Différentes écritures d'un nombre

Bonsoir à tous,

Je souhaiterais en cette fin d'année préparer pour l'année prochaine une petite activité au niveau 5ème afin de dégager l'idée qu'un nombre peut avoir différentes écritures et insister sur la distinction entre une écriture décimale et une écriture fractionnaire (puis plus tard, écriture scientifique).
Autrement dit, elle aurait pour but d'insister sur le fait qu'il ne faille pas confondre un nombre et seS différenteS écritureS.

Que pensez-vous de cette idée ?
Est-ce utile, important ?
Avez-vous des idées sur comment amener les choses ?
L'avez-vous déjà testé ?
Je suis preneur de toute idée.

En vous remerciant pour votre collaboration.
Si vous le souhaitez, je mettrai sur le site mes ébauches / mon travail une fois terminé.

PrOf.

Réponses

  • Dans le même ordre d'idée aussi distinguer valeur exacte et valeur approchée.
    Par contre que veux tu dire précisément par "'il ne faille pas confondre un nombre et seS différenteS écritureS.
    " ?
    Les différentes écritures d'un même nombre, ça se travaille dès la sixième sur les nombres décimaux
    2 2,0 20 dixièmes etc
    ensuite on dérive vers les fractions décimales puis vers le cadre général des écritures fractionnaires, en particulier en travaillant l'égalité de fractions
    On peut au passage commencer peut être à distinguer (doucement) quelques ensembles de nombres, voir qu'un nombre en écriture fractionnaire ne peut pas toujours s'écrire sous forme décimale etc.
    En liant du coup le travail avec la distinction valeur exacte-valeur approchée.
  • Bonsoir Prof.

    1) C'est fondamental. Il faut bien distinguer un nombre - personne ne sait ce que c'est - de ses écritures.
    2+2 est une écriture pour 4. Un nombre est ainsi le résumé de toutes ses écritures.

    2) Le distinguo entre nombre et écritures de ce nombre dépasse les élèves de collège, de lycée et un bon nombre de leurs enseignants. Ce n'est peut-être pas la peine de s'exciter là-dessus.

    e.v.

    Je suis Charlie / Charleston mais surtout pas Charlton Heston.
    Personne n'a raison contre un enfant qui pleure.


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