Théorie des ensembles
Merci de m’expliquer ce qui ne va pas dans ce raisonnement
Je construis une application f des parties de N vers [0,1[ qui
pour chaque {n1,n2,….,ni} appartenant P(N) j’associe un
k=n1n2...ni concaténation en terme informatique mais qu’on peut écrire mathématiquement :
k=n1x10 puissance -nb(n1) + n2x10 puissance -nb(n1)-nb(n2) + … + ni x 10 puissance -nb(n1)-nb(n2)-…-nb(ni)
nb : nombre de chiffre
Pour tout k appartenant à [0,1[, on a un E appartenant à P(N) tel que f(E)=k
Mais il existe des E1, E2 tq f(E1)=f(E2)=k avec E1#E2
exemple {1,12} et {11,2}.
Je construis une application f des parties de N vers [0,1[ qui
pour chaque {n1,n2,….,ni} appartenant P(N) j’associe un
k=n1n2...ni concaténation en terme informatique mais qu’on peut écrire mathématiquement :
k=n1x10 puissance -nb(n1) + n2x10 puissance -nb(n1)-nb(n2) + … + ni x 10 puissance -nb(n1)-nb(n2)-…-nb(ni)
nb : nombre de chiffre
Pour tout k appartenant à [0,1[, on a un E appartenant à P(N) tel que f(E)=k
Mais il existe des E1, E2 tq f(E1)=f(E2)=k avec E1#E2
exemple {1,12} et {11,2}.
Donc une partie de P(N) permet de constituer tout le [0,1[
Donc card(P(N)) > card([0,1[) par conséquent card(P(N)) > card(R).
Merci.
Merci.
Réponses
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Bonjour,quel est le $E$ tel que $f(E) = \frac{1}{3}$ ?Quel est le rapport avec les catégories ?
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Vous avez démontré que card(P(N)) >= card(R)Il ne faut pas respirer la compote, ça fait tousser.
J'affirme péremptoirement que toute affirmation péremptoire est fausse -
Je veux bien pardonner quelques soucis d'écriture, mais je ne vois pas en quoi cette application $f$ arriverait dans $[0,1[$.
Pour moi, elle arrive dans $\N$...Et je n'ai pas bien compris quoi faire si la partie $A$ de $\N$ que l'on considère est une partie infinie.
À vrai dire, je n'ai pas bien compris non plus dans quel ordre on est censé placer les nombres qui sont dans cette partie $A$ pour former $f(A)$.Bref, rien n'est correctement défini, donc on ne risque pas d'avoir une conclusion. -
La fonction $f$, envoie $\{2, 3, 15\}$ sur $0.2315$, ce qui est une horrible définition, et invalide le contre-exemple donné par le primo-posteurIl ne faut pas respirer la compote, ça fait tousser.
J'affirme péremptoirement que toute affirmation péremptoire est fausse -
Pourquoi sur $0.2315$ et pas $0.3215$ ou $0.1523$ ? Comment sais-tu dans quel ordre les mettre ?Et si je choisis $A=2\N$ que vaut $f(A)$ ?
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Bonjour,Ce n'est pourtant pas compliqué : chaque partie de $\mathbb N$ peut être ordonnée par l'ordre naturel sur $\mathbb N$, et on met ces entiers bout à bout pour obtenir le développement décimal (peut être impropre) d'un réel dans $[0,1]$. Tout réel de $[0,1]$ est atteint, ce qui montre comme l'a déjà écrit Mediat que le cardinal de $\mathcal P(\mathbb N)$ est supérieur OU ÉGAL à celui de $[0,1]$.$f(2\mathbb N)=\{0,0246810121416182022\ldots$. Où est le problème ?
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Défini comme ça, il n'y a aucun problème (bien que ce soit un poil compliqué). Par contre, est-ce bien ce que voulait dire l'auteur du post ?
Parce-que dans ce cas, $f(\{1, 12\}) \neq f(\{11,2\})$... -
Comment obtient-on $0,001$ dans ce cas ? ou toute valeur dans $\left]0, {10}^{-2}\right[$ ?Si on procède tel que @GaBuZoMeu l'a décrit, la fonction $f$ est loin d'être surjective sur $[0,1]$.
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Ah oui, il y a un os avec les zéros du début pour la surjectivité. Pas grave, on arrive surjectivement sur $\{0\}\cup [0.01, 1]$ .Et $f(\{1,12\})=f(\{11,20\})$.
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f({1,12})=0,112. f({11,2})=0,112 donc seule une partie de
P(N) parcourt tout [0,1[ donc Card(PN) est strictement supérieur à Card([0,1[)
Pour l’ordre, c’est bien défini dans l’hypothèse. -
Cela ne marche pas pour au moins 2 raisons :
- vous devez choisir un ordre pour les parties de N, pour créer un unique réel puisque f({11,2})=f({2, 11}), la proposition de GaBuZoMeu est la plus naturelle
- les raisonnements sur les ensembles finis ne fonctionnent généralement pas sur les ensembles infinis, et, au mieux, vous avez démontré "supérieur ou égal"
Il ne faut pas respirer la compote, ça fait tousser.
J'affirme péremptoirement que toute affirmation péremptoire est fausse -
Ben non, ce n'est pas bien défini justement, et même avec la définition correcte de GBZM, on ne parcourt pas tout $[0,1[$. D'ailleurs, on a aussi $f(\{11, 2\}) = 0.211$.
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aef, il ne faudrait pas raconter n'importe quoi ! Tu devrais lire et réfléchir aux réponses qui t'ont été faites.$\{11,2\}=\{2,11\}$ donc $f(\{11,2\})=f(\{2,11\})$Et ce n'est pas parce qu'on a une surjection de $A$ sur $B$ que le cardinal de $A$ est strictement plus grand que celui de $B$, même si chaque élément de $B$ a une infinité d'antécédents.Exemple : soit $f$ l'application de $\mathbb N$ sur lui-même définie par $f(0)=0$ et $f(2^n(2k+1))=n$. L'application $f$ est surjective et tout élément de $\mathbb N$ a même une infinité d'antécédents. Est-ce que le cardinal de $\mathbb N$ est strictement plus grand que lui-même ?
-
Pour la question de existe il un E tq
f(E)=1/3 je pose la question qui est un peu philosophique
c’est quoi d’abord 1/3?
pardonnez moi je suis plutôt informaticien logisticien.
1/3 n’est qu’une écriture dans un langage.
Mais f aboutit à tout [0,1[,
Est ce que 1/3 peut s’écrire sous la forme 0,n1n2….aussi infini qu’elle soit si oui on a la réponse sinon problème, dans ce cas appartiennent elle à [0,1[? -
Essaie de LIRE et COMPRENDRE ce qu'on t'écrit.Pour $f(E)=1/3$, n'importe quel ensemble infini d'entiers qui n'ont que des 3 dans leur écriture décimale convient.
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Soit f une application de R vers [0,1[f(r1)=0,a1a2……an. avec ai appartenant à N
f(r2)=0,b1b2….bn
f(rn)=0,w1w2….wn
par souci de ne pas pouvoir écrire des indices haut et bas
on s’arrête à w
On peut dire que si on prend un 0,z1z2…..zn
tq z1#a1 z2#b2 …. Qu’il n’existe pas de r
tq f(r)=0,z1z2….zn et puisqu’il existe des injections de R
vers [0,1[ donc
Card(R) < Card([0,1[).Comme pour la démonstration de
Card(N) < Card([0,1[) par la diagonale de Cantor
est ce que la diagonale de Cantor n’est pas valable dans cas? -
Non
Beware the flood troll.Il ne faut pas respirer la compote, ça fait tousser.
J'affirme péremptoirement que toute affirmation péremptoire est fausse -
pardonnez moi je suis plutôt informaticien logisticien.
Ce n'est pas sympa pour les informaticiens logisticiens de donner une aussi piètre image de leur profession.
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Pourquoi c’est pas valable?
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Il y’a un ordre dans la construction.
f({1,12})=0,112 et f({12,1})=0,121. C’est différent.Je n’ai pas dit que parce que l’application est surjective que card(P(N)) < card([0,1[) ce que j’ai dit c’est que si on utilise qu’une partie de P(N) dont le nombre est strictement inférieur à P(N) pour construire tout [0,1[, c’est que card(P(N)) est strictement supérieur à card([0,1[).
Ça me paraît logique quand une application construit un ensemble.
Il ne faut pas oublier que c’est une application qui construit [0,1[, ce n’est pas n’importe quelle application ! -
Tu sembles penser que $card \N > card \N^*$ puisqu'on obtient le second en enlevant un point au premier.
-
aef a dit :Ça me paraît logique
Voir Prolégomènes à toute tentative future de définition du « nombre d’éléments » d’un ensemble. (futura-sciences.com) par exemple.Il ne faut pas respirer la compote, ça fait tousser.
J'affirme péremptoirement que toute affirmation péremptoire est fausse -
f({0,0,1}=)0,001
les commentaires sans justificatifs sont inutiles, argumentez s’il vous plaît. -
Avez-vous une application qui construit N* à partir de N ?
Dans ce cas, si oui ça démontre que j’ai tort.
Mais pas une application qui associe, il me semble qu’il y a quelque part une différence. -
$n \to n+1$Il ne faut pas respirer la compote, ça fait tousser.
J'affirme péremptoirement que toute affirmation péremptoire est fausse -
C’est une association, ce n’est pas une construction.
Quand on construit Q à partir de ZxZ* on utilise
tout ZxZ* pour arriver à construire Q.
plus tard c’est la définition de l’égalité p/q=r/t qui
peut réduire l’ensemble de départ.
Et ça c’est une priorité supplémentaire qu’on définit sur Q.
C’est pour ça qu’on a les mêmes cardinaux.
-
Bon courage à ceux qui voudront faire progresser aef, moi j'abandonne, hésitant entre mauvaise foi et totale incompétence.Il ne faut pas respirer la compote, ça fait tousser.
J'affirme péremptoirement que toute affirmation péremptoire est fausse -
Pardon, votre application n —> n+1 construit bien N* à partir de N.
Elle joue en ma faveur, elle est surjective et vous avez besoin de tout N pour construire N* , c’est pour ça que N et N* ont le même cardinal.
Pour mon exemple je n’utilise qu’une partie de P(N) d’où ma conclusion.
-
Et même dans Q c’est parce qu’on ne sait pas quoi faire des éléments p/0 qu’on les enlève sans les aménager et qu’on enlève dès le départ.
-
Quelqu’un a-t-il proposé la suite $\{9,99,999,etc.\}$ ?
Ça donne un problème de surjectivité si on laisse $[0;1[$. Puisqu’on pédale dans la semoule, ça me paraît opportun. -
@Dom : relis https://les-mathematiques.net/vanilla/index.php?p=/discussion/comment/2410208/#Comment_2410208 .@aef : relisGaBuZoMeu a dit :Exemple : soit $f$ l'application de $\mathbb N$ sur lui-même définie par $f(0)=0$ et $f(2^n(2k+1))=n$. L'application $f$ est surjective et tout élément de $\mathbb N$ a même une infinité d'antécédents. Est-ce que le cardinal de $\mathbb N$ est strictement plus grand que lui-même ?
-
$\mathbb{N} \setminus \{0\} = \mathbb{N}^*$ donc $\mathbb{N}$ a exactement un élément de plus que $\mathbb{N}^*$. Cependant, ${\rm Card}(\mathbb{N}) = {\rm Card}(\mathbb{N}^*)$ par la bijection $n \longmapsto n+1$.
-
Démonstration de card(N) < card([0,1[) sans la diagonale de Cantor, ça a un rapport avec
P(N)
soit une application constructrice de [0,1[ qui pour chaque n j’associe et je construit:
l’element 0,n
f(n)=0,n
Je vais démonter qu’elle n’est pas injective mais en réfléchissant plus
profondements sur les éléments, en math on a tendance à éliminer les éléments
gênants probablement par qu’on a d’autres soucis à résoudre.
l’element 0,001 a comme antécédent 001 or d’après mois 001 n’appartient pas à N,
c’est une suite de chiffre sans signification, n’oublions pas que N est l’ensemble
des entiers naturels, il y’a le mot naturel, quelqu’un qui vous dit j’ai 04 arbres dans mon
jardin, vous le prenez pour qui..
Je ne pense pas que la théorie qui construit N par succession peut aboutir à des éléments
comme 001 000001 ….
Donc 0,001 qui a bien une bonne signification dans [0,1[ n’a pas d’antécédent dans
N.Maintenant supposons que 001 appartient à N on a
1=01=001…
Quand on va comptabiliser N pour savoir son cardinal
on va compter un seul élément pour 1 01 001 …
puisque 1=01=001
Donc avec un seul élément 1 je peux construire plusieurs éléments
dans [0,1[ et qui sont différents.
Donc [0,1[ est plus fournis en éléments que N.
Donc card(N) < card([0,1[).
C’est le même principe que pour P(N) puisque je peux utliser
qu’une partie de P(N) pour construire [0,1[
card (P(N)) > card([0,1[) -
Comme d'habitude, démonstration de
- Votre totale méconnaissance du sujet
- Votre refus de comprendre que les ensembles infinis ne se traitent pas comme les ensembles finis
- Votre manie de confondre principe d'Aristote et principe d'Aristote fort.
- Votre refus de lire les réponses qui vous ont été faites
Il ne faut pas respirer la compote, ça fait tousser.
J'affirme péremptoirement que toute affirmation péremptoire est fausse -
aef a dit :C’est le même principe que pour P(N) puisque je peux utliserqu’une partie de P(N) pour construire [0,1[
card (P(N)) > card([0,1[)Et comme on peut construire $\Z$ avec simplement une partie de $\N$, on a $card \N > card \Z$...Ce topic devrait basculer dans Shtam dans peu de temps.
-
Le fermer, tout simplement.
-
Comment on peut construire Z avec une partie de N?
-
Je ne comprends pas ton application, elle part de quel ensemble pour construire quel ensemble ?
-
Mathbb !!!!
ensemble des depart?
ensemble d’arrivée ?
l’application sur l’élément de départ ? -
Pour la question sur {9,99,999,…} appliquez la définition donnée
dans l’hypothèse -
Il existe une bjection de $\N^*$ vers $\Z$. Avec ton raisonnement, on en déduirait que $card N > card Z$.
-
Il ne faut pas respirer la compote, ça fait tousser.
J'affirme péremptoirement que toute affirmation péremptoire est fausse -
Prenons l’application f qui construit N à partir de Npair.
f(n)=k tq n=2k. Elles ont le même cardinal.
Cette application n’est pas définie sur Nimpair puisque il
n’existe aucun k tq nimpair =2k.
On peut pas donner ça comme un comptre exemple et
dire qu’on construit N à partir d’une partie de N et qu’on a le même
cardinal car l’application n’est pas définie sur Nimpair.
Ce n’est pas le cas de mon application qui est définie
sur tout P(N).
Pour donner un contre exemple il faut que l’application soit
définie sur tout l’ensemble et qu’on utilise qu’une partie
alors que les cardinaux sont égaux. -
Visiblement aef ne sait pas lire :Soit f l'application de N sur lui-même définie par f(0)=0 et f((2k+1)*2^n)=n. (Autrement dit l'image d'un entier >0 est l'exposant de la plus grande puissance de 2 qui divise cet entier). L'application f est surjective et tout élément de N a même une infinité d'antécédents. De fait on n'utilise qu'une toute petite partie de N pour "construire" N : il suffit des puissances de 2. Donc, selon aef, le cardinal de N est strictement plus petit que celui de N.Si on arrêtait là ?
-
Vous utilisez que les puissances de 2, l’application n’est pas définie sur
sur les impairs.
Donc ce n’est pas un contre-exemple.
Pour cela, il faut que l’application soit définie pour tout x appartenant à l’ensemble et qu’on utilise qu’une partie de cette ensemble pour
générer un autre.
Par manque d’argumentations je vais arrêter la discussion.
-
Il n’y pas besoin des impairs pour générer 0, c’est une construction artificielle
-
Qu’est-ce qu’une construction artificielle ? Qu’est-ce qu’une construction non artificielle ?
-
Vous construisez N avec 2N U {1} c’est tout
-
Tu ne comprends même pas qu'une fonction a le droit d'être définie par morceaux. C'est grave.
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Bonjour!
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