en droit éco, les collègues remarquent que le projet de programme se limite à Smith et Ricardo.
    Algebraic symbols are used when you do not know what you are talking about.
            -- Schnoebelen, Philippe
  • Bon, en langues ils ne se sont pas relus:

    La classe est ainsi un espace où l’l’élève apprend à mobiliser des connaissances pour interagir avec les autres.

    e.v.
    Personne n'a raison contre un enfant qui pleure.


  • Je n'ai pas regardé toutes les matières, mais il semblerait que ça soit le seul programme qui insiste autant sur la "consolidation des acquis", ce qui se traduit en réalité par un "faites tout ce que vous pouvez pour palier le manque abyssal de connaissances des élèves sortant de collège" . Mais je ne remarque rien d'autre.
  • En maths il est plus ou moins écrit que les élèves sont nuls, ne sont pas motivés et ont peur des maths, donc le prof doit se débrouiller pour trouver des activités qui les intéressent.
  • @JLT il me semble que c'est plus grave que ça :

    Je cite : "Le professeur veille à créer dans la classe de mathématiques une atmosphère de travail favorable aux apprentissages, combinant bienveillance et exigence. Il est important de développer chez chaque élève des attitudes positives à l’égard des mathématiques et sa capacité à résoudre des problèmes stimulants."

    et encore "L’élève doit être incité à s’engager dans une recherche mathématique, individuellement ou en équipe, et à développer sa confiance en lui. Il cherche, essaie des pistes, prend le risque de se tromper. Il ne doit pas craindre l’erreur, mais en tirer profit grâce au professeur, qui l’aide à l’identifier, à l’analyser et la comprendre. Ce travail sur l’erreur participe à la construction de ses apprentissages."

    Dans toutes les autres disciplines, on considère que le professeur connaît son métier.

    Mais pour les MATHEMATIQUES on sait bien que si on ne le lui dit pas, le professeur va créer dans sa classe une atmosphère défavorable au travail, empêchant les apprentissages, et sans bienveillance ou sans exigence.
    De plus, il se moque éperdument que les élèves aient une attitude positive vis à vis de sa discipline, et préfère que ses élèves soient des incapables.

    Il semblerait que les programmes de maths ne soient pas complets sans une remise en question de la compétence des enseignants, ou une attaque sur les programmes précédents et la dictature que la discipline impose aux élèves forcément nuls et dégoutés (par l'aridité de la discipline).

    On ne lit nulle part dans le programme de français que les élèves ne maitrisent plus suffisamment leur langue maternelle pour comprendre des énoncés simples et rédiger des devoirs corrects (et je ne parle pas seulement des mathématiques, mais des soucis de collègues d'histoire, de SVT, de langues étrangères, etc.)

    Il n'est pas un secret que la maîtrise de l'écrit et du français littéraire est un problème pour nos élèves, mais on ne se sent pas obligé de l'écrire dans les programmes de français.

    Ou alors je me fais des films ?

    Amicalement
    Volny DE PASCALE
  • Je ne crois pas qu'on accuse les profs de maths d'être incompétents. Il est dit que les maths sont perçues par les élèves comme anxiogènes, sans en analyser les raisons, et le préambule insiste pour que les profs travaillent sur ce point.
  • Omen accipio. Puissè-je me tromper.

    Amicalement

    Volny DE PASCALE
  • Ce passage ne devrait pas être dans les programmes.
    Eventuelllent dans le petit guide du gentil professeur.

    En EPS, on connaît le même constat (peur, confiance...) et ça se voit tout de suite.

    D'une manière générale, je trouve que ce passage s'adresse à toutes les matières.
    Précisons : quelqu'un en difficulté, mal à l'aise, ne voudra pas, qui plus est devant les autres, se lancer dans un truc hasardeux. Sauf s'il a une personnalité qui gère ces moments de gêne.

    Illustrons cela : vous prenez un grand gars, plutôt gros aussi, et vous lui demandez de se vêtir d'un tutu rose et de ballerines.
    Devant tous les autres.
    C'est cela que l'on fait parfois à certains élèves : on les place dans une situation gênante.
    Je ne critique pas du tout. Mais en avoir conscience est un atout pour le professeur.

    Bon, à part ça, je ne vois pas vraiment le rapport avec les mathématiques.
    Certes, elles mettent un peu plus de gens mal à l'aise, c'est tout.

    Ensuite, l'idéologie "prise de risque" et "droit à l'erreur", voire "mets n'importe quoi, tu verras bien" (phrase véridique déjà entendu récemment) fera débat.
  • en fait, ce qui m'agace, ce n'est pas le contenu de ce passage, mais qu'il n'y ait QUE dans le programme de Math qu'on se sente obligé de l'écrire.

    C'est ce que ça révèle sur l'état d'esprit de ceux qui rédigent les programmes de mathématiques, et sur ce qu'ils pensent des professeurs.


    Les questions sont :

    Pourquoi faire figurer ces paragraphes dans les programmes de mathématiques ?

    et

    Quels sont les lecteurs visés ?

    Et pour ceux d'entre-vous qui avaient été écouter Jean-Pierre Kahanne dans les années 2000, je cherche le texte de l'adresse aux mathématiciens que la commission de réflexion sur l'enseignement des mathématiques avait publiée à l'époque.

    je cite (ex :"La commission de réflexion sur l'enseignement des mathématiques" (Gazette 84, avril 2000 - format pdf):
    J.P. Kahanne a écrit:
    Mais l’utilité universelle des mathématiques pose de sérieuses questions en matière d’enseignement. La tendance existe déjà, et elle est naturelle, à ce que les spécialistes enseignent au fur et à mesure les mathématiques dont ils ont besoin. Si cela devenait la voie principale d’apprentissage des mathématiques, ce qui fait la valeur des mathématiques dans la formation générale disparaîtrait : on aurait, juxtaposées, les mathématiques des physiciens, des informaticiens, des économistes etc. Il y a un risque dans l’enseignement de divorce entre mathématiques utilitaires, enseignées par les utilisateurs, et mathématiques désincarnées, enseignées par les mathématiciens.

    cela ne vous rappelle-t-il rien ?

    Qui va enseigner l'intégrale en terminale aux élèves qui feront de la physique sans avoir de mathématiques en terminale?
    Qui va enseigner les outils de statistiques et de modélisation aux élèves de SES qui n'auront pas de mathématiques en terminale ?
    Qui va enseigner la logique et les tables de Karnaugh aux élèves qui feront de l'informatique sans faire de mathématiques (c'est d'ailleurs déjà le cas !) ?

    Les mathématiques désincarnées deviendront-elle une discipline comme la réthorique, vouée à disparaître des mémoire alors qu'elle avait une telle importance dans l'enseignement que l'année de première s'appelait la classe de réthorique (avant de choisir Philo, Mathélèm ou Sciencex en terminale) Ce n'est pas si vieux, et pourtant c'est déjà si loin.

    J'ai toujours été un vieux râleur, depuis mon plus jeune âge. Mais là, je me sens solidaire de Mathusalem.

    Amicalement

    Volny DE PASCALE
  • En français, tout le monde peut écrire des phrases bancales qui valent quelques points. En EPS, tout le monde (sauf cas de handicap) peut courir lentement, sauter pas haut ou pas loin, lancer pas loin, etc. Il n'y a qu'en maths où on peut avoir tout faux. De plus, historiquement la société française accorde une importance assez élevée aux maths comme outil de sélection (bon, on va dire que c'est de moins en moins le cas, mais ça reste tout de même dans les mentalités). L'association de ces deux facteurs rend les maths anxiogènes.

    Pour comparaison, il y a pas mal de gens qui sont nuls en sport, et qui l'affirment presque fièrement (mais sous-entendu ils excellent dans les matières intellectuelles, donc «nobles»). Les mauvaises notes en EPS ne portent presque jamais préjudice dans les études.
  • Je peux témoigner qu'on peut aussi avoir absolument tout faux en langue par exemple, il n'y a pas que les maths. Il y a aussi énormément d'adultes qui disent assez fièrement ou en tout cas sans aucun complexe, qu'ils étaient nuls en maths. Je n'ai jamais entendu quelqu'un dire qu'il était nul en littérature sur ce ton là.
    La première discipline de sélection dans notre système est le français, et de loin. Plus précisément, la capacité d'écrire une rédaction. Un élève qui ne sait pas écrire une rédaction aura de mauvais résultats en français, en histoire géo et n'ira le plus souvent pas en lycée général. S'il y parvient, il aura de mauvaises notes en français, histoire géo, en ses, langues vivantes, philosophie et même en SVT. Même un 20/20 en maths ne pourra jamais rattraper ça. Alors qu'on peut faire de brillantes études sans être inquiété (juste un peu chagriné par ses notes jusqu'en seconde peut-être) sans savoir que 1+1=2 . Ce système est évidemment en total contradiction avec les études supérieures qui, elles, demandent au contraire le plus souvent un bon niveau en mathématiques et se préoccupe peu de la capacité d'écrire une rédaction.

    A noter d'ailleurs, qu'il y a toujours eu un seul niveau en français et en histoire géo par exemple. On demande les mêmes capacités aux scientifiques qu'aux littéraires. Alors qu'en maths, il y a toujours eu plusieurs niveaux, voir plus de maths du tout en 1ère L et avec la réforme du lycée. Avec cette réforme, il n'y a aussi plus que deux choix en 1ère pour les maths, rien du tout ou un bon niveau. C'est clairement une erreur, comme je crois que c'est une erreur aussi d’exiger les mêmes capacités rédactionnelles à tout le monde (mais ça personne ne pense à le remettre en cause puisque c'est comme ça depuis toujours).
  • Oui, je pensais surtout à l'importance des maths dans les études supérieures, mais même au niveau du collège on peut avoir l'impression de ne rien comprendre en maths, tandis qu'en français on comprend généralement un peu (sauf cas d'élèves illettrés ou récemment arrivés en France). On peut lire sur la page http://www.education.gouv.fr/cid59753/diplome-national-du-brevet-2016-pres-de-neuf-candidats-sur-dix-obtiennent-leur-diplome.html le texte
    À la session 2016, des quatre épreuves finales, celle de mathématiques est globalement la moins bien réussie par les candidats scolaires : la moitié des élèves de série générale obtient moins de 10/20, tandis que dans la série professionnelle la moitié des candidats a moins de 9/20. En français, un élève sur deux a 11,5/20 ou plus dans la série générale et 10/20 ou plus pour la série professionnelle. En histoire-géographie - enseignement moral et civique, les résultats sont meilleurs pour les deux séries : la moitié des élèves obtient 12/20 ou plus. L’épreuve orale d’histoire des arts (composée d’un exposé suivi d’un entretien) reste, comme lors des sessions précédentes l’épreuve finale la mieux réussie : en 2016, la moitié des élèves a au moins 14/20, un quart a 17,5/20 ou plus ; un élève sur dix de la série générale obtient 20/20.
    Si pour chacune de ces épreuves, les notes varient de 0 à 20, leur dispersion diffère selon les matières. C’est en mathématiques que les élèves ont les notes les plus hétérogènes. Ainsi à la session 2016, 10 % des élèves de la série générale ont moins de 3,5/20 à cette épreuve et 10 % ont au moins 17/20. En français, les 10 % d’élèves les moins performants ont entre 0 et 6,5/20 tandis que les 10% d’élèves les plus performants ont entre 16 et 20/20.

    Bref, on trouve plus de notes très basses en maths qu'en français, malgré la facilité des épreuves.
  • C'est normal ! Les profs de français ont renoncé à exiger des capacités littéraires de leurs élèves. Comme on fait très peu de grammaire, on ne peut exiger des élèves qu'ils écrivent sans fautes. Comme ils ne font plus d'analyse logique, on ne peut exiger qu'ils écrivent des phrases complexes, ni qu'ils les comprennent.
    Vous me trouvez caricatural ? Déjà, vers 1992, lisant une copie de français du bac F4 dont l'introduction comportait un contre sens sur le sujet et deux impropriétés, j'ai été stupéfait qu'elle ait la moyenne. Croyez-vous que ça ait changé ?

    Cordialement.
  • gerard0 a écrit:
    Les profs de français ont renoncé à exiger des capacités littéraires de leurs élèves.

    C'est l'institution qui a renoncé. Les enseignants, en lettres comme dans les autres disciplines, font ce qu'ils peuvent...
  • Bonsoir,

    renoncé = ?

    ? = mourir

    l'Institution s'est pliée (ou, a plié), comme fait le roseau dans la fable de La Fontaine.

    A la fin c'est le chêne qui perd
    Et les gagnants se déchaînent

    S
  • Pas tout à fait d'accord, Nîmes-man,

    à l'époque dont je parle, ils avaient encore le choix. Et les profs de maths aussi. Mais c'est vrai que la pression "faites-les réussir" =" augmentez vos notes" a été ensuite très forte.

    Cordialement.
  • Bonjour à tous,

    Je crois qu'on a fait le tour:

    * Réforme et nouveaux programmes réalisés dans l'urgence.
    * Contenu du programme de spécialité maths en première fortement critiquable à de nombreux égards (niveau, faisabilité, pertinence au regard des élèves qui la choisiront)

    Mais en aval il y aura la terminale: quand auront-nous des informations?
    En effet, la connaissance des lignes directrices du programme de terminale en mathématiques spécialité et mathématiques approfondies permettrait peut-être d'y voir plus clair sur la manière d'aborder le programme de première.

    Qu'en dites-vous?

    PG
  • Il ne faut surtout pas se plaindre d'une recherche d'une amélioration du niveau du contenu des mathématiques en lycée, sinon il sera impossible, à l'avenir d'espérer en obtenir une vraiment.

    Ce qu'il faut espérer, c'est que cette dynamique que l'on a vu apparaître incite les décideurs à remettre des heures d'enseignement des maths en collège et lycée pour que cette amélioration voulue soit réellement efficace.
  • Ce ne sera pas le cas. Tous les programmes de chaque discipline sont plus exigents que les précédents. On pourra pleurer autant qu’on veut pour avoir des heures, les autres pourraient en faire de même. Du coup, il n’y aura rien de plus. Ça va être une boucherie. Ou alors chaque établissement fera à sa sauce, systématiquement moins que ce qui est attendu.
  • À court terme, c'est bien possible, mais ces gouvernements et/ou lobbys divers et variés ne sont pas éternels, et les choses peuvent changer à moyen terme.

    Ceci dit, je ne suis peut-être pas le mieux placé pour parler de l'évolution de l'enseignement des maths dans le secondaire.
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