Quels sont vos supports ?

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Réponses

  • @oshine t'as l'air d'être cool comme prof.
  • Versailles est à 40 min en voiture de chez moi.
    En transport trop galère.
    Mais j'espère qu'ils paient le parking pour la journée.
  • Pour le parking, je pense que tu peux oublier.

    Quel est intérêt de nous faire venir à Versailles pour entendre l'inspection et la rectrice ?

    Si nous étions payés pour entendre leur platitudes, ok mais là, je rejoins OShine. En plus pour la rectrice , c'est indiqué que c'est une présentation sur internet. C'est à dire que nous allons être parqués dans un amphi pour écouter une retransmission de la rectrice faite depuis son bureau, parce que :
    i) elle a peur d'attraper le covid
    ii) mais que nous, c'est pas grave de l'attraper entre stagiaires, toutes matières confondues.
  • Je vais avoir deux classes de 5ème.
  • Ca c'est chouette! Les 5èmes sont en général mignons, et un seul niveau c'est franchement plus confortable.
  • Par contre je ne contacterai mon tuteur que demain (vue l'heure). J'ai du mal à commencer à rédiger mes cours, j'aurais vraiment besoin d'avoir les élèves en face de moi pour savoir ce qu'ils savent. En plus, le principal m'a prévenu qu'il faudrait revoir beaucoup de notions de sixième à cause du virus.
  • Question : vaut-il mieux attendre d'avoir pris contact avec mon tuteur pour savoir l'ordre des notions abordées ? Ou bien puis-je choisir cet ordre ? Me conseillez-vous de préparer le cours linéairement puis de le répartir le contenu sur différents créneaux ?
    Je comptais commencer par la division euclidienne.
  • La liberté pédagogique est une chose à laquelle sont attachés les enseignants. Théoriquement une progression spiralée de faible rayon est idéale. Ton tuteur ne t’ayant pas donné de progression imposée, tu vas pouvoir faire ta propre expérience qui sera normalement centrée sur la gestion de classe plus que sur la pédagogie. Bienvenu !
  • Moi j'ai le programme de l'année que suivent tous les profs de maths du collège. Ils organisent souvent des devoirs communs.
    Je me sens rassuré d'avoir toutes les notions et la durée de chaque séquence.
  • Pour répondre à la question initiale, je suis à mi temps cette année au lycée. J'aurai des secondes (en maths) et de la SNT.
  • OShine, qu'est-ce que tu as pensé de la réunion pédagogique avec l' inspection régionale ?
    Les intervenants ont menti, ils ont dit que cela faisait partie de nos obligations de venir à ces journées. Il y avait même un émargement.
    En fait, c’est du travail forcé : la première semaine n'est pas payée.

    Quel est le niveau en mathématiques des membres de l'IPR ?
  • Je pense qu'ils n'ont rien à t'envier de ce point de vue ;)

    L'équipe de Versailles a beaucoup bougé ces dernières années mais de manière générale je trouve qu'on est très bien lotis par rapport à d'autres disciplines !

    Arrêtez un peu de tout critiquer.
    "Du travail forcé" ... ce qu'il ne faut pas entendre (ou lire plutôt).
  • Bah une réunion normale.
    Moi je suis payé mon contrat se termine le 31 Aout donc ça ne me dérange pas.

    De toute façon j'ai formation demain toute la journée, puis vendredi j'ai journée libre.
  • Pour répondre à ce message, un IPR de Mathématiques est au bas mot agrégé de Mathématiques...et a enseigné de nombreuses années...
    Ce qu'on lit dans certains posts est assez stupéfiant de la part de personnes qui connaissent pas ou peu l'enseignement.
    zestiria, quand tu dois passer des entretiens d'embauche successifs pour entrer en entreprise, t'es payé ? non que je sache...et si tu ne te présentes pas, tu ne risques pas d'être choisi...
  • mav1 a écrit:
    un IPR de Mathématiques est au bas mot agrégé de Mathématiques

    Bah oui, par définition, puisqu'il perçoit le cas échéant une grègue dans son paquetage d'IPR.
    C'est obligado because le droit administratif.

    Sinon dans la liste ci-dessus, il y a un bon nombre de grégés (externes). Il n'est pas facile de tracer les greluches qui ont troqué leur blaze avec le marrida.

    Sinon, le stage, c'est bien du travail forcé pour ceux qui ont un boulot (hors éducnat) jusqu'au 31 août.

    e.v.
    Personne n'a raison contre un enfant qui pleure.


  • @OShine : pourquoi écris-tu que tu seras libre ce vendredi 28 août ? Je ne comprends pas. N'est-ce pas ce vendredi que tu dois rencontrer ta tutrice, par exemple ?

    La voilà la future génération de professeurs... C'est pitoyable. Ils se disent : j'ai choisi d'être prof, comme ça j'aurai mes 18 semaines de vacances par an, et je pourrai ainsi profiter de mes enfants (...) J'ai choisi Maths, parce que c'est la discipline où l'on recrute le plus (...)

    @zestiria : quand tu es en fin de droit (à pôle emploi) [et même sans y être inscrit] et que tu dois te présenter à un entretien d'embauche, tu y vas sans te poser de questions. En plus, pour ma part, j'ai toujours été clairs dans mes propos. Cette semaine de prérentrée est obligatoire, sauf pour ceux qui rempilent. Je suis vraiment catastrophé par une telle réaction.

    Très honnêtement, je pense que le Ministère de l'EN devrait supprimer la titularisation et devrait raccourcir les vacances pour les professeurs ; je pense qu'il y aurait beaucoup moins de fausses vocations. Je pense que ce n'est qu'une question de temps.
    Le chat ouvrit les yeux, le soleil y entra. Le chat ferma les yeux, le soleil y resta. Voilà pourquoi le soir, quand le chat se réveille, j'aperçois dans le noir deux morceaux de soleil. (Maurice Carême).
  • Je suis assez d'accord avec toi Thierry et il y a des réactions geignardes assez agaçantes.

    Par contre, que penses-tu d'un cas comme Azerty qui dit sur ce fil qu'il est sous contrat de droit privé jusqu'au 31 août. Il me semble légitime qu'il ait trouvé un boulot, en attendant les résultats du CAPES et être fonctionnaire stagiaire à partir du premier septembre.

    http://www.les-mathematiques.net/phorum/read.php?6,2063728,2072024#msg-2072024

    Son cas montre bien qu'il y a quelque chose de travers dans cette semaine prérentrée.
    La vie est injuste surtout pour ceux qui partent avant les cheveux blancs.
  • @zeitnot : j'espère que tu vas bien. Je n'avais pas vu le cas que tu cites et qui montre que Azerty veut travailler (et qu'il en a besoin. J'ai connu un collègue dans son cas ; c'est admirable). Je ne pense pas qu'il aura des problèmes, pourvu de justifier, au moyen de son contrat par exemple, les raisons de son absence. Et je suis d'accord avec toi, cette semaine de prérentrée présente des défaillances. Toutefois, comment faire autrement ? Est-elle vraiment utile ?

    J’étais déjà agacé par une bonne partie de ma promo 2018-2019 et je le suis encore aujourd'hui : une future génération de glandeurs. Je suis favorable à la suppression de cette titularisation qui ne sert plus à grand chose et pour que les professeurs travaillent intra-muros 4 à 5 jours pendant les vacances d'automne, 4 à 5 jours pendant les vacances d'hiver et 4 à 5 jours pendant les vacances de printemps (il faut penser aux PE !). Il reste à préciser les modalités de ces travaux.
    Le chat ouvrit les yeux, le soleil y entra. Le chat ferma les yeux, le soleil y resta. Voilà pourquoi le soir, quand le chat se réveille, j'aperçois dans le noir deux morceaux de soleil. (Maurice Carême).
  • Thierry : quel est le rapport avec les PE ?
  • Je suis tout à fait d'accord avec Thierry ( un peu moins sur les vacances en revanche )

    Les cas de personnes ayant un contrat jusqu'au 31 sont relativement rares je pense. Effectivement pour eux, ils justifieront leur absence et cela s'arrête là.
    De toute façon, il y a énormément d'absences sur ces journées, dont une énorme partie n'a aucune justification valable pour ne pas venir. Et il ne se passe rien de spécial pour ceux-là non plus.

    Selon moi cette pré-rentrée "spéciale stagiaires" est très utile ( mais effectivement 4 jours, même 3, c'est probablement un peu excessif ... c'est comme ça et c'est pas la fin du monde ).
    Je suis extrêmement scandalisé de voir autant de jeunes profs se plaindre de tout avant même d'avoir commencé.
  • Les gars.ce.s,
    Comparer ces journées à un entretien d’embauche, c’est très étrange...

    Même l’É.N. est très embêtée car elle « invite » sans dire que c’est obligatoire d’après ce que j’ai pu lire ici et ailleurs.
    Corrigez-moi si je me trompe.

    Les vacances : rajouter des jours, pourquoi pas.
    1) payé en plus ?
    2) pour faire des choses pour dire qu’on fait des choses ? pour occuper les profs ? pour que les profs écoutent un « formateur » leur apprendre la vie ? pour que les profs cessent d’entendre que « eux ils ont des vacances » ?
    3) certains choisissent en raison de ces vacances justement. Pour privilégier la vie de famille, ou autres conforts personnels.
    Difficile d’imaginer un regain dans le recrutement, cela dit en passant... (même si ce n’est pas un argument).

    Quant au fait qu’une génération arrive et revendique être partisante du moindre effort, c’est tout à fait vrai. Là vous avez raison.
    Et ça n’a rien à voir avec le public ou le privé. On trouve des fainéants partout.
    Cette génération a été construite par leurs aînées...
  • J'ai un point de vue complètement extérieur à tout ça mais je pense que rappeler un peu de bon sens là-dedans n'est pas inutile.

    En l'occurence, il me semble qu'en droit du travail, 4 ou 5 jours de formation obligatoire par l'employeur d'un stagiaire, apprenti** ou salarié en CDD/CDI... font partie de son temps de travail et par conséquent doivent être payés puisque tout travail mérite salaire. Une entreprise privée qui ferait cela sans payer les jours concernés se ferait sûrement recadrer aux prud'hommes. Il est anormal que l'État ne respecte pas ces règles (mais vu que des non-titulaires sont payés 3 mois après leur 1er jour de travail, il faut croire que c'est une habitude).

    Bref, ces stagiaires ont raison de se plaindre et sont dans leur droit même s'il n'est pas stratégique pour eux de faire valoir ce droit...
    Thierry Poma a écrit:
    Je suis favorable à la suppression de cette titularisation qui ne sert plus à grand chose et pour que les professeurs travaillent intra-muros 4 à 5 jours pendant les vacances d'automne, 4 à 5 jours pendant les vacances d'hiver et 4 à 5 jours pendant les vacances de printemps

    1. Qu'est-ce que tu entends par suppression de la titularisation ? Contractualisation à vie ? Suppression des stages ?

    2. Pourquoi forcer tes collègues à venir travailler dans leur établissement pendant les vacances ? Pour faire des réunions bidon ? Aucun intérêt ! Pour faire le travail qu'ils pourraient faire chez eux ou ailleurs ? Aucun intérêt non plus... Pour les fliquer et les infantiliser ? Bof.
    La liberté d'organisation du travail en dehors des heures de cours/réunions/etc. est l'un des rares avantages de ce métier qui est dû au fait que le professorat est en principe un métier intellectuel, pourquoi vouloir le supprimer ? Et encore plus à l'époque du télétravail, c'est vraiment étrange...

    ** La comparaison avec les apprentis me semble bien appropriée ici : ils sont payés même quand ils sont en formation dans leur école au lieu d'être en entreprise.
  • Si l'on m'oblige à venir travailler dans les murs en dehors de mes heures de cours, cela ne me dérange pas, mais je ne ferai plus rien le soir et le reste du temps. Je ne pense pas que l'institution serait gagnante.
    Comme le dit paf, nous avons la liberté d'organiser notre temps de travail et c'est un des avantages du métier.
    Il y a des glandeurs partout, et je pense que ce sont ceux que l'on remarque le plus, à défaut d'être les plus nombreux. Mais les poncifs sur la jeune génération, pitié, c'est tellement cliché. Dans ma promo de l'an dernier, nous étions quasiment tous très travailleurs et consciencieux.
    J'estime passer énormément de temps à préparer mes cours et à essayer de faire au mieux. Et pourtant, les vacances, c'est sacré, je ne fais quasiment rien. Je préfère travailler pendant les semaines de cours, car mes enfants sont à l'école. C'est mon organisation. Toucher à cette liberté ne fera pas venir "les vrais profs à vocation". Cela va juste dissuader des personnes pour qui l'argument était primordial...
  • Lorsque j'étais stagiaire, nous n'avions pas de journées IUFM avant notre prise de fonction, et beaucoup s'en plaignaient... je trouve ça pas mal d'avoir quelques conseils avant d'avoir les élèves en cours pour la 1ère fois.
  • Et encore, ainah, quand tu dis « je ne ferai plus rien le soir et le reste du temps », tu te doutes bien que toi ou bien d’autres n’arriveront pas à tenir sans faire cela. La conscience professionnelle si vite balayée par les anti-fonctionnaires est pourtant bien présente. La majorité des profs bossent le WE et pendant les vacances.
  • C’est simple :
    Le stagiaire fait sa réunion de pré-rentrée et l’IUFM-ESPE-INSPE bidule les réunit le mardi et mercredi suivant.
    En grande majorité, les cours commencent le jeudi si ce n’est pas le vendredi.

    On interdit purement et simplement de aux stagiaires d’être PP (Professeur Principal) pour répondre à l’argument de l’accueil des classes les mardi et mercredi.

    Là, la bêtise administrative est de demander à quelqu’un qui commence le 31 août de venir AVANT.
    Alors on « l’invite », on lui dit que « c’est mieux », ou encore « préférable ».
  • Pour information, je vous fais un petit retour sur ma semaine de pré-rentrée à l'INSPE. Dans mon académie il est possible de rater des heures pendant cette semaine tant que c'est justifié (RDV certificat médical, médecin, contrat en cours). Au final je n'ai raté qu'une après-midi sur 4 jours, et demain est une journée dans l'établissement d'affectation.
    L'ensemble de la semaine s'est passé en visio (sans trop de problème). Je pense effectivement qu'il est toujours utile d'avoir des jours de formation avant la prise de fonction devant les élèves. Ce qui pose soucis c'est que souvent ces journées tombent avant le début du nouveau contrat et donc si l'on était salarié jusqu'au 31 août ce n'est pas évident d'y assister (je confirme que ce sont des cas rares, d'ailleurs l'INSPE ne savait pas trop quoi me répondre car on ne leur pose jamais la question).
  • Merci pour ton retour azerty
  • Très intéressante cette journée de formation, j'ai appris énormément de choses.

    Par contre les 1h30 de voiture aller et 1h45 retour m'ont vraiment fatigué. C'est sportif.

    Demain je dois juste passer dans mon établissement voir le chef d'établissement.
  • La vie est injuste surtout pour ceux qui partent avant les cheveux blancs.
  • Non mais moi mon calendrier est différent je suis stagiaire temps plein
  • Je ressors des $3$ jours d'accueil avec l'inspection et les pédagogues. Les pédagogues sont de bonne volonté, essaient de nous aider, de nous expliquer comment enseigner. Cela se résume à des remarques comportementales. Cela me paraît vain.

    Enseigner ne s'apprend pas en suivant des cours de pédagogie.
  • Fais gaffe, tu as très bien compris le problème.
    Ne le dis pas trop fort.

    Ça me rappelle « Journal d’une institutrice clandestine ».
  • C'est quoi des pédagogues ?
  • Je désigne par ce terme les personnels qui interviennent auprès des stagiaires, pendant les journées de formation.
  • Tu dois apprendre sur le terrain.

    Ils te donnent des billes après tout s'apprend en pratiquant.

    C'est en faisant des erreurs sur le terrain qu'on apprend sur la discipline par exemple.
  • Certainement, la formation aura plus d'intérêt quand nous aurons vu les élèves.

    Parmi les interlocuteurs que j'ai vu, certains, pas tous, ont été asservis par les sigles du ministère. Ils mettent des acronymes dans chaque phrase.
    Ils se sont sclérosés. D'ailleurs c'est le but de tous ces acronymes : asservir. C'est vrai dans d'autres administrations, dans d'autres entreprises :
    les employés ne se rendent plus compte qu'ils ont perdu leur bon sens, comme dans le livre Fahrenheit 451, où les personnages ne se rendent pas compte de la superficialité de leurs discussions.
  • Il existe aussi le discours « branché » : glisser des termes anglais dans des phrases en français (« over booké » étant un exemple connu). Des pauvres gens parviennent à devenir incompréhensibles mais s’en estiment gratifiés (« Ha t’as du mal à comprendre ? »).
  • Ma formatrice était cool.

    Après peut être qu'ils sont plus strictes pour les stagiaires sans expérience de l'enseignement.
  • Tout est histoire de personnalités et d’idéologie. Aussi du parcours personnel.
    Je parle des formateurs.

    Chaque centre est différent finalement et je me permets de dire qu’il en existe des gratinés.
  • Malheureusement, avec l'INSPE, tout arrive beaucoup trop tard dans le parcours du professeur-stagiaire, entendre par là, tout ce qui lui est indispensable durant les premières semaines.

    Pour ceux qui doivent rédiger un mémoire, je suggère dès maintenant de réfléchir sur un thème (pas une problématique !) tel que le travail en groupe (et en aucun cas le travail de groupes), ou bien les erreurs commises par les élèves, ou bien l'apport informatique au sein de la Mathématique, (....)
    Le chat ouvrit les yeux, le soleil y entra. Le chat ferma les yeux, le soleil y resta. Voilà pourquoi le soir, quand le chat se réveille, j'aperçois dans le noir deux morceaux de soleil. (Maurice Carême).
  • OShine, as-tu discuté avec les autres stagiaires à temps plein ?
    Quelles affectations ont-ils eu ? Sont-ils contents de leur affectation ?
  • Ils habitent loin de chez moi.
    Aucun n'était de ma zone.

    Oui ils sont tous contents sauf une qui est à 2 heures de chez elle et qui a 4 niveaux lycée mais ils vont essayer de faire quelque chose pour elle.
  • Oui, ils vont la nommer PP de seconde X:-(
  • Il sont dit c'est très déconseillé d'être PP pendant l'année de stage.

    C'est aussi interdit de faire des heures supplémentaire.
  • Soyons précis :
    Pour PP, disons que ça dépend du stagiaire. S’il l’a déjà été, après tout il peut acquiescer, voire se proposer.
    Parfois, c’est comme ça : le chef d’établissement parvient à convaincre le stagiaire qui débute (m’enfin, c’est difficile de dire « non » dans cette position...).

    Pour les heures supplémentaires : est-ce interdit de les assurer ou de se les faire rémunérer ?(:D
  • C’est vrai que ce n’est pas très rigoureux de commencer une formation interne avant la date de début de contrat. Surtout quand on l’apprend quasiment d’un jour à l’autre. Cependant, quand on aime, on ne compte pas... Connaissant les deux « mondes », entreprise à but lucratif et Éducation Nationale, je vous assure qu’à l’Éducation Nationale on y respecte davantage le droit, même s’il reste des écarts qui, je le comprends, peuvent agacer.
  • Haha l’É.N. est une entreprise d’État à but déficitaire ;-)
  • Les heures supplémentaires sont rémunérées...
    Je n'ai jamais fait d'HSE gratuitement.

    L'année dernière j'avais 2 heures supplémentaires "devoir fait" ça fait du bien au portefeuille.
  • philou22 écrivait : http://www.les-mathematiques.net/phorum/read.php?6,2063728,2084198#msg-2084198
    [Inutile de recopier un message présent sur le forum. Un lien suffit. AD]

    Je suis sceptique sur le fait que le droit du travail est plus respecté dans l'éducation Nationale. Personnellement je n'ai pas eu de soucis directement avec l'EN mais dans l'enseignement supérieur et dans le public j'ai eu énormément de soucis. Heures payées 2 ans après les avoir effectuées. Contrat qui commence après la prise de fonction (2 mois non payés). Début de rémunération 2 mois après le début du contrat (quand la rémunération de 3 mois de travail tombe en janvier pour les impôts c'est loin d'être le bonheur). Prise en charge des frais de mission bien en deçà du privé, et plein d'autres petits exemples...

    Pour l'EN, ma femme est professeur des écoles et tous les ans il y a des magouilles. Affectation à titre définitif sur un poste qui ne faisait pas partie des vœux d'une collègue par exemple. Sans compter qu'il est difficile de trouver quelqu'un pour avoir une réponse lorsqu'il y a un problème. Les syndicats qui modifiaient toutes les affectations à leur guise alors qu'elles sont censées passer par un algorithme.

    Bon, on va dire quand on aime on ne compte pas ;)
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