Polynôme de Z[X]

Salut. Si $P$ est un polynôme de $\mathbb{Z}[X]$ unitaire, et si $Q\in\mathbb{Q}[X]$ est unitaire et divise $P$, a-t-on alors $Q\in\mathbb{Z}[X]$ ?

Réponses

  • Ecris les divisions euclidiennes dans $\mathbb{Z}[X]$ et dans $\mathbb{Q}[X]$.

    e.v.
    Personne n'a raison contre un enfant qui pleure.


  • Pourrai-je avoir un peu plus de renseignements svp? :S
  • Je n'ai pas compris non plus.
    Mais sais-tu que $\Z[X]$ est factoriel ? Ou connais-tu la notion de contenu d'un polynôme ?
  • Je ne savais pas que $Z[X]$ était factoriel. Par contre je sais que le contenu est multiplicatif.
    PS: mon but est de montrer si oui ou non le polynôme minimal d'une matrice de $M_n(\mathbb{Z})$ est forcément dans $\mathbb{Z}[X]$.
  • Cela resulte de la définition. Le polynome minimal de $M \in M_n(\Z)$ est le générateur unitaire $\mu_M(X)$ du noyau du morphisme $\Z[X] \to M_n(\Z)$, $X \mapsto M$.
  • afk par définition on se place dans $M_n(\mathbb{Q})$ et non dans $M_n(\mathbb{Z})$...
  • Donc l'ensemble de départ de ton application devrait être $\mathbb{Q}[X]$ au lieu de $\mathbb{Z}[X]$...
  • Pour répondre à la première question: si $P=QR$, alors en identifiant les contenus, on voit que $Q=cQ_0,R=c^{-1}R_0$, avec $Q_0,R_0$ primitifs, $c\in\Q^\times$.

    Donc $P=Q_0R_0$, ce qui montre aussi que $Q_0$ et $R_0$ peuvent être choisis unitaires, quitte à remplacer $c$ par $-c$.

    Mézalor, $Q=Q_0$ car $Q$ est unitaire.

    La réponse est donc oui à la deuxième question aussi.
  • @Greg, incidemment, mais ça n'a rien d'urgent, juste par curiosité**, une preuve sans background me plairait bien si elle prend moins de 10 lignes

    ** pardon, je sais que quand j'écirs "sans background", ça t'énerve:)-D
    Aide les autres comme toi-même car ils sont toi, ils sont vraiment toi
  • cela tourne autour d'un lemme de Gauss, qui dit que le produit de deux polynômes de $\Z[X]$ primitifs est encore primitif.

    Je rappelle que "primitif" veut dire que le pgcd des coefficients du polynôme vaut $1$.

    Pour démontrer ça, on procède par l'absurde. On suppose qu'il y a un nombre premier $p$ qui divise tous les coefficients du polynôme produit; et on obtient assez vite une contradiction en travaillant dans $\Z/p\Z[X]$, qui est un anneau intègre.


    On définit le contenu de $f\in\Z[X]$ non nul comme suit: on écrit $f=c f_0, c\in\Q^\times, f_0\in\Z[X]$ primitif.

    L'écriture est unique à multiplication par $\pm 1$ près. On peut donc même rendre l'écriture unique si on choisit $c>0$ (ce que je n'ai pas fait dans mon message précédent).

    On définit alors $c(f)=c$. Le lemme de Gauss te dit alors que $c(fg)=c(f)c(g)$ pour tous $f,g\in\Q[X]$.

    Si tu as besoin de détails, n'hésite pas.
  • Je m'y colle :
    Pour tout polynôme $A\neq 0$, soit $\pi(A)$ le polynôme à coefficients entiers premiers entre eux dans leur ensemble tel qu'il existe un rationnel $c>0$ vérifiant $A=c\,\pi(A)$.
    Soit $P=Q\,R$ comme dans la question de poltaj. Alors $\pi(Q)\, \pi(R)$ est à coefficients entiers premiers entre eux dans leur ensemble. Si ce n'était pas le cas, il y aurait un nombre premier $p$ diviseur commun des coefficients de $\pi(Q)\, \pi(R)$, donc la classe de $\pi(Q)\, \pi(R)$ dans $\Z/p\Z[X]$ serait nulle. C'est impossible car les classes de $\pi(Q)$ et $\pi(R)$ sont non nulles et $\Z/p\Z[X]$ est intègre. Donc $\pi(P)=\pi(Q)\pi(R)$. Or $\pi(P)=P$ puisque $P$ est à coefficients entiers et unitaire. Ainsi $\pi(Q)$ à son coefficient dominant qui divise 1 et qui est positif, donc $\pi(Q)$ est unitaire, et comme $Q$ l'est aussi on a $Q=\pi(Q)$.

    [Corrigé selon ton indication. AD]
  • Merci infinimenent à toi Ga? (tu)
    Aide les autres comme toi-même car ils sont toi, ils sont vraiment toi
  • Ah pardon, je n'avais pas vu le post de Greg, merci infiniment aussi, je m'en vais le lire!
    Aide les autres comme toi-même car ils sont toi, ils sont vraiment toi
  • Encore une fois merci, AD ! \qquad [À ton service. :) AD]
    J'ai dit la même chose que Greg, mais je l'ai tout de même posté puisque je m'étais donné la peine de l'écrire. Une petite différence est que j'ai éliminé des coupures, ce qui passe le contenu à la trappe ;). Une petite précision à apporter : "'il existe un rationnel $ c>0$ vérifiant ..."

    [Corrigé $c>0$ dans ton message. j]
  • ev écrivait:
    > Ecris les divisions euclidiennes dans $\mathbb{Z}$
    > et dans $\mathbb{Q}$.



    Cette offre de démonstration n'a pas été reprise mais elle me semble fonctionner et a l'avantage de ne pas invoquer la notion de contenu ni le théorème de Gauss. Je change les notations initiales car $Q$ évoque trop le quotient.

    Comme signalé par Ga?, la preuve ci-dessous est en fait incorrecte.

    Soit $A$ à coefficients entiers et divisible par $B\in\Q[X]$ unitaire. Soit $m\in\N$ un dénominateur commun des coefficients de $B$. Alors, l'algorithme de la division euclidienne de $mA$ par $mB$ montre que le quotient $Q$ et le reste $R$ sont à coefficients entiers : en effet, tous les coefficients de $mA$ sont multiples de $m$ et le coefficient dominant du diviseur $mB$ vaut $m$. Mais comme $B$ divise $A$ dans $\Q[X]$, c'est que $R=0$ (unicité du reste dans la division classique). Ainsi $mA=mBQ$ donc $A=BQ$, cqfd
  • Ca ne va pas : à la première étape de la division, le quotient du coefficient dominant de mA par le coefficient dominant de mB est bien entier. Mais après ?
  • Ga? a écrit:
    Pour tout polynôme $A\neq 0$, soit $\pi(A)$ le polynôme (...) tel qu'il existe un rationnel $c>0$ vérifiant $A=c\,\pi(A)$.
    >Soit $P=Q\,R$ comme dans la question de poltaj.

    Donc, si je te suis, on a, $P=qr\pi(Q)\pi(R)$ pour des rationnels $q$ et $r$.
    Ga? a écrit:
    Alors $\pi(Q)\, \pi(R)$ est à coefficients entiers premiers entre eux dans leur ensemble.
    Si ce n'était pas le cas, il y aurait un nombre premier $p$ diviseur commun des coefficients de $\pi(Q)\, \pi(R)$, donc la classe de $\pi(Q)\, \pi(R)$ dans
    > $\Z/p\Z$ serait nulle.
    C'est impossible car les classes de $\pi(Q)$ et $\pi(R)$ sont non nulles et...

    Pourquoi les classes ? seuls les coefficients sont des classes modulo $p$.
    Ga? a écrit:
    $\Z/p\Z$ est intègre. Donc $\pi(P)=\pi(Q)\pi(R)$.

    Si je m'en tiens à ce que tu as établi, on a seulement $P=qrS$ où $S:=\pi(Q)\pi(R)$ est primitif (au passage, je ne vois pas l'intérêt de $\pi(P)$). Si tu veux conclure, il faut bien invoquer dès maintenant que $P$ est unitaire, et non plus bas comme dans ta preuve (ou alors, tu as autre chose en tête ?)
  • Ga? écrivait:
    > Ca ne va pas : à la première étape de la division,
    > le quotient du coefficient dominant de mA par le
    > coefficient dominant de mB est bien entier. Mais
    > après ?

    L'algorithme de la division euclidienne élimine les monômes du dividende grâce au coefficient dominant du diviseur. A chaque étape, le coefficient dominant du dividende courant (ie le reste courant) est de la forme $ma$ avec $a$ entier (car on divise $mA$ au départ) donc tu pourras l'éliminer en plaçant en quotient courant un monôme de coefficient $a$ puisque le coefficient dominant du diviseur est $m$ : ton quotient est entier et ton reste aussi.
  • A chaque étape, le coefficient dominant du dividende courant (ie le reste courant) est de la forme $ ma$ avec $ a$ entier (car on divise $ mA$ au départ)

    Errare humanum est, perseverare diabolicum.

    L'argument ne tient pas : la preuve, tu n'utilises nulle part pour ce point que Q divise P.
  • @ c.candide : j'apprécierais que, quand tu me cites, tu ne falsifies pas la citation. Il m'arrive plus souvent qu'à mon tour de faire des coquilles, mais quand j'ai parlé des classes des polynômes dans $\Z/p\Z[X]$ et que j'ai dit que cet anneau est intègre, c'était bien $\Z/p\Z[X]$ et pas $\Z/p\Z$.
  • > Errare humanum est, perseverare diabolicum.
    >

    Tu prends le risque que ça se retourne contre toi ...

    > L'argument ne tient pas : la preuve, tu n'utilises
    > nulle part pour ce point que Q divise P.


    Pour ce point ? lequel ? Au départ, je n'ai pas besoin de cet argument. Mais bien sûr que ma preuve utilise que $B$ divise $A$.
  • Ga? écrivait:

    > coquilles, mais quand j'ai parlé des classes des
    > polynômes dans $\Z/p\Z$


    Je te cite :


    > les classes de $\pi(Q)$ et $\pi(R)$ sont non nulles

    $\pi(P)$ est un polynôme et tu parles bien de la classe de ce polynôme mais il ne s'agit pas de cela (quel serait l'anneau quotient ?) puisque clairement tu nous parles d'un polynôme de $\mathbb F_p[X]$ (communément appelé la réduction modulo $p$ de $P$) anneau qui n'est pas un quotient [même s'il est isomorphe au quotient de $\Z[X]$ par son idéal engendré par le polynôme constant $p$].
  • Le ridicule ne tue pas..
  • Et je constate que tu persistes dans ta falsification de citations. S'il y a une chose qui me fait horreur, c'est la mauvaise foi.
  • Ga? écrivait:
    > Et je constate que tu persistes dans ta
    > falsification de citations.

    Ah oui ? tu n'as pas parlé de la classe d'un polynôme ? classe pour quel idéal ?

    > S'il y a une chose qui
    > me fait horreur, c'est la mauvaise foi.

    Il suffit à chacun de lire ce que tu as écris. Quant à "ma" démonstration utilisant la division euclidienne, tu la contestes encore ? ou tu vas arguer de ma "mauvaise foi" pour ne plus vouloir en parler ?
  • 1°) Ne rajoutes pas à ta mauvaise foi en faisant semblant de ne pas comprendre: tu tronques systématiquement les $\Z[X]$ en $\Z$ dans tes citations. Ca ne se fait pas tout seul, ça demande une modification volontaire de ta part.
    2°) Ta "démonstration" n'existe pas. Tu n'as donné aucun argument valable pour justifier le fait que l'algorithme de division euclidienne ne produit que des entiers sur toutes les lignes, et pas seulement sur les deux premières qui sont $mA$ et $m(A- X^{\deg A-\deg B}\,\mathrm{coeffdom}(A)\,B)$. Ne vois-tu pas que les coefficients de ce dernier polynôme n'ont aucune raison d'être divisibles par $m$, ce qui fiche tout ton discours en l'air ?
  • Ga? écrivait:


    > Ne vois-tu pas que
    > les coefficients de ce dernier polynôme n'ont
    > aucune raison d'être divisibles par $m$, ce qui
    > fiche tout ton discours en l'air ?

    En effet, il y a un bug dans ma démo. Mes excuses.
  • Merci à tous.
    La preuve de Ga? est très claire!
  • Acceptées.
    Tu vois bien que quand tu ne bidouilles pas les tronquages, ça ne s'affiche pas correctement. (:P)
  • @c.candide, j'ai un peu suivi l'échange hier de mon tel dans le trom.

    Au delà des citations etc (si tu veux citer correctement, tu peux utiliser "quote" ... "/quote" en mettant des crochets autour, pour éviter les incompatibilités latex), je n'ai pas compris du tout pourquoi tu:

    1) a revendiqué le statut de preuve pour ton post (ce n'en est pas une, quand bien même il aurait été vrai que le plan que tu proposais ne bugguerait pas)

    2) tu n'as pas développé en détails quand Ga? a objecté sceptiquement

    3) tu as inversé les rôles et objecté sceptiquement à un passage de sa preuve.

    Concernant (3), si tu relis tu verras que le texte de Ga est complètement structuré en preuve, ie A1 donc A2 donc ... donc conclusion. Il est limpide. dans toute preuve il y a des admis (axiomes logiques, théorèmes acquis, etc). Mais les admis*** de sa preuve sont parfaitement identifiables, et tu aurais pu éventuellement, si tu avais un doute, en pointer un précis et juste dire "pourquoi?". Et même ça, ça aurait été disons "déontologiquement" plus clair si tu n'avais pas toi-même apporté un texte que tu revendiquais comme preuve.

    Je pense qu'il est important, quand on est sceptique de garder ce rôle, avant de se proposer prouveur à l'instant t, et ce pour que les choses soient bien claires. L'échange a été très bizarre et si je caricature, a ressemblé à

    G: voici une preuve P
    C: voici une preuve Q
    G: je suis sceptique face à Q
    C: je suis sceptique face à P
    etc, etc


    Quand bien même aucune des preuves (ou les deux) auraient été acceptables, ce profil trop symétrique d'échanges ne pouvait que donner l'impression que chacun amène son poisson et qu'il y a désaccord sur le bon règlage de la balance qui pèse les poissons.

    *** le plus "impressionnant" disons étant que si deux polynômes de $\Z[X]$ ont des coefficients premiers entre eux dans leur ensemble alors leur produit aussi (Ga? l'a d'ailleurs justifié, mais en une ligne concise si j'ai bien compris)
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  • Je réfléchis à l'admis extrait de la preuve de Ga?:
    il y aurait un nombre premier $p$ diviseur commun des coefficients de $\pi(Q)\, \pi(R)$, donc la classe de $\pi(Q)\, \pi(R)$ dans $\Z/p\Z[X]$ serait nulle. C'est impossible car les classes de $\pi(Q)$ et $\pi(R)$ sont non nulles et $\Z/p\Z[X]$ est intègre

    1) On suppose qu'un nombre premier non égal à 1 (qu'on peut prendre positif) divise (en tant que polynome constant) dans $\Z[X]$ le polynôme $AB$. On veut prouver qu'il divise A ou qu'il divise B.

    2) On veut aussi prouver que si un nombre premier non égal à 1 (qu'on peut prendre positif) divise (en tant que polynome constant) dans $\Z[X]$ le polynôme $A$ alors il divise tous ses coefficients.

    Et ça suffira.

    Je pense que (2) n'a pas besoin d'être développé au niveau où on pose la question (toute personne qui comprend la question) doit trouver que c'est à peu près évident.

    L'anneau ambiant est définitivement $E:=\Z[X]$ sans que ce soit reprécisé et les entiers sont identifiés aux polynômes constants.

    Je réfléchi(rai**) à (1).

    ** je viens d'essayer, sans succès (ne voulant pas me servir d'isomorphismes ou de divisions euclidiennes, juste des raisonnements purs)
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  • Que chui bête.

    Supposons que l'écriture $(aX^n+Q)(bX^k+R) = pT$ décrive un contre-exemple.

    En "inversant" a et b dans $F_p$, on obtient une écriture de la forme:

    $(X^n+Q')(X^k+R') = pT'$... contradiction (sauf erreur, + flemme de rédiger, ça m'a trop pris la tête)

    donc, oui, edit: $\Z[X] / p\Z[X]$ est bien intégre


    edit2: n'importe quoi, j'ai juste prouveré que WLOG on peut supposer que A,B ont un coef égal à 1 :D:D
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  • Quoique ça marche peut-être en prenant n,k le plus gros entiers possibles tels que les coefs respectifs de ces degrés -là sont non multiples de $p$

    Mais bon, faut que je me force à pas continuer :-(
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  • Soit $A$ un anneau (commutatif) et $J$ un idéal premier de $A$. Soient $U,V$ des polynomes $\in A[X]$ . Alors si tous les coefs du polynome $UV$ sont dans $J$, alors l'un des deux polynomes $U$ ou $V$ a aussi cette propriété.

    J'ai galéré une heure hier midi à chercher ça :D

    L'argument est le suivant: on écrit que $U = aX^n + U'$ et $V=bX^k+V'$ où $n,k$ sont les degrés les plus hauts à ne pas donner un coef dans $J$. Alors en annualnt tous les coefs de $J$, on obtient, semble-t-il que $UV ==_J $ un truc de la forme $abX^{n+k} + blabla$ et le coef $ab$ de degré $n+k$ n'est pas dans $J$.

    (Pas d'erreur, sur le principe?)
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  • Plus simplement : si $J$ est premier, $A/J$ est intègre, donc $(A/J)[X]$ aussi.
  • donc $(A/J)[X]$ aussi.

    Oui, mais c'est justement ça que je ne voulais pas utiliser, précisément le passage de ça à $A[X] / (J.A[X])$, parce qu'il me semble (sauf erreur) que la difficulté reste au moment de prouver l'isomorphisme entre les deux, non?
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  • (quand je parle de difficulté, c'est relatif bien entendu)
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  • Tu n'utilises pas d'iso.

    On a l'équivalence $P\in A[X]$ a tous ses coefficients dans $J$ ssi $\bar{P}\in (A/J)[X]$, où $\bar{P}$ est la réduction mod $J$ des coefficients..

    Le seul truc à voir probablement, pour pouvoir faire la démo, est que $P\mapsto \bar{P}$ est un morphisme d'anneaux, mais ça se refait très bien à la main.
  • Merci pour cette remarque (à la main peut-être mais de tête pour moi :D bof bof à cause de la multiplication, mais oui, fondamentalement, je suis à peu près d'accord, en pensant à pointer les coefficients dominants à chaque fois)
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