Agreg interne 2021/écrits

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Réponses

  • Nouvelle vidéo de Philippe Caldero :
  • Ca marche, merci pour la réponse !
  • Ah merci @Jaymz, je n'avais pas lu en détail le brouillon de @ev, j'avais juste lu "en sautant (hop!) la partie 2" dans son commentaire. Mais effectivement @ev a déjà répondu à pas mal de questions de la partie II...

    Et merci @ev pour ton retour, je comprends mieux, effectivement c'est plus sage d'arrêter au moment où on n'y voit plus clair du tout... sûrement un de mes gros défauts du coup, car je vais écrire de grosses bêtises en pensant comprendre ce qui se passe. Je retiens le conseil, merci.
  • J’ai toujours trouvé ça difficile de zapper une partie surtout quand c’est la « 2 ».
    Mais c’est un bon choix, puisque la montre joue...
    Si en plus on a des choses à dire dans la partie « 3 », c’est évidemment ce qu’il faut faire.

    La difficulté est de savoir quand prendre cette décision... de trancher une fois pour toutes et de parvenir à ce que son esprit lâche vraiment ce que l’on a abandonné. Je me suis déjà retrouvé à faire une question tout en ayant un « fond de tâche » qui tente encore d’en travailler une autre. Beurk, l’impression d’avoir été mal programmé par Microsoft (euphémisme et pléonasme à la fois).

    En plus, très bêtement je dois le dire, j’ai l’impression de « manquer de respect » (le mot est trop fort, ne m’engueulez pas !!!!) au jury (auteur, correcteur, un peu tout le monde).
    Je persiste à le dire : c’est très bête.

    C’est mon problème dans d’autres situations de la vie courante.
    Voilà pour ma thérapie dominicale, cher faux rhum.

    édit : coquille
  • D'après ce qu'explique Philippe Caldéro, il y a plein de questions simples ou classiques à grapiller dans la partie 3.
  • C'est terrible, mon cerveau lit, "Philippe Candeloro" au lieu de "Philippe Caldéro" chaque fois.
    Karl Tremblay 1976-2023, je t'appréciais tellement.
  • Bonjour à tous,
    Un petit mot de réconfort pour les collègues qui, au sortir des épreuves, ont l'impression de ne pas pouvoir y arriver.
    Selon le rapport 2019, la grande majorité des admis a d'abord raté l'interne l'année précédente. Rien n'interdit de penser que parmi les lauréats de 2019 n'ayant pas raté l'interne en 2018, une partie a raté l'externe.

    Rater l'agreg, se sentir - à tort, c'est un concours- humilié par les notes qui nous sont attribuées, avoir l'impression que le concours est hors de portée, est le lot de la majorité d'entre nous. Je crois que tout se joue sur notre réaction : est-ce qu'on s'accroche.

    Pour que celui qui s'intéresse à mon avis puisse le situer, je présente mon parcours : cette année, j'ai suivi une préparation et un peu sondé des anciens correcteurs, l'an dernier j'ai échoué pour 0.25 à l'externe après avoir échoué deux fois aux oraux. La première fois, aux oraux de l'externe, j'ai eu 1.25, 1.75 et enfin 4.75 à l'épreuve que je pensais avoir réussie.

    La lecture de "brouillons" (mieux présentés que ma copie, chapeau ev !) peut faire tout chose. J'ai passé une heure à tenter de montrer que que les $e_{\lambda_i}$ forment une famille libre, à me retrouver avec un système d'équations au milieu d'une récurrence, pour finalement me rendre compte au milieu du week-end qu'il m'avait manqué un argument pour conclure. Alors, utiliser la dérivation comme endomorphisme de $C^\infty$, c'est ... Merci ev !

    Pour le barème, j'en suis arrivé à l'hypothèse que :
    1) on attribue plus de points aux questions incontournables (on échange limite / intégrale sous toutes les déclinaisons par exemple) ou subtiles dans lesquelles le candidat doit trouver un argument qui ne saute a priori pas aux yeux, par exemple parce qu'il faut "voir" un objet comme on ne l'a pas encore vu dans le sujet. Ici, l'exemple de l'argument d'ev est parfait : voir la fonction comme un vecteur propre de la dérivation, c'est élégant et surtout, ça prouve que le candidat (qui n'en est pas réellement un, si j'ai bien compris, mais dans tous les cas merci d'être passionné ev) est capable de sortir du modèle utilisé pour voir l'objet dans un autre cadre
    2) cela dépend surtout de ce qu'a produit l'ensemble des candidats pas trop largués : il me semble que les sujets varient en longueur et en difficulté mais rarement en note moyenne - barre d'admission.

    Donc, pour le candidat moyen, tout n'est question que d'avantage comparatif : tel le chasseur-cueilleur nomade choisissant son terrain de prédilection, il est pertinent (selon-moi, et je serais heureux de me faire expliquer pourquoi je me trompe) de s'aventurer là où l'heure rapporte le plus de points.
    J'ai bifurqué sur la partie V.équadiffs au bout de 4h et j'ai l'impression d'avoir suivi une stratégie pertinente, puisqu'elle m'a permis d'écrire sans trop bloquer durant les deux dernières heures.
    Au contraire, en MG, je me suis plus senti tel le chasseur-cueilleur enchaîné dans un atelier clandestin ; et j'ai en fait souffert en attendant qu'on me libère. Même la présentation m'a paru horrible (ceci dit, il est fort probable que ma frustration se projette aussi sur la présentation).

    Bref, pour résumer :
    - ne pas se décourager, on a dans la majorité commencé avec des 1 et des 4 ;
    - c'est d'autant plus normal que c'est une notation de concours et que ceux qui l'ont raté 3/4 fois ont engrangé assez d'expérience pour être devant ;
    - c'est d'autant plus rassurant que cela signifie que l'agreg attend ceux qui travaillent et ne se découragent pas ;
    - on ne doit pas se comparer aux fusées qui vont la réussir très vite, comme OShine, par exemple.

    Et j'oubliais le plus important; bosser les oraux, même si on n'est pas admissible, il faut s'y prendre à l'avance, parce qu'avec 80 leçons, c'est dommage de la rater dans un an avec 9/20 aux écrits parce qu'on a essayé de tout préparer après les résultats de l'écrit. Alors autant commencer tout de suite, avoir 5-10 leçons prêtes en septembre met du baume au coeur quand on attaque l'année...

    Ce message, certainement maladroit et partiellement faux est plein de bienveillance, je serais heureux d'aider des collègues et n'ai pas peur de le faire, en fait je ne veux pas l'avoir en ayant été le moins pire, j'ai trop bossé pour garder en bouche le goût d'un échec récompensé.

    PS : pour la partie V, une seule idée (ou presque) est nécessaire, multiplier x'- a.x=b par l'exponentielle d'une primitive de a, primitive qui s'annule en 0 ou en s suivant les cas. D'ailleurs, quand j'écris ça, je suis moins satisfait de moi tout d'un coup...
  • Merci Chelito pour ton message :)
    J'ai préparé quelques leçons cette année (à peine 10 sont à peu près correctes).Si j'avais une petite chance d'être admissible, je ne serai pas du tout prête pour les oraux .
    Je vais m'y mettre ces jours ci mais je ne sais pas trop quelles leçons sont incontournables et sur lesquelles on peut faire l'impasse.
    Je vais réfléchir sérieusement à un congé de formation ou la possibilité d'arranger mon EDT pour suivre une formation 1 jour par semaine.
    Mais comme mes collègues ne veulent pas d'heures sup, c'est moi qui vais encore me les coltiner!
  • Lis le rapport de jury 2019 - partie oraux. Ils précisent quelles leçons sont valorisées si on les prend, ce qui laisse une chance d'être plus optimistes. ;-)

    Ceci dit, selon un ancien membre du jury qui enseigne dans la prépa agreg que j'ai suivie, les couplages sont filtrés de manière à ce qu'on évite un couple de leçons estimées difficiles, j'imagine que du coup les leçons faciles risquent d'être plus fréquentes.
  • Merci! Je vais lire le rapport.
    Dans les leçons que j'ai préparées , j'ai trop tendance à copier sur les leçons toutes faites des bouquins de leçons(Kieffer notamment).
  • Par récurrence, cela fonctionnait bien il me semble pour les e(lambda i ), non ?
  • Chelito je ne vise pas de concours. Je fais des maths pour progresser, et je fais plutôt des sujets de concours Centrale PC pour l'instant car je n'ai pas encore le niveau pour les sujets MP.

    Le jour où les maths me paraitront plus simples je passerai peut être le concours. Pour l'instant je me sens nul donc je n'ai pas envie de passer ce concours.
  • @ rebzdiche.

    À condition de bien rédiger la récurrence, à commencer par l'énoncé de la proposition de récurrence.
    On a vu des candidats déraper sur des questions comme celle-là.

    e.v.
    Personne n'a raison contre un enfant qui pleure.


  • Ça marche, merci ! J'ai fait super attention.
  • OShine écrivait : http://www.les-mathematiques.net/phorum/read.php?6,2158002,2174454#msg-2174454
    > Voici ce que j'ai réussi des préliminaires.

    Juste surjectif pour ton application suffit et est vrai par construction de ton application ?
    Ou me trompé- je ?
    Éclaire-moi.

    Sans vouloir dire que l’injectivité soit difficile !!
  • Oui il me semble qu'elle soit surjective par construction mais je suis habitué à traiter l'injectivité par réflexe.
  • [Inutile de reproduire le message précédent. AD]
    OShine Ok
    Merci.

    Si d’autres ont un avis ?
    Cela m’intrique car quand c'est vrai par construction il n’y a rien à démontrer sauf l’égalité des dimensions qui est un résultat de cours !
  • D’ ma question.
  • Bonjour, suite à une discussion avec certains candidats à l externe, j ai une question quant à la demo de (fngn) CU vers fg ds le cas ou fn et gn CU vers f et g, en travaillant avec la def de la CU, j obtiens:
    pour tt eps >0 , il existe N entier nat tq pour tt x réel, I fn(x)gn(x)- f(x)g(x) I < eps( eps +norme infinie(f) +norme infinie(g))
    ce qui traduit (pour moi) ce que l on voulait ( bien que la majoration ne soit pas élegante du tout), pour un concours du niveau de l’agrégation interne cette "inélégance " vous semble t elle pénalisable? ou peut on juger la réponse incomplète?
    merci bien pour vos retours
  • Quand tu parles "d'élégance", qu'entends-tu par là ?
    Choisir le bon alpha au départ pour pouvoir dire à la fin que |fn.gn(x)-fg(x)| < eps , sans les constantes ?

    Si c'est ça, je pense qu'on s'en fiche royalement :)
  • oui c est ca, le fait qu on ait du eps au carré +k.eps à droite et non pas juste eps...
  • Je pense que les correcteurs s'en fichent royalement si c'est bien rédigé... Je pense même qu'au contraire, c'est "agaçant" de vouloir absolument sortir le bon alpha qui va bien.

    En gros, si ta copie est parfaite et que tu sors le bon alpha, et bien tant mieux... Mais si la copie est pas top et que tu passes 30min à sortir le bon alpha, c'est pas forcément une bonne chose je pense :D
  • c est ce que je me disais, si le ratio temps / optimisation de la rédaction n est pas bon ca n en vaut pas la peine, et "le coeur " de la reponse est bien avant.
    Merci
  • Les « $\varepsilon$ qui tendent vers $0$ » sont stables par $+$ et $\times$.
    Donc en effet, c’est inutile de calibrer pour calibrer.

    Oui bon j’ai mis les guillemets sur le truc très mal dit :-)

    Et comme dit plus haut ça peut même agacer le lecteur (correcteur) : « mais qu’est-ce qu’il fabrique ? ».
  • ok , merci bien pour les réponses
  • Pour cette question, ne suffit-il pas d'ajouter et retrancher $fg_n$ et d'utiliser l'inégalité triangulaire et la sous-multiplicativité de la norme infinie ?
  • oui, et preciser que norme infinie(gn) tend vers norme infinie(g)( a demontrer ??) et ca marche par encadrement , perso j'avais commencé avec les eps le jour j, affirmer que la norme infinie est ss multiplicative m a fait un peu peur( certainement à tort), .... c est pour ca
  • @kbonom:
    $$||fg||_\infty = \sup_{x€\R} |f(x)g(x)| \leq \sup_{x€\R} (||f||_\infty |g(x)|) = ||f||_\infty ||g||_\infty $$
  • je sais...mais à mon niveau et à ce moment la ,revenir aux eps etait plus rassurant, tkx
  • Il me semble en tout cas que le souci de rigueur est là, ça devrait payer aux écrits parce que le jury se plaint chaque année du manque de rigueur et de précision dans les réponses ;-)
    Bonne chance pour l'admissibilité !
  • on verra bien... merci , bonne chance a toi aussi
  • Phil Caldéro qui dit qu'il ne comprends pas pourquoi à l'interne on se retrouve avec des adultes qui ont une charge de travail importante, des enfants etc qui se retrouvent avec des problèmes plus difficiles que des jeunes à l'externe.
  • Parce que les sujets ne sont pas toujours super bien conçus dans l’optique du concours ?
    Certes, la critique est facile mais l’art etc. Il semble quand même que d’une année à l’autre les sujets font un peu le yoyo entre « trop dur, fallait faire une question et demi pour être admissible » et « trop abordable, fallait prévoir des anti-inflammatoires pour le poignet ».

  • @OS : ben passe l'externe et arrête tes jérémiades. Tu vas quand même pas reprocher à un concours d'être difficile, on croit rêver.

    La raison est simple : l'interne fait le plein alors que pas l'externe. Il y a besoin de sélectionner plus à l'interne (trop de certifiés veulent être agrégés donc faut les choisir) sans forcément classer (le rang n'a pas d'importance) à l'inverse de l'externe qui a besoin de nouvelles recrues dans l'EN en masse (donc faible sélection) mais classement fort pour les postes plus convoités (prépa,...).

    Et arrête tes arguments d'autorité en citant quelqu'un de soi-disant brillant, en le suivant comme un mouton sans te faire ton propre avis. Tu as le droit de penser par toi-même et de faire ton propre raisonnement. Tu ne fais que "recopier un corrigé" même quand il ne s'agit pas d'un problème de maths, c'est fou.
  • Oui Alexique ça doit être ça.

    Ils ne veulent pas trop de candidats à l'interne car que 100 postes pour 1200 présents c'est déjà un ratio ultra bas, alors ils essaient de décourager et dégoûter les rares courageux en mettant 200 leçons et des épreuves de niveau Polytechnique MP pour faire baisser le nombre de candidats.

    Alors qu'à l'externe ils veulent faire le plein.

    De toute façon ceux qui vont en prépa sont des extraterrestres en maths, les gens "normaux" ne peuvent pas les concurrencer.
  • La notion de difficulté de l'épreuve n'a pratiquement aucun intérêt en soi.

    La seule question intéressante est de savoir si l'épreuve est capable de remplir son rôle de sélectionner les candidats. Il faut alors éviter deux écueils : l'épreuve qu'un nombre important de candidats va traiter (avec plus ou moins de bonheur) en grande partie, comme Analyse X 1992 (que personnellement j'avais fini au bout de 2h, sauf une question qui m'a résisté jusqu'à la fin), ou au contraire les épreuves quasi infaisables (comme le problème de Koszul, ou par exemple MG 1999 à l'externe - pour l'avoir passée, je sais que j'étais environ 80ème à l'épreuve en ayant traité très peu de questions, peut-être 4 ou 5).

    Pour le reste, les jurys sont capables par transformation des notes de produire une épreuve bien discriminante et classante, et notamment qui joue pleinement son rôle aux endroits sensibles (admissibilité, admission).

    Après il ne faut pas se laisser impressionner par le nombre de présents aux épreuves : certains y vont juste pour le plaisir de faire des maths et les sortir de leur quotidien pendant deux journées, d'autres visent sérieusement le concours mais viennent voir, car la réussite des concours internes s'envisage souvent sur plusieurs années.

    Lorsque j'étais étudiant, de mémoire le ratio reçus/présents du même ordre à l'ENS Ulm et au CAPES ; et pourtant, je n'en déduirais jamais ces concours étaient de difficulté équivalente.
  • Bonjour,
    Math2 a écrit:
    Analyse X 1992 (que personnellement j'avais fini au bout de 2h, ....................
    MG 1999 à l'externe - pour l'avoir passée.....................
    Tu es abonné, tu la passes tous les ans ? :-D

    Cordialement,

    Rescassol
  • Faire des épreuves difficiles peut décourager beaucoup de personnes qui envisageaient de préparer l'agreg interne.

    Car en soi on peut sélectionner avec des épreuves de niveau ccp.
  • On peut sélectionner avec le concours kangourou ou une course en sacs.
  • Les moyens de sélections ne sont pas indépendants :

    Les kangourous sont favorisés pour les courses en sac.

    e.v.
    Personne n'a raison contre un enfant qui pleure.


  • On pourrait créer un concours commun CCP-CAPES-agreg interne, ça simplifierait l'organisation.
  • Rappel : O Shine ne parle jamais de la situation générale, seulement de lui : "Faire des épreuves difficiles peut décourager beaucoup de personnes qui envisageaient de préparer l'agreg interne" traduction :"Faire des épreuves difficiles me décourage" même s'il raconte toujours qu'il n'envisage pas de préparer l'agreg interne (mensonge habituel).
  • OS a écrit:
    Faire des épreuves difficiles peut décourager beaucoup de personnes qui envisageaient de préparer l'agreg interne
    Mais l'Etat s'en fout royalement de décourager ou pas les gens à préparer l'agreg interne. C'est un concours de promotion pour gagner plus et faire moins d'heure, quel est l'intérêt de l'Etat là dedans à part la bonne santé et le bonheur de ses fonctionnaires ? Aucun, tout simplement ! Ca lui coute de l'argent donc il n'a absolument aucune raison de se plier à tes critiques Oshine (déjà que nous...). Après, il y a quand même le prestige du statut qui fait que les exigences de l'agreg sont forcément supérieures à celles du CAPES (donc on peut pas faire trop facile quoi) et faire quelque chose d'infaisable n'est pas non plus le but car il y aura alors peu d'admis tandis que si l'Etat veut peu de recrues, il lui suffit telle année de diminuer le nombre de postes. Bref, tout ça pour dire que ce qui fait la difficulté de l'agreg interne, c'est le nombre de postes, pas spécialement les maths.

    Par contre, si tu n'es pas reçu et que tu dis "c'était trop dur", ben non, peut-être que les admissibles aussi l'auront trouvé dur, simplement ils auront été meilleurs que toi... Les reçus en tant qu'admissibles même en ayant galéré, ne se seront pas découragés pour autant. A toi de voir si tu veux te lamenter et gémir ou si tu veux être proactif dans ta réussite. Avec cet état d'esprit, arrête tout de suite.
  • Si j'ai bien compris, Oshine est stagiaire . Il devrait donc être débordé de boulot :préparation, copies, conseils de classe, suivi des élèves...
    Comment trouve t-il le temps pour venir ici plusieurs heures par jour et faire aussi des sujets de concours?
  • C'est un mystère.

  • Je n'ai rien d'autre à faire.

    On est en mode semestre donc que 2 conseils de classe par an.
    Je ne suis pas prof principal donc ça me dégage énormément de temps.
  • Si j'ai bien compris, tu débutes l'enseignement en maths,
    on est, de plus, dans une année très perturbée et tu as énormément de temps?
    Personnellement, je n'ai qu'un nouveau niveau (maths expertes) et des classes en pleine réforme.
    J'ai passé la plus grosse partie de mes vacances à bosser, et j'ai la sensation d'être déjà débordé dès la reprise.
    Tout ça avec 25 ans d'expérience et un nouvel emploi du temps d'agrégé.
    Je ne sais pas comment tu fais pour pouvoir dégager tout ce temps.
  • On trouve autant de manières de travailler que de profs.
    Cela m’étonne aussi mais je croise encore des profs qui assument de ne rien préparer (autant dans des nouveaux que des « chevronnés »).

    Le pire c’est qu’à la lecture des résultats d’examens, on ne voit pas de différence sensible.
  • On peut faire un très bon cours sans l'avoir préparé.
    On peut faire un très mauvais cours en l'ayant préparé.
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