Codage informatique dès le primaire

Sato

C’est ridicule : le sens en français d’un anglicisme n’est jamais celui du mot dans la langue anglaise. Un exemple caricatural : slip.

Fin de partie

Sato:
Dommage que tu n'aies pas répondu à ma question.

nicolas.patrois

Sato, on parle pourtant de code source.

lourrran

Si vous croisez un jour un type qui vous montre son bulletin de salaire, sur lequel il serait écrit : Profession CODEUR , faites-moi signe.

Les médias ont un peu de mal avec les termes en vigueur dans ce domaine. Dans le même genre, ils confondent souvent programmeur et programmateur.

Dans les médias, il y a le programmateur musical, et donc le programmeur informatique se retrouve soudain renommé programmateur informatique.

Fin de partie

Je n'ai toujours pas compris ce qu'il y avait de dépréciatif dans l'emploi du mot code.
Ce mot s'est revalorisé dans le grand public (pas nécessairement pour de bonnes raisons) me semble-t-il depuis la parution d'un certain roman qui a rencontré un grand succès.

Rescassol

Bonjour,

J'ai commencé à écrire du code justement dans les années 80, et je continue.
En plus de mon boulot de prof de maths, j'ai enseigné le Pascal, le C, le C++, le C#, le Python, pour ne citer que quelques langages. Pour moi coder et programmer ont toujours été synonymes et je ne vois rien de dépréciatif dans le mot "coder".

Cordialement,

Rescassol

Fin de partie

Quelle est la dénomination utilisée actuellement par les sociétés de services pour désigner le métier de développeur de logiciels?
A une époque on parlait d'analyste-programmeur. A l'époque où j'y ai travaillé brièvement il y avait écrit sur ma feuille de salaire ingénieur de développement.

Riemann_lapins_cretins

Pour répondre sur la lisibilité, le problème des exemples que j'avais en tête était que même un simple programme d'une cinquantaine de lignes au plus était illisible. Je me souviens de l'un d'eux qui m'avait fait lire son algorithme de division euclidienne de polynôme. Le prof était là aussi. On s'est regardés en faisant des gros yeux.

Tu as raison lourran, apprendre le code tôt permettrait de remédier aux mauvaises habitudes. Par contre il serait bon de changer un peu d'approche, parce que les algorithmes lourdingues, soit trop faciles pour qui a un peu de sens logique, soit très techniques pour faire des choses qui n'enchantent pas grand monde, je ne pense pas que ça fasse naître des vocations.
Être suffisamment formé pour faire un projet un peu ambitieux par soi-même serait plus enchanteur et bien plus formateur.

lourrran

Qu'est ce qu'il faut mettre dans cette formation, comment faire pour que ce soit efficace/ motivant , c'est effectivement une question très compliquée.
La bonne chose, c'est que c'est fait dans quelques classes volontaires.
Reste à savoir ce que ça veut dire, des classes volontaires, mais je pense que quand le prof est volontaire pour ajouter telle ou telle option, c'est magique. Le prof est motivé, passionné, il transmet sa passion à des enfants, et c'est un plus non négligeable.
Les gamins n'apprennent pas forcément l'informatique, mais ils acquièrent l'envie d'apprendre.

C'est clair que si on dit : à la rentrée 2022/2023, tous les élèves de CM1 auront une formation à la programmation, ça va être un échec total. Le mammouth ne sait pas s'adapter aussi vite.

@FdP
Je bosse dans une multinationale américaine, les intitulés de poste sont en anglais ... Il y a beaucoup d'informaticiens, quelques milliers. On trouve beaucoup de 'developer', 'software developer', 'software engineer', 'senior software engineer', 'Tech leader' et aussi quelques 'tester', 'test engineer', 'architect', 'analyst' ...