Merci, ça éclaire ma compréhension et la naturalité de ce procédé pour $\K^{(I)}$.
Le truc qui me manque toutefois c'est quand est-ce qu'on sait qu'un truc sera caractérisable par propriété universelle. Mais là j'imagine que sans catégorie c'est compliqué. Le lien que tu as donné semble donner une réponse, il me reste donc à avancer sur les catégories.
En fait, je travaille également par ailleurs les catégories, bien que je n'en sois pas encore au stade des propriétés universelles. Même si j'imagine que ça n'est pas l'idéal, j'aimerais savoir si l'on peut répondre à mes questions sans les catégories. Dans un premier temps du moins. D'ailleurs, le cours d'où je tire mes observations n'utilise pas du t
Souvent, pour ne pas dire toujours, une fois donnée la définition d'un objet algébrique, j'ai du mal à formaliser moi-même (i.e. à deviner avant de le lire) quelle sera la propriété universelle vérifiée par ce dernier.
Prenons un exemple : $\K^{(I)}$, l'ensemble des familles à support fini d'éléments de $\K$ et indexées par $I$, où $I$ est un ensemble et $\K$ un corps.
Merci pour vos ajouts !
Je me souviens vaguement d'un truc mais impossible de retrouver où j'ai lu ça.
Étant donnée une application linéaire $u:E\rightarrow F$, il s'agissait sauf erreur de la suite $(v_n)_{n\in\N}$ définie par : $v_0=u$, $v_1=$$^{t(1)}u=$$^tu$ et pour tout $n\geqslant 2, v_n=$$^{t(n)}u=$$^{t}($$^{t(n-1)}u)$.
La suite $(v_n)_{n\in\N}$ possède-t-elle des p
Salut
Connaissez-vous des propriétés/résultats sympas/intéressants/tautologiques (je prends tout !) qui tournent autour de la notion d'application transposée d'une application linéaire ? J'ai pensé regarder sur des vieux livres de prépas mais il n'y a en fait pas grand chose, pourtant à cette époque il y a du avoir un certain nombre d'énoncés de concours sur le sujet (no
J'ai une question sur la définition d'un foncteur de catégories (voir ci-dessous pour la définition).
On est d'accord que pour tout objet $X$ de la catégorie de départ, on a l'existence mais pas nécessairement l'unicité de l'objet $F(X)$ de la catégorie d'arrivée ? Même chose pour $F(f)$ avec $f$ morphisme de la catégorie de départ.
Cela ne pose-t-il pas u
Bonjour
Dans la définition d'une catégorie (voir ci-dessous pour voir celle que je prends), je sais qu'il y a un débat quant au fait que les objets de ladite catégorie forment un ensemble ou non. Par exemple, le cours que je regarde parle d'une classe d'objets, afin notamment de pouvoir considérer plus loin la catégorie des ensembles dont les objets ne forment pas un ensemble
Soient $\K$ un corps et $E$ un $\K$-espace vectoriel.
Pour toute partie $A$ de $E$, on note $A^{\perp}$ son orthogonal dans le dual $E^*$.
Pour toute partie $B$ de $E^*$, on note $B^{°}$ son orthogonal dans $E$.
On note $\mathcal P(E^*)$ l'ensemble des droites vectorielles de $E^*$ et $\mathcal H(E)$ l'ensemble des hyperplans de $E$.
Est-ce que le fait que $\mathcal P(E^*)$
Soient $\K$ un corps quelconque et $E$ un $\K$-espace vectoriel de dimension quelconque.
Donner une CNS pour que $E$ admette une infinité d'hyperplans.
Pouvez-vous me dire si mon raisonnement ci-dessous est correct :
1) Il est équivalent de chercher une CNS pour que $E$ admette une infinité de droites (on le vérifie à l'aide de la caractérisation "existence d'une droi
Ah ma réponse est vraie lorsque $R$ est intègre, sauf erreur. Par contre pour le cas général je ne sais pas.
Les inversibles de $\Z/4\Z$ sont $\overline{1}$ et $\overline{3}$.
1- Justement c'était l'objectif de l'exemple de ce topic. J'ai essayé plusieurs choses mais j'ai l'impression de chercher le néant.
Merci, en effet, par exemple pour $x=zy$, cela vient du fait que $X-ZT\in (X-ZY,Y-TX)$.
Je cherche maintenant à montrer qu'il n'existe pas $u\in A^{\times}$ tel que $x=uy$ mais déjà, je ne sais pas déterminer les inversibles de $A$.
Bonjour,
Soit l'anneau quotient $A:=\Z/(X-ZY,Y-TX)$.
On note $\pi:\Z\rightarrow A$ la projection canonique et $x:=\pi (X)$ et $y:=\pi(Y)$.
Je ne comprends pas pourquoi $x$ et $y$ sont associés dans $A$, i.e. $(x)=(y)$.
Ah super intéressant, merci !
En effet sur le lien il est dit que $E$ est égal à $\K\otimes_{\K} E$. Quelqu'un pourrait me définir proprement ce qu'est $\K\otimes_{\K} E$ ?
J'imagine que c'est encore un coup de produit tensoriel, il va falloir que j'y jette un œil, la dernière fois j'avais abandonné car certains aspects techniques m'avaient découragé.
Soient $\K$ un corps, $E$ un $\K$-espace vectoriel de dimension finie $n$ et $u$ un endomorphisme de $E$.
Le polynôme caractéristique de $u$, que je note $C_u$, est égal au polynôme caractéristique de $A$ (qui est égal à $C_A:=\mathrm{det}(XI_n-A)$) où $A$ désigne la matrice de $u$ dans n'importe quelle base $\mathcal B$ de $E$. Cela est légitimé par le fait que deux matrices semblables
Merci à vous deux !
On vérifie en effet que la bonne caractérisation est la suivante :
Si $x\in E$ un vecteur propre de $u$ associé à la valeur propre $\lambda\in\K$, alors les assertions suivantes sont équivalentes :
$x$ est l'unique vecteur propre de $u$ associé à $\lambda$. $\lvert\K\rvert=2$ et $\mathrm{dim}(\ker (u-\lambda\mathrm{Id}_E))=1$.
Bonjour
Soit $u$ un endomorphisme d'un $\K$-espace vectoriel $E$.
Je sais que si $x\in E$ est un vecteur propre de $u$, alors il existe une unique valeur propre $\lambda\in\K$ de $u$ telle que $u(x)=\lambda x$. Cela vient de la "pseudo-intégrité" d'un espace vectoriel : $\forall (\alpha,t)\in\K\times E,\quad (\alpha t=0_E)\iff (\alpha=0_{\K}\text{ ou } t=0_E)$.
Maintena
Bonjour,
Je souhaite éclaircir un truc qui est bâclé dans le cours que je lis.
Je rappelle d'abord la définition utilisée.
Définition. Soit $(E,\mathcal O_E)$ un espace topologique. On dit qu'une partie $\mathcal B$ de $\mathcal O_E$ est une base de topologie de $(E,\mathcal O_E)$ si tout élément de $\mathcal O_E$ est réunion d'éléments de $\mathcal B$.
Soit $\mathca
Salut,
Je lis dans un cours que l'ensemble des fermés de $\R$ muni de sa topologie usuelle (cette topologie étant définie comme l'ensemble des réunions quelconques d'intervalles de la forme $]a,b[$ avec $(a,b)\in\R^2$), est égal à l'ensemble des réunions d'intervalles de la forme $$ avec $(a,b)\in\R^2$.
Je n'arrive pas à le prouver et j'arrive uniquement