K e.v. finie,ensemble fini et Quaternions ...

Bonjour,

J'ai quelques questions sur lesquelles je n'arrive pas à trouver tous les éléments nécessaires à leurs résolution. (seulement les éléments nécessaires à la résolution de mes questions résolution)
Voici l'énoncé 1:
Soit un K e.v. (B) de dimension finie et une application linéaire L (un endomorphisme t.q. L : B -> B) . Soit X un ensemble fini dénombrable ( #(X) = n éléments) sur lequel on considère un application linéaire J (endomorphisme - application J: X -> X).
- Je souhaite montrer que J est injective si et seulement si J est surjective
- L est injective si et seulement si L est surjective
(J'ai l'impression que ces deux énoncés sont "quasiment" équivalents un e.v. (espace vectoriel) étant grossièrement un ensemble muni d'une structure algébrique et pour moi démontrer une proposition revient à démontrer la seconde la première étant un cas particulier de la seconde.)

Je souhaite aborder l'étude des espaces vectoriels (dimension finie ! seulement...) sur le corps H des Quaternions, comment aborder leur résolution, proposition d'exercices ? Une idée à propos de l'utilisation de H (Corps des quaternions avec ev de dim finie)

Merci d'avance pour votre aide .

Réponses

  • Salut :)

    La formule du rang donne la réponse à tes 2 premières questions simultanément...

    Il ne me semble pas que la commutativité intervienne beaucoup en algèbre linéaire vu qu'on scalairise toujours à gauche...
    Maintenant pour des résultats particuliers, je préfère laisser exprimer les spécialistes...

    :)
  • Ca veut dire quoi "fini dénombrable" ? Et quelle sens tu donnes à "un endomorphisme sur X" puisque X n'est qu'un ensemble ?

    Si J est une fonction quelconque et que X est bien fini (et non dénombrable) alors ça marche mieux. De manière évidente, X a le même nombre d'éléments que X :) Donc si J est injective, chaque élément a une image différente de celle des autres. Donc tous les éléments sont atteints (après il faut l'écrire proprement).

    Ensuite, ça se fait mieux avec le théorème du rang et des histoires de noyau, mais bon... Tu pourrais utiliser le raisonnement précédent en manipulant des abscisses (qui sont des ensembles finis) mais ça ne rimerait à pas grand chose... Si B est une base de E et que L est injective, alors L(B) et B ont le même nombre d'éléments. Après, en "déduire" que L est surjective de B dans L(B) est trivial, puisque L(B) est par définition l'image de B par L... Et après ça ne suffit pas vraiment pour conclure... Bizarre comme exo !
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