agreg externe 2013 (Algèbre)

Bonne chance à tous, et ne vous couchez pas trop tard...
Rendez-vous demain pour les sujets :)
Amicalement
Volny

[L'énoncé de l'épreuve du 27 mars se trouve là http://www.les-mathematiques.net/phorum/read.php?6,826755,826866#msg-826866 AD]
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Réponses

  • C’est tôt cette année.
    Algebraic symbols are used when you do not know what you are talking about.
            -- Schnoebelen, Philippe
  • Quelle heure ?
  • 9 h - 15 h.

    Merci pour les encouragements. Je tente pour la première fois, je prépare le concours seul dans mon coin et j'ai aucune idée de ce que ça va donner demain.

    Bon courage aux autres.
  • Merci, bon courage à tous !

    Troisième tentative pour moi, j'y vais en papa certifié touriste... :)
  • Bon, ben c'est parti, rendez vous à 16h30 :)
  • Bon courage à tous :-)
  • Voilà le sujet de ce matin pour l'agreg externe.
  • Après lecture du sujet en diagonale, je trouve l'énoncé très gentil, sans difficulté particulière, et plutôt sympa.
    Mais ce n'est qu'un avis d'algébriste :D
  • Pour ma part, comme Drasseb, j'y suis allé comme (triple) papa certifié touriste... et je crois que je n'en ai jamais fait si peu !
    J'ai passé mes 6 heures sur la partie I... et je n'ai pas tout fait ! :-(
  • Je suis très déçu de moi, qui aime l'algèbre en plus. J'ai touché à la partie I (A, B et C) mais pas tout et certaines choses dont je ne suis pas satisfait, ainsi qu'à la partie III.

    J'ai aucune idée de ce que ça peut donner comme résultat, je ne m'attends pas à un miracle. De plus demain c'est l'analyse et je ne suis pas très fan.

    L'agrégation c'est peut-être pas pour moi en fait. (Et du coup, l'éducation nationale non plus :D)
  • J'ai bien aimé le sujet, la prochaine fois, j'irais sans la fièvre, mais c'était un sujet agréabl, et la salle était surchauffée exactement comme il faut pour quand on et malade. Ya des gens qui vont penser que je suis pistonné, depuis 10 ans que je passe l'externe c'est la première fois que je ne viens pas en short, et c'est la première fois que la salle est chauffée à l'avance.

    Sinon, I,1 c'était du cours ou presque, : écrire $B(A(v))=B(\lambda v)=\lambda B(v)$ et conclure que $B(v)$ est un vecteur propre de $A$

    I,2 utiliser I,1 et détailler la restriction de M sur les espaces propres

    I,3 a) exprimer $C(e_k)$ et déduire de $C(e_k)=e_{k+1}$ que $C^k(e_1)=e_{k+1}$ puis exprimer n'importe quel vecteur sur la base des $(e_k)$
    conclure dans le cas de $M(e_1)$

    I,3 b) si $CM=MC$ alors $C^kM=MC^k$ et écrire que $Me_j=MC^{j-1}e_1=C^{j-1}Me_1$ passer le $C^{j-1}$ dans le sigma et obtenir :
    $$\forall k\in [1;n] Me_k = \sum_{i=1}^nb_iC^ie_k$$
    c'est à dire
    $$M=\sum_{i=1}^nb_iC^i$$
    pour la première inclusion. De plus on sait de $\mathbb{K}[A]$ est incluse dans le commutant de $A$, d'où l'égalité.

    1.4 j'ai un peu galéré et je ne suis pas content de ce que j'ai fait, je suis passé par le polynôme caractéristique de $A$ et par une extension de $\mathbb(K)$ pour diagonaliser $A$, ou si le poly était scindé à racine simples, mais dans le cas d'une transvection je suis revenu à une base avec un vecteur propre, bref très compliqué, je n'ai pas encore réfléchi mais on doit faire bien plus simple.
  • J'ai plutôt bien aimé ce sujet. Mais je suis plus algèbre qu'analyse, donc pour moi tout se joue demain.

    A Dijon 57 candidats inscrits, et je dirais 35-40 présents, en tous cas bien plus que l'année dernière. Profil moyen : papa touriste certifié (en même temps, il n'y a plus de prépa agreg dans cette académie).

    Beau soleil dans le jura sinon, bon courage pour demain !
  • J'aurais bien aimé avoir ça l'année où j'ai passé l'agreg... snif.
  • Euh pour la I-A.1, rien ne dit que A ou B ne sont diagonalisable, donc on ne peut pas utiliser de vecteurs propres.
  • Si tu as un espace propre c'est que tu as des vecteurs propres... on ne dit rien de plus.
  • Les sous-espaces propres, ne sont pas propres aux matrices diagonalisables. ;)
  • Partie B
    1 a)
    j'ai d'abord montré l'équivalence ii et iii en exhibant une matrice de passage (matrice diagonale avec coeffs 1 et $\lambda^{-1}$ : $\begin{pmatrix}
    1 & 0\\
    0 & \lambda^{-1}
    \end{pmatrix}$)

    ii implique i en utilisant que le polynome caractéristique est un invariant de similitude et que le rang de $P^-1MP - I_2$ est le rang de $P^-1(M-I_2)P$ (deux matrices semblables ont même rang)

    i implique ii se faisait de manière assez bourine : $M \neq I_2$ et rang($M-I_2$) = 1 implique qu'il y ait un vecteur propre $u$ pour la valeur propre 1, on complète en une base avec $v$ et $M(v)=\alpha u + \beta v$
    on trouve facilement que $\beta=1$ en utilisant le determinant de M qui est invariant par changement de base et doit valoir 1 pour une transvection (par le caractéristique) et on a $\alpha \neq 0$, sinon $M=I_2$

    Pour le 2 on écrit $M=M^{-1}$ avec $det(M)=1$ et on a directement $a=d$ $-b=b$ $-c=c$ $d=a$ et si la caractéristique est différente de 2 : $a=d$ avec $a^2=1$ et $b=c=0$

    en caractéristique 2 comme $1=-1$ toutes les symétries sont dans $SL_2(\mathbb{K})$ et pour $\mathbb{K}=\mathbb{F}_2$ on a $SL_n=GL_n$

    Pour le 3 on se rapelle que les $T_{12}(\lambda)$ engendrent $SL_n$ et donc en particulier un élément du centralisateur doit commuter avec tous les $T_{12}(1)$

    Or si $M$ est un de ces éléments et qu'il a un coefficient non diagonal $m_{i,j}$ non nul, il suffit de former $T_{ji}M$ et $MT_{ji}$ pour se rendre compte que le coefficient diagonal en $i,i$ ou en $j,j$ est différent pour les deux produits, et $M$ n'est pas dans Z.

    $M$ est donc diagonale, et si elle a deux coefficient diagonaux distincts $m_{ii} \neq m_{jj}$ il suffit encore de former $T_{ij}M$ et $MT_{ij}$ pour voire que le coefficient non diagonal en $i,j$ est différent.

    Conclusions les homothéties forment le centralisateur. (car elle sont centrales).

    Le centre de $SL_n$ étant inclus par définition dans son centralisateur, il est composé des homothéties de déterminant 1 donc toujours de l'identité, et des racines nièmes de l'unité qui sont dans $\mathbb{K}$

    pour le 4a on exhibe à la main un commutateur non trivial, par exemple $T_{21}T_{12}T_{21}^{-1}T_{12}^{-1}$, avec un bon $\lambda$ et un produit par bloc.

    le 4b est simplement l'application du théorème 0 et du résultat rappelé dans l'énoncé que de groupe dérivé est distingué.
  • l'équivalence peut aussi se montrer de manière cyclique avec seulement des implications il me semble...
    Pour la I3, attention dans la rédaction au cas k=n...
  • A-1 4. Par disjonction de cas
    A=(aij)
    1er cas , si a12=a21=0
    On virait le cas scalaire et on utilisait le 1....

    2nd cas a12 ou a21 di fférent de 0
    A = a11I + sC où C est une matrice compagnon et s scalaire fonctions des coefficients de A et on utilisait le 2. ...
  • Pour la I.A.4., je crois que j'ai fait ça :

    $A$ est non scalaire, son polynôme caractéristique est donc son polynôme minimal, que j'ai nommé $X^2+aX+b$. $A$ est donc semblable à la matrice compagnon $C$ de ce polynôme, il existe $P$ inversible telle que $A=PCP^{-1}$

    Maintenant soit une matrice $M$ telle que $MA=AM$. D'après la question I.A.3, on sait que l'ensemble des matrices qui commutent avec $C$ est $\mathbf K[C]$, or on a :
    \[
    AM=MA \Leftrightarrow PCP^{-1}M=MPCP^{-1}\Leftrightarrow CP^{-1}MP=P^{-1}MPC
    \]
    Donc $P^{-1}MP\in\mathbf{K}[C]$, il existe un polynôme $Q$ tel que $P^{-1}MP=Q(C)$, d'où $M=PQ(C)P^{-1}=Q(A)$, $M$ est donc polynomiale en $A$, donc dans $\mathbf{K}[A]$.

    (et bien évidemment, toutes les matrices de $\mathbf K[A]$ commutent avec $A$)
  • B2
    Cayley Hamilton donnait M diagonalisable; on écrivait M² dans la bonne base et on trouvait I et -I.
  • euh désolé, nul besoin de Cayley, on avait un polynôme annulateur scindé à racines simples...
  • Pour $I)B)2)$, j'ai dû traiter à part le cas où la caractéristique était 2.
    Pour $car(K)=2$ je trouve 3 matrices et sinon seulement $-I_2$ ($I_2$ étant d'ordre 1).
    Mais j'ai peut-être fait une erreur.
  • Partie C c'est quasiment du cours,
    1 unicité de la décomposition sur une base, donc bijection entre $E$ et $\mathbb{K}^n$
    2 a) c'est du cours on prend 1 vecteur $e_1$ parmis les $q^n-1$ non nuls, on élimine $vect(e_1)$ il reste $q^n-q$ vecteurs pour $e_2$, on élimine $vect(e_1,e_2)$ soit $q^2$ vecteurs, il en reste $q^n-q^2$ pour $e_3$, etc...

    Et on justifie qu'un automorphisme de $GL_n$ est déterminé par l'image d'une partie génératrice, etc.

    Pour $SL_n$ il suffit de préciser que lors du choix du dernier vecteur on impose $det(B) = 1$ c'est à dire que parmis les $q-1$ vecteurs colinéaires à $e_n$ on ne peut en choisir qu'un, le cardinal est donc $q^{\frac{n(n-1)}{2}}(q^n-1)(q^{n-1}-1)...(q^2-1)$

    et pour le c) on utilise l'unicité à isomorphisme près des corps finis : si $SL_n(K) et SL_n(L)$ sont isomorphe ils ont même cardinal, ce qui impose que K et L ont même cardinal
  • @sebmagic caractéristique 2 n'est pas forcément $\mathbb{F}_2$
  • Pour la I.4 il suffit de dire que $A = a_{11} I + C$ où C est une matrice compagnon. Or, $K[A] = K[C]$ et le commutant de A est le commutant de C.

    EDIT : ma formulation n'était pas clair.
  • Volny DE PASCALE écrivait:
    > @sebmagic caractéristique 2 n'est pas forcément
    > $\mathbb{F}_2$


    Exact, je suis allé un peu vite... Ceci dit il faut quand même mettre $\mathbb{F}_2$ dans un cas à part, non ?
  • Après je suis passé directement au III, mais j'ai fait le II dans la voiture en rentrant (faut être con hein ?)

    Pour le 1 c'est immédiat : le noyau de $\Psi$ étant un sous-groupe distingué, s'il contient une matrice non scalaire il est égal à $SL_n$ et le morphisme est trivial

    pour le 2 c'est a peine mieux, on prend trois demi-tours : $I=

    \begin{pmatrix}
    0 & 1 & 0\\
    1 & 0 & 0\\
    0 &0 &-1
    \end{pmatrix}$ et $J = \begin{pmatrix}
    -1 & 0 & 0\\
    0 & 0 & 1\\
    0 &1 &0
    \end{pmatrix}$

    et $K=IJ$

    Ils sont tous d'ordre 2 donc leur image est d'ordre 1 ou 2. Si l'un des deux est envoyé sur $I_2$ alors il est dans le noyau, qui contient alors un élément non scalaire.

    Si les deux ne sont par d'ordre 1, ils sont envoyé sur le SEUL élément d'ordre 2 et $\Psi(IJ) = \Psi(I) \Psi(J) = \Psi(I)^2 = Id$ il suffit de vérifier que $IJ$ n'est pas scalaire pour conclure.
  • @sebmagic, oui en effet, ne serait-ce que pour se clarifier les idées (en tout cas c'est ce que j'ai fait) :)
  • Pour le III A

    1 c'est le morphisme de Frobénius. $(X-1)^p=X^p-1$ mais je pense qu'il fallait quand même dire que ça venait de ce que les coefficients binomiaux sont multiples de p lorsque p est premier sauf celui de rang 0 et celui de rang p.

    ensuite on a vu qu'une transvection est semblable à $T_{12}(1)$ et si on forme $(P^{-1}TP)^p=P^{-1}T^pP$, comme il est clair que $T_{12}(1)^n=T_{12}(n)$ on a $T_{12}(1)^p=I_2$

    Pour l'inclusion réciproque, j'ai écrit des c...eries :(

    3 fait en urgence (MD10:) on écrit brutalement $M =\begin{pmatrix}
    a & b \\
    c &d
    \end{pmatrix}$ et $M^{-1}=\begin{pmatrix}
    d & -b \\
    -c &a
    \end{pmatrix}$ et on forme les produits, on trouve $a =a +\lambda c$, $c=c$, $\lambda a + b = b + \lambda d$ et $\lambda c + d = d$

    On en tire $c=0$ et $a=d$, soit avec la condition $det(M)=1$

    $\begin{pmatrix}
    a & b\\
    0 &a
    \end{pmatrix}$ avec $a^2=1$

    le b)
    se fait de la même manière, on élimine une condition du genre $(ad)^2=1$ en disant que si $ad=-1$ le déterminant ne vaut pas un...
    et pour le c)
    on trouve un truc du genre $\alpha+\alpha^{-1}=0$ qui se ramène à $-1$ est un carré de $\mathbb{F}_q$ ...

    Et là je suis rentré me coucher, parceque moi très très fatigué...

    Bon, c'était un sujet où il ne fallait pas traîner, et j'ai traîné.

    Le 4 se faisait comme le 3, on retrouve $\alpha c = \alpha^{-1} c$ et $\alpha d = \alpha^{-1} d$ et comme on a éliminé $\alpha^{-1}=\alpha$ il faut $b=c=0$
    puis pour le normalisateur il vient $ab=0$ et $cd=0$ avec toujours det=1, donc les matrices de type $D$ et celles de type $\begin{pmatrix}
    0 & \beta \\
    -\beta^{-1} &0
    \end{pmatrix}$ dont les carrés sont $-I_2$, et voilà ! encore un truc qui prenait 5 minutes et que je n'ai pas fait !

    Là rien qu'a regarder le IIIB je vois encore des trucs à faire, mais je laisse ça à d'autre, il me faut encore une aspirine :)

    Amicalement
    Volny
  • Bonjour, nous étions sur Montpellier 55 présents et 68 absents!
    Avez-vous des infos pour les autres centres?
    amicalement.
  • @ Baggins
    Je ne comprends pas pourquoi A et la "bonne matrice" compagnon sont semblables. Peux tu éclairer mes lumières.
    Merci
  • $A$ est une matrice $2\times 2$, son polynôme caractéristique est de degré 2. Si son polynôme minimal était de degré 1, on aurait nécessairement que $A$ est scalaire, donc il est de degré 2 et correspond au polynôme caractéristique. Maintenant, la matrice compagnon de ce polynôme a pour polynôme minimal le polynôme en question et le polynôme minimal est un invariant de similitude, c'est-à-dire que A et C sont semblables.
  • Super, merci.
    Je me suis embêté à démontrer que A est semblable à une matrice compagnon à la main. Ma démonstration est dégueulasse alors qu'avec les invariants de similitude ça coule tout seul. Dégouté...
  • En effet, et ça ne marche que parce qu'on est en dimension assez petite pour avoir la totalité des invariants de similitudes avec le minimal et le caractéristique.
    p.s.

    T'as oublié $La\Tau e \Chi $
  • Merci.

    Volny DE PASCALE écrivait: http://www.les-mathematiques.net/phorum/read.php?6,826755,826968#msg-826968
    Mais ça je ne l'ai pas précisé. :-(

    [Inutile de répéter le message précédent. AD]
  • @Baggins, ne te frappes pas, moi, j'ai carrément loupé l'argument, et je suis parti dans des extentions de corps (de degré 2) pour pouvoir scinder le polynôme, pour au final régler juste les cas triviaux et finir à la main la transvection -<8-S
  • Bon, bonne nuit à tous, et bon courage pour demain...

    Et n'oubliez pas d'ouvrir un autre fil pour le sujet d'analyse !

    Amicalement
    Volny
  • Vraiment je pense qu'invoquer un argument d'invariants de similitudes en petite dimension pour la I-A-4 c'est un overkill....
  • @kayakpopot : je dirais 45-50 présents pour Dijon. Je récupèrerai le nombre exact demain si j'y pense. Ce serait bien en effet qu'on fasse des stats (surtout le nombre de présents) sur les différents centres, si on peut en avoir d'autres on est preneurs, qu'on puisse faire une synthèse basée sur plus d'endroits différents !
  • Salut Drasseb, à Dijon, le centre d'examen pour l'écrit de l'agreg c'est où ? Juste pour savoir pour l'année prochaine.
  • Salut Nipoti (désolé j'ai changé une couche puis je suis allé m'effondrer de fatigue ;-) ) !

    Clos de Pouilly à Dijon (rue Henri Farman, bien pratique pour se garer c'est cool quand on fait de la route, je trouve que le centre est bien choisi.)
  • Stats officielles définitives sur Dijon : 57 inscrits, 36 présents.
  • Joli sujet, assez simple et bien balisé. J'ai quelques questions/commentaires.

    1. Dans la question I.B.4.b, (ou le théorème 0) savez-vous pourquoi l'auteur a choisi $5$ et non pas $4$ ? $\mathrm{SL}_n(\mathbb{F}_4)$ est un groupe quasi-simple aussi !
    2. Il me semble rare de parler de "liste", comme dans la question I.A.3, dans ce contexte, non ? Cela nous donnera peut être une piste sur l'identité de l'auteur du sujet.
    3. Je pense qu'un candidat de bon niveau et bien entraîné peut faire le sujet entier en 6 heures (je n'en suis pas certain n'ayant passé qu'une heure dessus jusqu'à présent). Pourquoi ne pas traiter le cas $\mathrm{car}(\mathbb{K}) =2$ dans ce sujet ?
  • Je suis d'accord avec Greg ; par contre, 10 pages, c'est vraiment un sujet obèse. Un sujet d'agrégation ne devrait pas dépasser 7 pages (une page par heure, sachant que la première ne comporte jamais de question).

    Jean-Yves Degos
  • Les questions commencent page 4, et les pages 4 et 5 se résolvent en 30 minutes (disons 45 max), du coup pas si obèse que cela ;)
  • visitor : je veux bien que certains soient plus doués que d'autres, mais là, tu n' exagères pas un peu ?
    On n'a jamais qu'une main pour écrire.
  • @sql, tu serais surpris. Une fois que tu as trouvé les questions des pages 4 et 5 tente de les écrire d'un seul coup montre en main.
    Je ne sais pas pour toutes les années, mais je me souviens très bien que le sujet de MG de 1994 avait été fait en entier, correctement, par un candidat (pas n'importe qui, évidemment), le jour du concours, et le sujet de 1994 était très copieux et à mon gout plus compliqué que celui de cette année.
  • Vincent L. peut écrire des deux mains à la fois ?
  • Bonjour à tous, et un message de sympathie aux gens qui, comme moi, ont oubliés qu'ils avaient lu le théorème zéro, et s'en veulent d'être passé à coté de ( au moins ) deux questions faciles...
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