Au sujet du plus familier
J'aurai presque fait le tour...
je fus sans cesse surpris, et pourtant, j'avais raison de me méfier : tout ce dont vous parlez est le ressac qui s'use...
un petit détour, pour éclairer ?
Prenons mon auteur favori : Allan Edgar Poe et sa nouvelle : "La lettre volée".
Ce diplomate scélérat a en sa possession une ignominieuse lettre, et fait chanter les plus hautes personnalités...
Il doit l'avoir à proximité, c'est forcé, et les services secrets de fouiller et refouiller minutieusement son bureau : elle est là, mais où ?
L'auteur nous dévoile, à la fin de sa nouvelle que l'odieux personnage l'avait tout simplement cachée sur son bureau, bien en évidence, un peu chiffonnée, la lettre, un peu salie, collée à une autre...
Combien d'inspecteurs fébriles, inquiets, l'avaient tenu entre leurs mains sans lui prêter la moindre attention...
Et il en fut ainsi de toutes vos belles équations.
Oui, toutes, au centre ont cette lettre volée que vous recherchez avec tant de ténacité.
Est-ce ma méfiance qui m'y aura dirigé ?
Car enfin, vous ne pouvez le nier, il y a une certaine beauté dans vos équations.
ce que j'ignorai, c'est que j'avais trouvé l'équation de la beauté.
La beauté, une équation ? Allons donc ! Tournez la page : niaiseries à oublier !
J'ai toujours été à la recherche de la plus grande beauté, j'ai devinez vos champs mathématiques sans y entrer.
J'en aurai ouvert d'autres, comme celui des nombres premiers.
Tant pis pour vous : celui qui y entrera fera comme moi : il en pleurera.
J'aurai tourné longtemps autour de cet opérateur... comment l'appeler ? Auto-opérationnel et sans échelle, (l'un pas sans l'autre et l'autre sans l'un).
C'est un pan entièrement nouveau que ces logiques là : pensez ! elles dépendent de l'observateur : cela n'a jamais été fait.
Ce qui m'aura longtemps égaré : chaque fois, je reprenais mon bâton de pèlerin et j'arpentais l'édifice, et, à chaque fois une vision différente !
L'itinéraire me semblait changé, mon étonnement ne cessa que lorsque je m'aperçus que ce changement faisait partie de l'équation...
Alors ? la voilà entérinée l'équation de la beauté... Oui, mais elle ne cesse de se contredire semant les plus magnifiques théories qui la renforce encore et la perde toujours...
Cette pâte à modeler les logiques étaient bien trop vaste pour moi : je le sentais : eus-je consacrer chaque minute de ma vie à son défi, je n'aurai eu point d'assurance, seulement de confirmer mon impuissance, d'autant qu'elle nous offre, nous, dans un de ses scénarios qui n'a pas besoin d'être trouvé, seulement esquissé, imaginé... J'ai abandonné, j'y reviens encore, car j'aime son retranchement ultime (logique).
Si je ré-écrit dans ce forum, c'est que j'ai enfin ma revanche : le tour ne peut être fait, du moins d'ici, par contre, la beauté peut s'exprimer en dehors de vos équations...
Eh, oui : j'aurai trouvé aussi beau que vos mathématiques...
C'est le domaine le plus étrange possible, il s'agit de choisir, parmi les logiques, pour sûr la plus belle !
Le miracle, c'est qu'elle se concrétise, elle vient à vous, vous pouvez l'écrire !
la regarder et sentir le frémissement de la beauté achevée.
Ma revanche ? La pure joie de la pensée n'est plus que mathématique, c'est, en fine comparaison, la découverte des nombres irrationnels du langage. L'un aura précédé l'autre, mais une fois acquis, irrépressiblement viral, un peu comme votre passion, non ?
Adieu mathématique, bonjour poésie.
Logique Naïve
je fus sans cesse surpris, et pourtant, j'avais raison de me méfier : tout ce dont vous parlez est le ressac qui s'use...
un petit détour, pour éclairer ?
Prenons mon auteur favori : Allan Edgar Poe et sa nouvelle : "La lettre volée".
Ce diplomate scélérat a en sa possession une ignominieuse lettre, et fait chanter les plus hautes personnalités...
Il doit l'avoir à proximité, c'est forcé, et les services secrets de fouiller et refouiller minutieusement son bureau : elle est là, mais où ?
L'auteur nous dévoile, à la fin de sa nouvelle que l'odieux personnage l'avait tout simplement cachée sur son bureau, bien en évidence, un peu chiffonnée, la lettre, un peu salie, collée à une autre...
Combien d'inspecteurs fébriles, inquiets, l'avaient tenu entre leurs mains sans lui prêter la moindre attention...
Et il en fut ainsi de toutes vos belles équations.
Oui, toutes, au centre ont cette lettre volée que vous recherchez avec tant de ténacité.
Est-ce ma méfiance qui m'y aura dirigé ?
Car enfin, vous ne pouvez le nier, il y a une certaine beauté dans vos équations.
ce que j'ignorai, c'est que j'avais trouvé l'équation de la beauté.
La beauté, une équation ? Allons donc ! Tournez la page : niaiseries à oublier !
J'ai toujours été à la recherche de la plus grande beauté, j'ai devinez vos champs mathématiques sans y entrer.
J'en aurai ouvert d'autres, comme celui des nombres premiers.
Tant pis pour vous : celui qui y entrera fera comme moi : il en pleurera.
J'aurai tourné longtemps autour de cet opérateur... comment l'appeler ? Auto-opérationnel et sans échelle, (l'un pas sans l'autre et l'autre sans l'un).
C'est un pan entièrement nouveau que ces logiques là : pensez ! elles dépendent de l'observateur : cela n'a jamais été fait.
Ce qui m'aura longtemps égaré : chaque fois, je reprenais mon bâton de pèlerin et j'arpentais l'édifice, et, à chaque fois une vision différente !
L'itinéraire me semblait changé, mon étonnement ne cessa que lorsque je m'aperçus que ce changement faisait partie de l'équation...
Alors ? la voilà entérinée l'équation de la beauté... Oui, mais elle ne cesse de se contredire semant les plus magnifiques théories qui la renforce encore et la perde toujours...
Cette pâte à modeler les logiques étaient bien trop vaste pour moi : je le sentais : eus-je consacrer chaque minute de ma vie à son défi, je n'aurai eu point d'assurance, seulement de confirmer mon impuissance, d'autant qu'elle nous offre, nous, dans un de ses scénarios qui n'a pas besoin d'être trouvé, seulement esquissé, imaginé... J'ai abandonné, j'y reviens encore, car j'aime son retranchement ultime (logique).
Si je ré-écrit dans ce forum, c'est que j'ai enfin ma revanche : le tour ne peut être fait, du moins d'ici, par contre, la beauté peut s'exprimer en dehors de vos équations...
Eh, oui : j'aurai trouvé aussi beau que vos mathématiques...
C'est le domaine le plus étrange possible, il s'agit de choisir, parmi les logiques, pour sûr la plus belle !
Le miracle, c'est qu'elle se concrétise, elle vient à vous, vous pouvez l'écrire !
la regarder et sentir le frémissement de la beauté achevée.
Ma revanche ? La pure joie de la pensée n'est plus que mathématique, c'est, en fine comparaison, la découverte des nombres irrationnels du langage. L'un aura précédé l'autre, mais une fois acquis, irrépressiblement viral, un peu comme votre passion, non ?
Adieu mathématique, bonjour poésie.
Logique Naïve
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