Sauf erreur les nombres exceptionnels de Galois sont les puissances de nombres premiers et les entiers $n$ pour lesquels $\# \mathbb{E}_{pq}(n^2)>1$ et $\omega(n)>1$.
J'ai peut-être une idée. Posons $p^a=n-w_{0}(n)$ et $q^b=n+w_{0}(n)$ avec $p$ et $q$ premiers, $a>0$, $b>0$. Notons $\mathbb{E}_{r}(x)$ l'ensemble des nombres n'excédant pas $x$ de radical $r$ avec $r$ sans facteur carré. Il s'agit de trouver le tel $r$ qui minimise la distance à $n^2$ de l'élément maximal de $\mathbb{E}_{r}(n^2)$. Cette distance vaut $w_{0}(n)^{2}$
Bonjour,
Rappelons que le radical d'un nombre entier $n$ est le plus grand entier sans facteur carré $rad(n)$ divisant $n$.
J'appelle rayon de primalité faible de $n$ tout entier positif $w$ tel que $\omega(n-w)=\omega(n+w)=1$ où $\omega$ compte le nombre de facteurs premiers sans tenir compte de la multiplicité.
Considérons la fonction $R_{n}(x)$ donnant le nombre d'entiers
Egan est aussi l'auteur de travaux sur les superpermutations, il est en fait titulaire d'une licence de maths et collabore à l'occasion avec des mathématiciens professionnels.
Effectivement. J'ai repensé aujourd'hui à ce cours hors programme donné par le prof de transferts thermiques sur les postulats d'Onsager en L3, j'étais vraiment enthousiasmé et par ledit cours et par cette démarche. Le prof en question est d'ailleurs l'un des plus marquants de toute ma scolarité.
Je pense, sans toutefois être un expert, que si le principe de relativité sous quelque forme que ce soit était effectivement démontrablement faux, on s'en serait aperçu. Rien que les innombrables tests toujours plus poussés de la relativité générale, encore jamais prise en défaut quelque 105 ans après, tendent à le valider.
L'idée est de faire le lien avec un changement de coordonnées sous lequel la réalité physique ou mathématique est la même, en voyant l'ensemble des changements de coordonnées possibles comme un groupe d'automorphismes du phénomène étudié. Le principe de relativité c'est que la réalité est la même dans tous les référentiels même si chaque observateur a un point de vue propre, d
Bonjour,
Je me permets d'intervenir ici car ma question est inspirée, dans son esprit, par le principe de la relativité.
J'aimerais donc savoir si dans le fichier joint, la condition que je requière, à savoir $\epsilon_{g(\varphi),s}=\epsilon_{\varphi,s}$ pour tout $(g,\varphi,s)$, est ou non équivalente à l'axiome du choix. Si oui fait-ce de RH un indécidable de ZF ?
Merc
Merci à vous deux. A ce propos, je signale aux personnes intéressées qu'il existe en librairie un lexique scientifique anglais/français comprenant 25.000 entrées dans différentes sciences dont celle qui nous occupe.
C'est une idée d'ex futur physicien hein...donc je me suis dit qu'une égalité tensorielle étant vraie dans tout système de coordonnées, il était peut-être possible d'étendre la gamme de tels systèmes de coordonnées dans laquelle une égalité entre quantités non tensorielles est valide jusqu'à obtenir une égalité entre tenseurs par transformation progressive de ces quantité
Bonjour,
Existe-t-il un opérateur $\mathcal{T}_{p,q}$ laissant invariant tout tenseur $p$ fois contravariant et $q$ fois covariant et transformant progressivement une équation non tensorielle valide uniquement dans certains systèmes de coordonnées en équation tensorielle par itérations successives de l'opérateur considéré ?
Merci d'avance.
Bonjour,
Quelqu'un saurait comment on traduit l'expression "converse theorem" telle qu'apparaissant dans les articles visant à montrer que certaines fonctions L de la classe de Selberg proviennent de formes modulaires ou automorphes comme le preprint de Michael Farmer paru ce matin dans la section Number Theory d'arxiv ?
Merci d'avance.
Quotede sorte que je trouve curieux qu'un individu seul ait pu amélioré le résultat à ce point.
Je n'ai jamais compris ce type d'argument pour être honnête. Les bonnes idées existent, les gens brillants aussi, aussi rare soit-ce. J'avoue que je suis curieux, car aucun progrès n'a été effectué depuis 2014, et pourtant Kevin Broughan dans son bouquin pense qu'on peu
Quotenoradan
Comment prouver que l'on peut trouver autant d'entiers consécutifs tous divisibles par un carré ?
Noradan n'a pas dit "par un même carré". Personnellement j'ai tout de suite compris ce qu'il voulait dire. Je m'abstiendrai de tout commentaire désobligeant mais n'en pense pas moins.
Certes ! Mais un calcul sur wolfram alpha laisse penser que $F:x\mapsto xLi(x)-Li(x^2)$ est une telle primitive. Sais-tu s'il existe des encadrements à la Dusart dans la littérature permettant de se rapprocher de ma conjecture ?
Bonjour,
En lien avec ceci, je serais à la recherche d'une primitive du logarithme intégral (ou d'une preuve de ce que j'appelle "quantitative NFPR conjecture", si possible après que mon salaire sera tombé ).