Décès de Bruno Ingrao

manu

Bonjour à tous,
j'ai la très grande tristesse de vous annoncer le décès de Bruno Ingrao (@Bruno ) survenu le 18mars dernier (https://www.dansnoscoeurs.fr/bruno-ingrao/4003101 )

Bruno était maître de conférence à l'université Blaise Pascal de Clermont-Ferrand (devenue université d'Auvergne). Il a été directeur d'IREM et président de l'ADIREM. Il a formé des générations d'enseignants en mathématiques, en particulier en géométrie. Il est l'auteur d'un excellent livre sur les coniques  http://www.calvage-et-mounet.fr/2022/05/09/coniques-projectives-affines-et-metriques/ .

Il a modéré le forum de 2007 à 2021 et l'a profondément marqué par la qualité de ses interventions.
Je présente mes sincères condoléances à ses proches.   Il nous manquera à tous.

Emmanuel Vieillard-Baron

Dom

Grande tristesse pour moi aussi. Ne le connaissant que par le biais du forum, j’appréciais beaucoup ses interventions et la personnalité qui en émanait.
Un grand soutien à ses proches. 

gerard0

Je joins mes condoléances. C'était un intervenant du forum que j'appréciais beaucoup.

Pomme de terre

Quelle triste nouvelle. Mes amitiés à ses proches et tous ceux qui l'ont connu.

gebrane

Je suis profondément attristé par la nouvelle de son  décès . Cependant, il restera éternel dans les mémoires grâce à ses travaux et aux étudiants qu'il a formés pendant toutes ces années.

rémi

Je joins également mes condoléances.
Je ne l'ai également connu que par l'intermédiaire du forum. Ses interventions de qualité m'ont beaucoup marquées.
C'est une grande tristesse pour moi également.

Domi

Enorme tristesse , je ne connaissais Bruno que par le forum et cela me suffisait largement pour l'apprécier .

Condoléances à sa famille et ses amis .

Domi  

Mathurin

Sincères condoléances également. Je suis frappé par cette perte. Il me semble qu'il était encore jeune.
J'avais beaucoup apprécié conjointement son ouvrage et ses interventions.
Son dévouement à la collectivité était remarquable.
Sans vouloir porter le mauvais œil, si nous n'y prenons garde, nous risquons d'être un jour à court de géomètres...

raoul.S

Condoléances à sa famille et ses amis.

Je ne l'ai pas vraiment croisé sur le forum. Je me rappelle surtout de son avatar que je connaissais depuis bien avant mon inscription sur le forum.

biguine_equation

Condoléances à ses proches.

Je ne le connaissais que par ses interventions sur le forum. Je m’intéresse de près aux travaux historiques, très brillants eux aussi, de son fils Christian, directeur de recherche au CNRS.

Philippe Malot

Quelle triste nouvelle !
Mes condoléances à sa famille et à ses proches.
J'aime beaucoup son livre sur les coniques.
Je me souviens d'une conférence (à Paris VII il me semble) lors de laquelle il avait présenté notre forum.

zeitnot

Je suis très reconnaissant pour son dévouement en tant que modérateur du forum ainsi que pour sa participation.

Manu ton premier lien ne fonctionne plus. Était-il encore en activité ? Quel âge avait-il ?

Philippe Malot

@zeitnot : j'ai modifié le lien pour qu'il fonctionne (il y avait une parenthèse collée à l'adresse).

zeitnot

Merci Philippe.
Je note que le délai entre le décès et les funérailles est exceptionnellement long.

Mathurin

Sur l'âge, son livre indique qu'il avait 17 ans avant la réforme de 1972 et qu'il était à la retraite depuis 2002. Je maintiens que ce n'est pas très vieux, mais je le croyais plus jeune.

zeitnot

Merci Mathurin pour ces éclaircissements. C'est de toute façon toujours trop tôt pour ceux pour qui il comptait.

Rescassol

Bonjour,

C'est une bien triste nouvelle que nous apprenons deux mois plus tard.
Sincères condoléances à sa famille et à ses proches.
Son livre sur les coniques est effectivement excellent.

Cordialement,
Rescassol
 

noix de totos

Après Richard-André Jeannin, le forum perd brutalement une autre de ses très grandes figures.

Mes condoléances se joignent à toutes celles ci-dessus, et vont en particulier à sa famille, ses proches ainsi qu'à tous ceux qui ont, comme moi, connu virtuellement Bruno.

On se souvient en particulier qu'il fut un modérateur hors pair.

Philippe Malot

@zeitnot @Mathurin
Dans un de ses messages datant d’Avril 2019, Bruno disait avoir 76 ans. 

Philippe Malot

Voici ce qu’a écrit son fils Christian sur son compte Facebook le 19 mars 2023.

Il est des journées d’une densité de plomb ; des journées que l’on retrace, les yeux écarquillés, la nuit, allongé et un peu pantois de tant d’intensité. 

Celle d’hier, 18 mars 2023, figurera en bonne place parmi les miennes. Je suis rentré à Berlin à un moment charnière de mon parcours scientifique, durant lequel les formulations sont à la fois complexes et décisives et, très brusquement, en quelques heures, les structures temporelles qui agencent nos (mon) existence se sont mises à glisser, sans que ce glissement de terrain temporel pût être attribué à un épisode tectonique les coordonnant.

En ouvrant la porte de la maison de Zehlendorf, un message de la police nous enjoignait de quitter la maison toute la journée de ce lundi : à quelques centaines de mètres, une bombe de 500kg (à vecteur aérien, donc…) doit être désamorcée, obduction du passé comme Berlin en a encore parfois le secret et qui, en nos jeunes temps, nous voyait compter et différencier les impacts de petits calibres et ceux de mitrailleuses lourdes sur les façades pas encore rénovées de Mitte.

Quelques dizaines de minutes plus tard, à l’improviste, mon dernier-né, dix ans, lève son beau visage sérieux vers moi et avec une acuité, une intensité et une précision qui m’ont ébahi sans me paralyser, m’a posé la question de ce que j’imaginais comme pire scénario d’avenir pour l’humanité. J’ai pris en main mon « honneur et ce peu de courage », comme dit Bernanos, et j’ai avoué qu’il m’était impossible de répondre à son interrogation car le pire des scénarios, une possibilité analogue au choc météorique qui met fin au Crétacé et éradique les dinosaures, est l’un de ceux que les êtres humains travaillent avec le moins de nonchalance et d’aveuglement, mais qu’il en est des dizaines d’autres un peu moins soudains et que, comme il le sait déjà, nous ne sommes pas prêts. Et je lui parle alors du contraste des temps, de l’urgence climatique dépassée, de la crise du Refuge, mais aussi du fait qu’il n’est pas inexorable de reproduire le rapport instrumental et prédateur que les sociétés contemporaines entretiennent à l’environnement, de l’immense révolution de l’énergie et de l’intelligence artificielle, qui bouleverse sous nos yeux les économies de la pensée et de l’écriture. Je regrette de n’avoir pas eu la présence d’esprit de lui dire qu’Alain Demurger avait intitulé son tome de l’histoire de la France médiévale traitant du cataclysme de 1348 « Temps de crises, temps d’espoir ». La question de l’avenir est un soleil. Il est urgent de le contempler sans se brûler ; de tenter d’être là pour partager autant que nos forces et nos capacités nous le permettent, l’interrogation de ces jeunes êtres qui ont soif de politique et de perspective.

Et une centaine de minutes plus tard, un appel de ma « petite » sœur, lieutenant-colonel du Service de Santé des Armées, de retour d’OPEX depuis quelques semaines. Bruno Ingrao, notre père – nous sommes une fratrie de trois ; je suis second et seul garçon – est décédé. Je suis encore passé en France sans avoir le temps de le voir.

Il est cohérent, le monde dans lequel les vieux fils enterrent les pères en les pleurant et en regrettant. Cette perspective ne m’a jamais submergé et j’ai la ferme espérance qu’en dernière instance, il en sera de même pour mes enfants. J’ai porté suffisamment de cercueils pour affronter le cortège de culpabilités et de tristesse qui accompagnent ce décès. 

Par contre, je constate que ne suis pas sûr d’être l’historien de ce passé-là. Que connais-je, au fond, de ce qui constitue le fond de cette lignée-là ? Y a-t-il quelqu’un, d’ailleurs, qui peut rendre compte, dans le Paris des années 30, de la rencontre entre une maubeugeoise calviniste d’origine belge, réfugiée avec sa famille de la Première guerre mondiale, comptable de son état, et un immigré sicilien natif d’Alcamo (J’ai mis 30 ans à l’apprendre) dernier d’une fratrie de douze, seul à faire des études de comptable, émigré à Tunis avant d’arriver à Paris ? Il est clair que cela dépasse les compétences d’un historien qui s’est dédié à l’histoire du Troisième Reich. Je ne connais rien au monde de la minoterie sicilienne, sujette aux légendes noires de la mafia ; rien non plus au monde de ces rares calvinistes belges qui se fondirent dans l’encadrement des usines du nord et que mon père, usant d’un vocabulaire balzaco-marxien, désignait comme des « loups-cerviers » – j’étais très jeune, en début d’adolescence, lors de ces seules mentions ; ce qui meurt en premier, je n’apprends ici rien à personne, c’est la possibilité de la parole – ou des « cerfs du roi ». Toujours est-il que les choix opérés par cette famille se sont répercutés jusqu’à ma génération. Mon père n’a pratiquement pas vu son père durant mon enfance et je n’ai de mémoire de ce parcours-là que l’amertume de ma grand-mère et cette détestable habitude que l’on adopta, chez ces calvinistes, et qui consiste à essayer de faire pleurer les enfants fautifs en les fixant du regard.

L’austérité de cette famille – ma grand-mère, ses deux frères – ne m’est parvenue qu’indirectement et c’est déjà bien assez. Ce qui m’a été légué, par contre, c’est l’incroyable culture amassée lors de cette enfance sans joie qui fut, je le crains, celle de mon père. Car s’il fut toujours un être taciturne, il s’animait pour parler de mathématiques, pour réciter du La Fontaine ou du Racine, pour parler d’histoire politique. Il était de ces esprits formés par les Taupes et Hypotaupes des années 60, entré à Saint-Cloud en 1965, et qui combinent réflexion scientifique de haut niveau et culture humaniste classique, même s’il ne fut jamais latinisant.

Il est entré dans l’aventure scientifique avec la vague montante de l’axiomatisation des mathématiques et s’est destiné à la logique, dans le sillage de Kurt Gödel et, si le succès universitaire n’a pas été au rendez-vous – parmi ses blessures silencieuses, le fait de n’avoir pas obtenu l’agrégation ni soutenu sa thèse –, il a formé et préparé aux concours des générations de jeunes profs de math et s’est investi dans la didactique des mathématiques, dirigeant dans les années 80 le réseau des IREM.

J’ai dit ailleurs combien le face-à-face avec lui et cette falaise de culture avait façonné mon esprit. Je me suis intéressé à l’histoire très jeune car il y avait là un domaine où échanger n’étouffait pas ; où je m’imaginais une interlocution transitive ; où son immense savoir me nourrissait sans m’écraser .

C’est assez, je crois ; ce texte est déjà trop long. Qu’il soit dit pour la trace que son épouse Michèle était morte il y a deux années ; que je suis persuadé qu’il la pleurait à chaque minute, tout au fond, mais que même face à son fils qui en connait pourtant un rayon en veuvage, il a éprouvé bien des difficultés à extérioriser cet infini chagrin que constitue la perte de celle qu’on aime. Je voudrais les espérer réunis. Mais alors que lui se l’interdisait en professant un matérialisme de plomb, j’ai, grâce ses propres outils, pu trouver refuge derrière l’indécidabilité de l’agnosticisme, qui fait de la mort une aventure et appose à l’espérance de leur réunion un point d’interrogation.

« Notre héritage n’est précédé d’aucun testament », nous rappelle le Poète guerrier.

zeitnot

Merci infiniment Philippe. C'est passionnant à lire.

biguine_equation

Magnifique texte ! Je suis un peu son fil Twitter et je partage aussi certaines de ses indignations. Et merci d’avoir mentionné le combat écologique.

Mathurin

C'est en effet un très beau texte qui fait honneur à l'historien qui l'a écrit.
Quelques remarques, subjectives, qui peuvent aider à éclairer ce récit :
- la citation de René Char (reprise par Hannah Arendt) est très appropriée pour un spécialiste du troisième Reich, elle laisse cependant un peu d'espoir dans l'aveu d'agnosticisme.
- le livre d'Alain Demurger cité est très beau à lire (publié en points seuil). Il nous rappelle aussi que derrière l'espoir, se tapie l'espérance.

- la référence au "loup-cervier" me parait davantage évoquer Vigny que Balzac ou Marx. Elle est bien adaptée au "souffre et meurs sans parler" de ces calvinistes belges.

Amitiés à sa famille.

john_john

Je m'étonnais depuis un certain temps de ne plus voir d'intervention de Bruno dans ce forum ! toutes mes condoléances à la famille...

Fin de partie

manquera au forum.

Condoléances à la famille et accrochons-nous à la rampe.

Foys

Une bien triste nouvelle. J'adresse mes condoléances à ses proches.

Poirot

Je viens d'apprendre cette très triste nouvelle et me joins à tous pour exprimer mes sincères condoléances aux proches de Bruno.

math2

Une nouvelle bien triste, en effet. Je me joins à tout ce qui a déjà été exprimé, mieux que je ne l'aurais fait.

Martial

Je suis attristé. Condoléances à ses proches.

@Mathurin : ce que tu dis plus haut est faux. J'ai connu Bruno en 2002, il m'a dit qu'il avait 59 ans et qu'il venait effectivement de partir à la retraite. Donc si mes calculs sont bons il est né vers 1943, et il a vécu à peu près 80 ans.

Martial

J'en rajoute une couche à la mémoire de Bruno. Je ne l'ai jamais rencontré personnellement mais je me souviens qu'en tant que logicien il m'a beaucoup aidé lors de mon M2 LMFI en 2003, notamment en ce qui concerne les bases de la théorie des modèles où je me sentais un peu vacillant. Merci @Bruno !

Hélas nous nous sommes un peu "perdus de vue" les dernières années, essentiellement parce que nos sujets d'intérêt divergeaient. Je me souviens d'un jour où je traînais mes guêtres chez Gibert Joseph et où j'ai bien failli acheter son livre, bien que je sois une tanche en géométrie.

Cidrolin

Une grande tristesse.

Mathurin

@Martial , ce que tu dis ne me contredis en rien. J'ai dit que selon son livre il est parti à la retraite en 2002. j'ai dit aussi qu'il a fait sa terminale avant 1972 (pas juste avant, mais plusieurs années avant). C'est également ce que dit son livre. On apprend ici qu'il a fait sa terminale au début des années 60 (entré à Saint Cloud en 65), ce n’est pas contradictoire.

ev

Il y a des coups de pieds dans les gencives dont on se passerait volontiers.

Synchronicité ou pas, il y a belle lurette que je ne crois plus en rien, pas même au hasard,
je faisais mon jardin - il n'y a pas d'endroit pour penser à Bruno - et je me suis souvenu de l'histoire qu'il nous a raconté jadis sur le phôrüm : 

Sa chienne en pétard avait avait soigneusement dévasté son bureau en épargnant le paquet de copies de capes réceptionné le jour même.
Désormais, Nirvânâ a eu l'occasion d'expliquer à son maître que ce jour-là elle avait voulu lui faire passer un message fort et non pas le plonger dans les fosses septiques de l'éducation.

Je me permets de partager la tristesse des proches de Bruno avec les mots du poète : 

Avec l'âge c'est bien normal,
Les plaies du cœur guérissent mal,
Souventes fois même, salut,
Elles ne se referment plus.
e.v.

Rombaldi

Bonjour,

c'est une bien triste nouvelle.

Je connaissais Bruno d'un jury de Capes. Effectivement, il était très sympathique et passionné de mathématiques.

Condoléances à ses proches.

Jean-Etienne.

jelobreuil

Quelle triste nouvelle !

Sincères condoléances à ses proches.

Merci, Philippe, de nous avoir fait partager ce beau texte de son fils.

JLB

Sato

Je ne connaissais Bruno que par son avatar et ses interventions toujours sympathiques sur le phôrum qui donnaient ainsi un fil et une présence rassurante au fil de nombreuses années ! Toutes mes condoléances à ses proches. 

omega

Une bien triste nouvelle. Comme beaucoup d'entre nous, je ne connaissais Bruno que par le biais de ces interventions ici.

Je rejoins Noix de totos, il était une grande figure du forum auquel il manquera.

Toute ma sympathie va à ses proches.

samok

Je ne suis pas triste, pas assez proche de sieur Bruno Ingrao, mais je garde quelque chose de lui,
un message lié à l'introduction du produit scalaire en première.

-> 1/2(CB²-AC²-AB²) y a pas mieux.

wou woouu je transmets mes condoléances au chien qui t'aurait survécu.

Martial

@Mathurin : oui, tu as raison, il n'y a pas contradiction entre nos propos respectifs. Ce qui m'a foutu dedans c'est qu'implicitement j'avais compris "juste avant 1972".

jacquot

Je n'ai jamais rencontré Bruno, mais je perds un ami. Nous avons passé du temps ensemble ici. Ses avis étaient pertinents, il les exprimait avec mesure. Mes affectueuses pensées à ses proches, du forum et de son entourage.
jacquot

geo

Quelle tristesse.
Je connaissais Bruno sur le forum depuis 2002. J'avais échangé pas mal de fois avec lui quand je passais les concours.
Je garde de lui un homme bienveillant et patient avec les apprenants.
Il était un pilier de ce forum.
Mes condoléances à la famille.

AitJoseph

Mes sincères condoléances 

zeitnot

Martial a dit :

Je suis attristé. Condoléances à ses proches.

@Mathurin : ce que tu dis plus haut est faux. J'ai connu Bruno en 2002, il m'a dit qu'il avait 59 ans et qu'il venait effectivement de partir à la retraite. Donc si mes calculs sont bons il est né vers 1943, et il a vécu à peu près 80 ans.

Bien vu, après quelques recherches je confirme que Bruno aurait eu 80 ans en ce mois de mai.

lionel21

Quelle mauvaise nouvelle. J'ai beaucoup échangé avec lui lors de ma thèse en particulier. Il avait une culture historique.
Sincères condoléances à sa famille.

FrancoisD pas loggé

Bonjour à tous,
je suis touché d'apprendre cette nouvelle car je connaissais Bruno depuis mes études et c'était un excellent logicien et ses questions lors des préparations orales au CAPES avaient été très formatrices pour moi.
Toutes mes condoléances à sa famille.
F. Desnoyer

Bruno Greco

Que dire ? Si tous les participants à des forums internet lui ressemblaient, on vivrait dans un autre monde...
Merci Bruno, 
BG

etanche

Condoléances  à ses proches.

Thierry Poma

Mon très cher @Bruno

Depuis que j'ai appris que tu t'es endormi pour un certain temps, j'ai beaucoup de mal à l'accepter ; c'est très difficile. Tu es toujours vivant dans mon cœur. Je reviendrai plus tard pour t'en dire un peu plus. Pour l'heure, j'apprécie beaucoup de lire ton fils Christian qui a eu beaucoup de courage pour coucher par écrit ceci, reproduit par @Philippe Malot. 

Permets-moi, pour l'heure, d’envoyer tout mon soutien durant cette épreuve à tous ceux qui souffrent de ton absence ; je les comprends.

Au revoir mon ami et à bientôt.

Sylvain

Mars 2023 aura décidément été bien funeste : j'ai perdu mon père le 12 et apprends aujourd'hui que Bruno, que j'ai eu la chance de rencontrer à Clermont-Ferrand en 2011 pour qu'il me dédicace son livre, nous a quittés 5 jours plus tard. J'adresse moi aussi toutes mes condoléances à ses proches.

Chalk

Je me connecte, je lis ça, et je suis triste. Mes condoléances à ses proches.

Wàng

Je ne connaissais pas, fréquentant le forum de façon sporadique. Mais en tant que passionné de géométrie, de géométrie projective et d'optique, son livre sur les coniques pourrait m'intéresser un jour. Je vais voir pour le feuilleter à une BU à Marseille.

Condoléances.