cours espe
Réponses
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Après, quand on voit qu'on donne à des stagiaires agrégés externes des 1 er STMG en maths, il ne faut plus s'étonner de rien ... Bref, agrégé ou pas, l'année de stage est dure pour tout le monde.
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Il faut tout de même remarquer que de fait ( même si théoriquement certifié/agrégé peuvent enseigner en collège/lycée) les places de lycée sont majoritairement occupées pat des agrégés (bonus de points conséquents 140 je crois) et celles de collège par des certifiés. Dons il y a bien une différence de postes.
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Bah il y a plus de collèges que de lycées, mais après ça dépend aussi de la zone dans laquelle tu es. Des lycées disponibles pour des certifiés y en a en France, les agrégés ils prennent évidemment en priorité ceux qui sont bien placés.
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@dif58
Je suis agrégé de cette année. Par la voie externe vu que je n'arrive pas à avoir l'interne.
À la rentrée, je serai donc légalement Agrégé Stagiaire (nonobstant mes - déjà - 10 ans dans le métier). Et j'aurai des TSTMG.
Mais ça aurait pu être des 1STMG hein, c'est juste que j'ai demandé à pouvoir suivre mes 1STMG de cette année.
Et je ne vois pas le problème.
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Le bonus de points pour les agrégés en lycée, c'est aux mutations intra donc un barème académique. Chez nous, c'est plutôt 200 points. A priori suffisant pour avoir un poste dans la préfecture (bon, tous les lycées ne se valent pas...).
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[small]@Blueberry
Ha tiens ! J'étais resté à 90 points.
Même si on s'en tamponne la coquille, faut que je regarde ça.[/small] -
@ Ignus
Pour les 1 er SMTG ? Moi je le vois le problème, et beaucoup de personnes qui ont l'habitude de ces classes aussi 8-). -
Ignus : Tu seras agrégé stagiaire réputé qualifié (même statut qu'un lauréat de l'agreg interne).
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@kioups
Je ne savais pas pour le qualificatif "réputé" que je trouve, au passage, infantilisant (pas sûr de l'orthographe du mot que je cherche) à souhait. Mais bon, c'est peut-être moi...
Sinon, oui, j'ai l'habitude de ces classes et on apprend beaucoup sur nous même à leur contact. On apprend notamment à relativiser, chose très importante à mes yeux pour un enseignant.
Par ailleurs, au vu des nouvelles procédures d'orientation, je gage que beaucoup déchanteront en pensant pouvoir faire systématiquement de belles maths avec des S juste parce que ce sont des S.
Mais cela dévie gravement du sujet initial, donc bon...
++ -
ev écrivait : http://www.les-mathematiques.net/phorum/read.php?6,1300817,1302323#msg-1302323
[Inutile de recopier un message présent sur le forum. Un lien suffit. AD]
En chœur avec moi : "on ira tous devant le jury, même moi...qu'on soit agrégé ou qu'on soit certifié, on ira" ;-) -
Par curiosité, quelqu'un sait quel CV ont les IPR ? Sont-ils forcément agrégés ? ont-il un doctorat en didactique ? ou ont-ils juste léché les bottes au bon endroit au bon moment ? 8-)
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"On m'avait dit..." qu'il fallait l'agrégation pour se présenter au concours.
Cela reste à vérifier... -
Qu'il fallait l'agreg ? que veux-tu dire ?
Ecole supérieure de l'éducation nationale ! voilà où l'on forme donc les IPR...
L'EN est un escalier sans fin d'écoles et de formations 8-) -
Les IPR sont pour la plupart des agrégés.
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Ha oui.
On peut se présenter sans avoir l'agrégation mais en gros il faut être dans ce cas dans le supérieur.
Le lien donne les détails. -
tout ça pour ça...! décidément ça vaut le coup de passer l'agreg...
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À part ceux qui passent l'agrégation pour ne pas enseigner dans le secondaire, il est naturel de penser qu'aujourd'hui cela apporte un salaire (500€ de mieux qu'un certifié à la louche).
Les 15h au lieu de 18h jouent très peu, je pense, dans la balance.
On aussi une question de prestige (beaucoup de débats sur le forum ont montré que ce n'était pas unanime, sans parler de la définition de ce "prestige").
Aussi, certains affirment qu'on emmerde moins les agrégés que les certifiés.
Je maintiens, c'est le salaire qui motive et qui est le premier argument. -
Pour moi, en tant que certifiée en lycée depuis 12 ans et future agrégée stagiaire, l'ordre de motivation est différent :
1) les 15h : une classe de moins, 35 copies/semaine en moins ...
2) le bonus en cas de mutation qui me permettra de continuer à travailler en utilisant mon expérience professionnelle
Je n'ose même pas mettre le salaire en 3 tellement je ne me suis pas intéressée à mon reclassement.
Enfin, toute auréolée de mon statut tout neuf, c'est avec un même plaisir que je retrouverai mes élèves de ES ou de stmg ou autre... J'ai subi, comme les autres mes cours d'iufm, le mémoire, la didactique, le plus à laisser qu'à prendre, la mutation tzr en banlieue parisienne à 22 ans. Tout ça pour dire que je ne comprends pas trop les atermoiements de certains devant la loterie des affectations, l'arbitraire des services et l'absurdité d'une pseudo formation : on a tous été volontaire pour passer ce concours (très difficile pour moi il y a 17 ans) et le package ci-dessus était fourni avec en connaissance de cause. C'est le gros inconvénient du statut de fonctionnaire et je ne pense pas que cela soit caché. -
tim82 écrivait:
>
> Le jury délibère et établit une liste des
> stagiaires ayant un avis favorable, une liste de
> ceux qui sont proposés en renouvellement de stage
> et une liste de ceux qui sont proposés au
> licenciement. En moyenne 95 % des stagiaires ont
> été admis, 1 % ont été mis en renouvellement,
> 3 % refusés définitivement à l’issue de la
> première année et 2 % à l’issue de la
> deuxième."
Il ne faut surtout pas oublier que ces stats incluent toutes les matières. Or ici on ne s'intéresse qu'aux maths !
Je ne sais pas comment s'est dans les autres académies, mais sur Toulouse les IPRs de maths ne passent pas pour les plus cléments ...
On me dira que c'est le même jury qui jugent toutes les matières. C'est vrai, mais si en amont les dossiers de stagiaires math sont les plus chargés. La suite est facilement compréhensible.
Idem pour l'ESPE, dans le discours, toutes les formations sont quasiment identiques quelque soit la matière (même contenu, même nombre d'heures, ...). Dans la pratique, les collègues de SVT qui fréquentaient l'ESPE les mêmes jours que nous, avaient des demi journées de libres, n'ont rendus qu'un mémoire, ...
Pour ce qui est des mutations et autres bizarrerie de l'EN, pareil que beaucoup, on le savait avant de s'inscrire ... Et tant que certifié, je ne vois pas pourquoi il n'y aurait que les certifiés qui devraient aller dans les collèges du 93 (ou autres, le 31 possède de jolies perles !). Et surtout, je ne vois pas pourquoi dans ces conditions, ils démissionneraient moins facilement que les agrégés ? -
Je dois avouer qu'après ces deux années de stage je suis devenu très performant dans la conception des dossiers/mémoires, j'ai bien dû en faire une bonne quinzaine. Les derniers ne me prenaient que deux~trois heures contre plus d'un WE et quelques soirées pour les premiers.
De ce côté la formation a été très efficace ! Cette dextérité dans la conception des dossiers me sera certainement très utile face à mes élèves de rep en septembre :-) -
Quand on est en parcours DU (diplôme universitaire) comme moi on n' a pas de mémoire à faire, on n'a pas de notes puisqu'on a déjà bac+5, on n'a rien à part un Portfolio, presque aucun retour durant l'année...mais à la fin de l'année la sanction tombe: moi j'appelle ça de la liberté surveillée...
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C'est différent d'une académie à l'autre.
J'étais en DU aussi pour la seconde année de stage, dans mon académie il y avait des mémoires qui ont été noté. J'ai eu un relevé de notes qui atteste de ma réussite au DU. -
@wkmx31
Oui ces stats semblent globales, mais sans mettre ta parole en doute, je suis presque sûr qu'il y a une certaine harmonisation nationale par matière, et qu'au vu de la situation des maths (nombre de profs+exigences du niveau des élèves en baisse) , j'aurais du mal à croire qu'on laisse une tribu de gaulois sabrer à tout-va dans une matière déficitaire (quel serait leur intérêt à long terme?). -
@Tim82 :
Il ne faut pas oublier que le nombre d'admis au CAPES de math.
Je dirais que les vannes sont grandes ouvertes au niveau du concours puis les IPRs et dans une certaine mesure l'ESPE font leur boulot. Avec plus ou moins de parcimonie et de doigté.
Il serait intéressant d'avoir un taux de corrélation entre le nombre de candidats admis aux CAPES et le pourcentage de licenciement l'année suivante ?
J'espère que dans les matières où ils ne prennent que quelques dizaines de candidats, ils n'en licencient pas plus de 10% l'année suivante.
@Totem : A Toulouse, les PA se sont tapés quasiment les mêmes rapports et les mêmes devoirs que nous. Ils peuvent juger de leur niveau tout au long de l'année ! -
@Wkmx31
Tu es à Toulouse, y a t'il justement les résultats quantifiés quelque part? ( nb de titularisations, redoublements, licenciements)
Totem nous parlait de Caen avec une grosse proportion de redoublements- licenciements.
Ce serait intéressant de connaître les sources.
Sur Lyon, il ne m'a pas semblé entendre de tels chiffres. -
En tout cas il semble que le rang au concours soit inversement proportionnel aux chances de licenciement...
Entendre : mieux t'es classé au capes (donc plus tu t'en sors au niveau connaissances académiques / scolaires), plus tu auras des difficultés l'année d'après à l'espe ...devant une classe là je ne saurais dire.
Le centralien dont je parlais était classé dans les 20èmes...moi dans les 600
Et ceux qui n'ont eu aucune difficulté à l'espe étaient globalement classés dans les 1000...
Où est l'erreur ? quelqu'un peut-il m'expliquer ?
Cela devrait être l'inverse en théorie...ou alors le capes ne sert vraiment plus à rien ! -
Je vais prendre un exemple brutal, et digne du "café du commerce" mais il doit y avoir du vrai, au moins un petit peu.
On peut imaginer un autiste qui "sait tout" dans sa matière.
Il termine premier à tous les concours : par exemple il se présente au CAPES et à l'agrégation et termine 1er.
Cependant, cela n'atteste pas qu'il pourra se présenter devant une classe (des enfants, des mineurs...).
Et même si "le relationnel" fonctionne, il peut ne pas savoir du tout comment faire passer sa discipline.
Si pour lui, tout est évident, alors il a du mal à comprendre les gamins qui n'arrivent pas dans sa matière.
A l'inverse, un reçu au CAPES après plusieus essais, plusieurs admissibilités peut davantage comprendre les erreurs, les ambiguïtés, etc. Et il peut alors être meilleur "pédagogue" (dans le sens noble !).
Pardon pour ce qui peut être assimilé à des clichés, qui plus est, de bas étage.
Pour info : j'ai croisé la route du premier. Un agrégé bien classé, un peu "autiste" dans son attitude (mais pas médicalement).
Se demandant d'ailleurs constamment s'il voulait véritablement enseigner...
J'en ai fait une caricature dans mon premier paragraphe
NB : Il ne faut rien tirer de ce que je raconte. Je donne des exemples extrêmes pour faire prendre conscience à tous qu'en maths, en particulier où il y a peu de didactique, le concours sanctionne d'un niveau aux concours mais pas d'une garantie a être bon, ni à être prêt dans l'enseignement. Surtout à des lycéens/collégiens. -
Pour poursuivre je dirais que de moins en moins, le travail de prof consiste à transmettre et de plus en plus à gérer des classes et ''occuper'' des gamins. Donc je dirai que quelqu'un fort dans sa discipline a probablement beaucoup investi intellectuellement dans celle-ci et peut-être sera d'autant désappointé (voire franchement déçu) et dérouté quand il découvrira le métier réel.
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Probablement pour ça qu'on fait très peu de maths à l'ESPE mais plutôt de la pédagogie, didactique et tutti quanti...
Autant je trouve dommage qu'il y ait de moins en moins de contenu mathématique au CAPES, autant je trouve dommage qu'il y ait si peu de contenu pédagogique (quoique depuis quelques années, ça y ressemble de plus en plus). Il faudrait de nouveau plus de maths et un peu plus de pédagogie...
J'ai souvenir d'un camarade en prépa CAPES, il a fini dans le 1er décile. Je ne sais pas ce qu'il est devenu mais c'était horrible de l'entendre parler des enfants... -
Comment en parlait -il ?
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@tim82 : Pour ce que je sais, sur Toulouse pour les stagiaires à temps partiel, il y a eu 20 avis négatif de l'ESPE pour 71 stagiaires. Dont 2 avis négatifs ont été donnés à des stagiaires redoublants ...
A quoi bien sûr, ce rajoute dans certains cas, ceux qui ont reçu un avis négatif de l'inspecteur et/ou du chef d'établissement. Il y a un certain recouvrement, mais de combien ? je l'ignore. -
totem : je ne sais plus les termes exacts, mais il avait l'air de ne pas pouvoir les supporter. Je peux concevoir cela chez un collègue à 5-10 de la retraite mais avant même de débuter...
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Il devrait y avoir un vrai entretien d'embauche au capes...pas juste présenter des intégrales ou des récurrences...
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Ben, il y a les oraux.
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Rien à voir.
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Tout de même la question reste posée, pourquoi en mathématiques les lauréats des concours de l'enseignement sont-ils aussi nombreux à être recalés alors que dans les autres matières ce n'est pas le cas ?
Et sachant que chaque année depuis 4~5 ans, 300 places ne sont pas pourvues aux concours, et que de plus les amphis de maths ne semblent toujours pas se remplir, que va-t-il rester de la profession après ce carnage ? -
On veut transformer les mathématiques en un simple outil pour résoudre des problèmes dans l'enseignement, alors que c'est une discipline à part entière, peut-être même une science... d'où quelques déconvenues dont moi qui vous parle.
Voilà aussi pourquoi je ne comprends pas que les ipr puissent être des agrégés, vu leur étroitesse d'esprit...! -
Je pense que les oraux sont plus ou moins un entretien. Quand je lis certains commentaires de candidats sûrs de leur coup mais recalés, il est possible que leur pédagogie (ou leur absence de pédagogie) ait été un frein.
Comme déjà dit plus haut, dans beaucoup de disciplines, il y a une part importante de pédagogie lors du concours (notamment en EPS). En maths, quasiment que dalle... Pas très étonnant que beaucoup se plantent ensuite.
Sinon, totem, peut-être es-tu un peu amer, mais je ne vois pas le lien entre agreg et étroitesse d'esprit... -
Bonjour à tous.
Quelques remarques.
* Un ipr est statutairement agrégé. Sinon il n'aurait pas le droit d'inspecter un agrégé. Certains ipr reçoivent donc leur titre en même temps que leur nomination.
* Les tribunaux administratifs sont très clairs là-dessus : L'ajournement ou le licenciement d'un fonctionnaire stagiaire doit être exceptionnel. Les 20% refusés de l'académie de Caen - si j'ai bien suivi - sont en droit de poser une requête devant le TA.
* Que penser d'enseignants qui font redoubler ou mettent à la porte un cinquième de leurs élèves ? Comment se remettent-ils en question ? Comment expliquent-ils l'échec de leur andragogie ?
* Pour la même raison, ce pourcentage anormal de refusés montre que les concours de recrutement n'atteignent pas les objectifs qui leurs sont assignés : recruter des fonctionnaires qui devront être titularisés sauf exception. En ne se soumettant pas à cette règle, l'état se comporte comme un patron qui embauche abusivement des stagiaires.
e.v.Personne n'a raison contre un enfant qui pleure. -
@ kioups : au contraire ! L'agrégation s'adresse à des esprits ouverts, ce que sont rarement les ipr..
@ ev : andragogie ? Joli néologisme digne d'un didacticien. -
A propos des ipr : ils sont là uniquement pour faire appliquer des directives pédagogiques et des programmes. Ils sont payés pour vérifier que les profs appliquent bien ce que veut le ministre. C'est leur job, c'est tout. Il n'y a aucune raison pour qu'ils soient d'accord avec ce qu'ils font appliquer (même s'ils prêchent comme des convaincus).
Sinon, il n'y a effectivement aucune pédagogie dans le recrutement, ou presque rien. De toutes façons, la difficulté du métier, la seule réelle est de gérer des groupes d'ados ou d'enfants. Et ça se réduit de plus en plus à ça.
La spécificité des maths est d'être une discipline pas difficile au fond (pas comme le français par exemple) mais où tu ne peux pas baratiner, c'est vrai ou c'est faux, juste ou inexact. Donc il est difficile d'être démago, sauf à faire ce que dénonce cc filer le corrigé avant le contrôle. -
totem : non, je ne vois pas en quoi l'agreg s'adresse à des esprits ouverts. Et je connais des IPR très ouverts.
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Les profs de prépas et plus généralement les agrégés sont inspectés par des inspecteurs généraux, pas des IPR.
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Est-ce systématique ou est-ce juste un droit des agrégés à demander à être inspecté par un IG ?
Car le pool des agrégés me paraît très très gros devant le petit nombre d'IG, sans compter que les inspections ne sont pas leur seul travail. -
@ totem.
Je tiens ce néologisme d'un pédagogue chevronné. À noter que la pédagogie n'est présente dans les espe que sous l'aspect didactique.
e.v.Personne n'a raison contre un enfant qui pleure. -
Bonsoir,
J'ai toujours été inspecté par des IPR et jamais par un IG, mais je n'ai jamais rien demandé.
Cordialement,
Rescassol -
J'ai le sentiment que c'est récent (5 ans ? Davantage ?).
Toutes matières confondues, les nouveaux agrégés externes et bien classés demandent à un IG de venir pour, souvent, trouver une manière de quitter le secondaire...
Mes sources : bof, 4 ou 5 profs en 4 ans (anglais, maths et lettres modernes). -
NicolasM écrivait : http://www.les-mathematiques.net/phorum/read.php?6,1300817,1303909#msg-1303909
[Inutile de recopier un message présent sur le forum. Un lien suffit. AD]
Pour les profs de prépas, c'est systématique. Les agrégés qui ne sont pas profs prépas il faut plutôt en faire la demande, effectivement il y en a peu par rapport au nombre d'agrégés.
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Bonjour!
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