Les travers du temps dans l'espace des mathématiques

samok

Je suis pépé dans la classe d'Évariste Galois. Je fais quoi ?

Évariste Galois commença ses études à l'âge de douze ans au lycée parisien Louis-le-Grand, un établissement qui avait ouvert ses portes en 1563 et par lequel étaient passés des étudiants aussi brillants que Voltaire, Molière ou encore Géricault.

[...]

Malgré le prestige de Louis-le-Grand, les installations étaient loin d'être excellentes : les murs étaient écaillés, toutes les fenêtres avaient des barreaux et la vie des étudiants s'apparentait à ce que l'on pourrait s'attendre à trouver, de nos jours, dans un centre de réhabilitation ou un centre de pour jeunes délinquants.

Leur journée commençait au son de la cloche, à cinq heures et demie du matin. On comptait une quarantaine de lits par dortoir, séparés les uns des autres par une distance exacte d'un mètre, et il n'y avait pas de chauffage, même pendant les rudes hivers parisiens.

Je vais juste dans ce fil recopier un texte qui me pose question,

Bisous à la modération.

samok

Après une rapide toilette, les étudiants devaient s'habiller en silence. Tous étaient vêtus de l'uniforme de l'établissement qui, malgré les changements politiques, était celui qu'avait personnellement imaginé Napoléon.

Une fois habillés et après les prières communautaires, ils se dirigeaient vers les salles de classe pour étudier avant le petit déjeuner $-$ qu'ils prenaient dans lesdites salles de classe $-$ composé de pain et d'eau qu'ils devaient manger en silence et avec diligence, en moins d'un quart d'heure.

Ramon Mercader, si tu veux parler

commence part te taire

Bisous de Higgs aux vieux schtroumphs