Écoles de mathématiques fondamentales

Bonsoir
J'aimerais juste savoir s'il existe des écoles autres que ENS sur concours pour les cpgeistes (MP plus précisément) qui enseigne les maths "fondamentales" ? Je ne parle pas de facultés, mais bien d'écoles sur concours.
Merci.

Réponses

  • Haha non je parle d'écoles moins difficiles à intégrer :-D
  • YvesM
    Modifié (May 2022)
    Bonjour
    Non, ça n’existe pas.
    La fac et les ENS/ X sont les seules.
    Dans quelques grandes écoles, on peut essayer de minimiser les cours de merde et de maximiser les maths fondamentales (avec un master à la fac) mais le mieux est encore d’aller à la fac.
  • Bonsoir,
    Sur le plateau de Saclay, la plupart (toutes quasiment) des écoles proposent de suivre une L3 Maths Fonda en parallèle de ta 1ère année. Je crois qu'il y a ça aussi à Toulouse (à supaero et l'insa au moins) et certainement à Lyon aussi.
  • Un ami de Centrale Lyon a dû s'y prendre auprès de la fac pour faire une L3 en parallèle.
    Franchement il n'y a pas de difficulté majeure à valider même en lisant la veille donc n'hésite pas à le faire si tu intègres une école en voulant faire des maths pures.
  • Je modérerais un peu le dernier message de RLC : certes, valider une L3 est une formalité pour un ex-taupin qui avait un niveau correct en prépa (quoiqu'une fois j'ai envoyé au rattrapage un étudiant qui avait été admis en liste principale à Centrale Paris), en revanche si le but est de faire des maths sérieusement, il ne s'agit pas de simplement valider, ni même avec une mention bien, et j'ai assez souvent vu au cours de ma carrière des étudiants bons sur le papier (y compris quelques X étant rentrés dans cette école surtout grâce aux maths, je m'en souviens d'un dont les notes en maths à l'X tournaient autour de 18) ayant un peu sous-estimé le niveau nécessaire pour faire un M2 dans de bonnes conditions, et dont la carrière mathématique s'est arrêté prématurément. Après les masters c'est comme les grandes écoles, il y en a pour tous les goûts et tous les niveaux.
  • Évidemment et tu fais bien de le dire.
    Je m'appuyais surtout sur l'exemple de mon pote, qui était bon en maths sans être non plus un grand surdoué, mais pour qui simplement valider la L3 n'a posé aucun problème.
    Je ne sais pas trop ce que lui a apporté cette L3 en parallèle puisqu'il l'a seulement validée et ne semble pas avoir vraiment eu le temps d'explorer les cours, hors ceux déjà faits par son école.
    Maintenant il travaille à sa thèse en maths appliquées pour résoudre des edp issues d'un problème physique pointu, comme beaucoup de gens. Il fait donc des maths qui lui plaisent même s'il a délaissé l'université au profit de son école. A chacun de voir son choix de parcours mais n'oublie pas que même en école on peut finir par s'épanouir dans des maths, même si elles sont moins fondamentales.
  • Bonjour,

    Tu peux également regarder les magistères de maths et les ENS sur dossier (l'admission sur dossier est plus facile, normalement, que l'admission sur concours) : cela ne répond toutefois pas à ta demande d'écoles sur concours...

    Toutefois, je ne comprends pas un point : pourquoi veux-tu absolument une école sur concours ?
    Si ton but est vraiment de faire des maths fonda (j'entends par là, pas en faire en parallèle d'une autre formation), les meilleures formations sont la fac, les magistères et les ENS (avec l'X en plus) : elles sont très bien et tu y trouveras ton bonheur en maths !
    Si les maths sont plus un passe-temps et que tu préfères faire ingénieur, il faut alors effectivement regarder les écoles qui permettent de prendre des cours de maths à côté, en sachant que tu n'auras pas une aussi bonne formation qu'en faisant une formation spécialisée.

    Cordialement

    Heuristique
  • Moi, je me pose une autre question. Si tu es en MP (donc pas en MP*), et si tu penses que tu n'as aucune chance pour les écoles du TOP5 ou TOP10, c'est que des gens ont estimé que tu n'avais pas le profil ou le potentiel pour faire des maths à très haut niveau.
    Peut-être que ces gens-là se sont trompés, peut-être que à cause du Covid, tu as fait une très mauvaise année, mais qu'en fait, tu vaux beaucoup plus que cette orientation en MP.
    C'est possible, auquel cas, oublie mon message.
    Mais je doute.

    Tu as plein de portes ouvertes devant toi, et tu essaies d'aller dans la seule qui est fermée.

    En maths fondamentales, si tu réussis à te glisser dans cette voie, tu seras un second-couteau, un cinquième-couteau même.
    C'est 1000 fois plus confortable, plus plaisant d'être un très bon dans la voie qu'on a choisie, plutôt qu'un très moyen dans une voie plus prestigieuse.

    Désolé si ceci te paraît violent.

    Edit : tu vas voir la réaction de Xax. Pour décrypter son message, voici la clé : Si j'avais dit 'A', il aurait répondu 'Non-A'.
    Tu me dis, j'oublie. Tu m'enseignes, je me souviens. Tu m'impliques, j'apprends. Benjamin Franklin
  • >c'est que des gens ont estimé que tu n'avais pas le profil ou le potentiel pour faire des maths à très haut niveau.

    Comment peut-on lire des conneries de ce genre en 2021, tu n'arrêtes pas de te surpasser lourrran.

    m900 on ne fait quasiment plus de maths fondamentales en école, même si certains écoles font beaucoup plus de maths appliquées. Tu as raison de te poser la question car les choses arrivent vite et il y a peu de chance que tu refasses sérieusement des maths un jour dans ta vie si tu ne songes pas à l'université.

    Edit : lourrran tu es complètement à côté de la plaque, tous les autres intervenants du fil donnent des conseils de bon sens sauf toi qui t'évertues à décourager d'une façon totalement immonde notre jeune ami.

    En règle général d'ailleurs on pourrait définir l'éducation comme le fait de faire mentir une prédiction défavorable, et plus tard la liberté intellectuelle comme le fait de pouvoir et savoir se dépasser.
    "J'appelle bourgeois quiconque pense bassement." Gustave Flaubert
  • En France, il a existé un temps une école de mathématiques fondamentales, l'IMJ situé à Chevaleret / Clisson.
  • Je tempèrerai également le propos de @lourran. Je connaissais des gens en prépa qui étaient en MP non étoilé et qui s'intéressaient beaucoup aux maths et qui étaient souvent très bons (mais ils avaient du mal sur des épreuves écrites en temps limité).
    Ils sont ensuite allés à la fac, ont appris plein de belles mathématiques et s'en sortent très bien aujourd'hui.
  • Et en fac il n'y a pas d'épreuves écrites en temps limité ?
  • Intéressant ce que note Area51, je lis sur Wikpédia "les membres de l'IMJ-PRG interviennent dans la formation, notamment en préparation vers la recherche mathématique en mathématiques fondamentales " et le site web mentionne aussi cette orientation particulière https://www.imj-prg.fr/les-masters/ mais par contre c'est à partir du M2.

    Ça ressemble plus au parcours "graduate" des americains qu'à une école à la française .
    "J'appelle bourgeois quiconque pense bassement." Gustave Flaubert
  • Un type peut arriver au bac, sans jamais avoir eu à passer la moindre épreuve un peu stressante. Donc pas préparé du tout, pas entraîné.
    Les premières fois où il se retrouve en situation de stress, en Maths-sup par exemple, il peut-être totalement perdu, à cause de ça.
    Mais 2 ou 3 ans plus tard, les élèves en question ont eu plusieurs occasions de s'entraîner à ces épreuves en temps limité. Et ça n'est plus un problème.

    Si m900 se reconnaît dans ce profil, si c'est une non-préparation aux épreuves stressantes qui l'a amené là ... alors tout va bien !
    Tu me dis, j'oublie. Tu m'enseignes, je me souviens. Tu m'impliques, j'apprends. Benjamin Franklin
  • Tiens lourrran en remet une couche :)o Au risque de répéter ce qu'on t'a déjà expliqué, le sujet c'est de donner des pistes pour la poursuite de l'étude des maths en école et au passage d’encourager cette démarche.
    "J'appelle bourgeois quiconque pense bassement." Gustave Flaubert
  • Bonjour,

    Tu n'es pas obligé de taper bêtement chaque fois que tu vois le pseudo de Lourrran tel le Xax de Pavlov.
    Et ne parle pas de hors sujet, tu l'a été tellement de fois toi même ...

    Cordialement,

    Rescassol
  • Rescassol je te renvoie le compliment et avant de raconter des conneries, prière de lire de fil et de constater l'agression de lourrran envers m900 .

    C'est un sujet intéressant car la problématique est celle de la poursuite des maths en école. De fait à 20 ans on a rarement le recul pour y songer, or ce serait bien que les jeunes qui aiment les maths soient bien conseillés pour continuer à en faire s'ils le souhaitent.
    Moi-même je n'avais absolument aucune idée de ce que j'allais faire en maths en école, je ne savais pas que ça s’arrêtait net, parce qu'on a l'illusion de continuer à en faire avec les maths pour l'ingénieur.
    "J'appelle bourgeois quiconque pense bassement." Gustave Flaubert
  • Bonjour,

    J'ai bien lu le fil, contrairement à ce que tu crois ou tentes de faire croire, et ce qu'a écrit Lourrran n'est en aucune façon une agression, sauf dans ta vision déformée.
    De plus, il a raison.
    Par contre, tu es bien toi-même l'habitué des agressions.

    Cordialement,

    Rescassol
  • Rescassol si les conneries qu'il écrit te conviennent ok, mais ce ne n'est pas le sujet.

    À mon avis tu pourrais contribuer plus utilement tel que je l'ai indiqué http://www.les-mathematiques.net/phorum/read.php?6,2325364,2326770#msg-2326770

    Au passage des inscriptions supplémentaires d'ingés en L3, ça pourrait susciter la création de postes à l'université ;-)
    "J'appelle bourgeois quiconque pense bassement." Gustave Flaubert
  • Personnellement j'avais interprété "maths fondas" par "maths pures".

    La frontière d'ailleurs entre maths appli et maths pures est parfois tenue, je suis officiellement classé en maths appli mais la quasi-totalité de mes publis sont dans des revues de maths pures.

    Je connais quelques brillants contre-exemples à ce qu'écrit lourran, enfin en tout cas montrant que les profs peuvent se tromper. L'une d'entre elle avait été refusée en M', fait finalement une carrière de prof d'université dans un domaine réputé difficile, est co-auteur d'un médaillé Fields, et une fois expliquait à un ex-prof de MP* (d'un lycée plus prestigieux que celui qui lui avait refusé la M') des choses pertinentes sur le programme de bac+2 que pourtant l'ex prof de taupe avait pratiqué de manière bien plus intense que lui ... Comme quoi ...

    Moi-même, ma prof de maths de 4ème m'avait dit que j'étais un cas désespéré en maths, j'ai fini dans le top 5% des admis à l'agreg externe :-D

    Cependant, si m900 a l'idée de faire des maths fondamentales pas seulement pour le plaisir mais éventuellement d'y faire carrière, il faut qu'il ait en avance conscience que le nombre de postes est parfois particulièrement bas, en ce sens il est, sur le papier, même plus facile de faire une ENS que d'obtenir un poste dans une thématique où il n'y aura que 2 ou 3 postes par décennie. Et ces thématiques attirent souvent de très très bons matheux, la concurrence est donc très rude. En revanche, comme le montre le collègue mentionné plus haut, tout est possible.

    Se tourner vers les maths appli (ou vers des domaines à la frontière) permet également de se faire plaisir, et éventuellement d'être sur des voies moins bouchées.
  • Je ne dis pas que c'est impossible. Je dis que c'est difficile.
    C'est difficile dans l'absolu, et c'est encore plus difficile quand on ne part pas parmi les favoris.
    Tu me dis, j'oublie. Tu m'enseignes, je me souviens. Tu m'impliques, j'apprends. Benjamin Franklin
  • Je connais aussi un contre-exemple à ce qu'a dit lourrran, un étudiant qui n'a pas réussi en prépa mais s'épanouit dans des études de maths pures et qu'il m'arrive même de consulter parfois.
    Néanmoins tomber sur lourrran pour son propos serait stupide, il donne un conseil honnête et il faut l'en remercier. Il ne faut pas systématiquement encourager les jeunes à poursuivre leurs projets, c'est à eux de lire les encouragements et les découragements, et de prendre la décision de poursuivre ou non. Si m900 croît qu'il en est capable, il poursuivra (dans ce cas, je lui conseille de travailler au maximum pour obtenir les meilleures notes aux concours des grandes écoles et postuler aux ENS sur dossier qui à ce qu'il paraît tiennent compte de ces notes), sinon il suivra le tout aussi bon conseil de lourrran.
  • Je pense qu'un étudiant qui ne pense pas avoir ses chances parce pour les ens parce que le système prepa ne lui va pas (que ce soit à cause des autres matières ou du manque d'autonomie ou encore des horaires absurdes) est différent d'un étudiant juste moyen en maths et qu'en étant sincère avec soi-même on sait dans quelle catégorie se ranger.
    Le conseil est légitime pour un étudiant dans la seconde catégorie qui se dirait "on sait jamais".
  • m900
    Modifié (May 2022)
    Riemann_lapins_cretins Si quelqu'un ne comprend pas les maths et n'a pas une intuition mathématique et des idées un peu originales en maths pourquoi voudrait-il faire une carrière autour de cette matière ? Cette deuxième catégorie de personnes existe-elle donc ? C'est un peu bizarre que cela existe..
    Et oui, je fais partie de la première catégorie. Je suis une personne intéressée non pas seulement par les maths mais par tout ce qui a une relation avec la logique et la réflexion. Vous avez tout à fait raison, le mode prépa ne me va pas. Quand on n'est pas habitué au travail (au lycée), ce n'est pas facile (même si on est passionné) d'être très très très organisé et de travailler chaque jour en prépa puisqu'on n'y est pas habitué. Mais bien sûr, après un certain temps j'ai commencé à travailler même si, comparé à d'autres élèves majorants par exemple, on peut dire qu'ils travaillent vraiment plus que moi et sont plus ponctuels dans leurs études et révisions. Le mode prépa ne me va pas aussi parce que je suis une personne qui aime  réfléchir tranquillement pour pouvoir développer plusieurs idées en mangeant, en prenant une douche, en marchant... etc. Mais en prépa, on fait cours après cours et dans plusieurs matières. Il n'y a donc pas vraiment de temps pour réfléchir tranquillement quand il le faut ou pour s'asseoir et faire un bilan mental détaillé de ce que nous avons fait dans un chapitre à "chaque" fois que nous en finissons un.
    Encore une fois je vous remercie pour toutes vos réponses.
  • Disons qu'il y a des exceptions, mais elles confirment la règle... J'ai passé isup et ensai en 2008 après une préparation commando de 8-9 mois, et j'ai été admissible aux 2, ce qui m'a permis d'avoir une équivalence pour pour faire une l3 maths puis un m1 mathématique à l'upmc, que j'ai eu avec mention. J'ai ensuite suivi un m2 anedp que j'ai foiré par excès de confiance et en raison d'un alcoolisme explosif !!!!!! /le reste, je le garderai pour moi... 
  • Bonjour,
    pour répondre à m900, je m'étais, comme beaucoup (? - pas forcément en fait), posé cette question en prépa. Les maths m'intéressaient énormément (même plus que ça) et le reste des enseignements scientifiques, non.
    Je voulais par ailleurs aller en recherche fondamentale, donc c'était fac ou ENS (X à voir, selon les goûts en maths).
    Ayant raté ENS Ulm et Lyon, en partie du fait de mon niveau plus qu'exécrable en physique-chimie, (et n'étant pas un champion des épreuves chronométrées - je suis plus marathonien que sprinteur :) ), je suis allé en fac (Grenoble pour tout dire, choix d'abord par proximité géographique, mais excellente université en maths, puis ensuite Paris, en logique mathématique, mes amours). Et progressivement, je me suis rendu compte que:
    - plusieurs facs n'ont rien à envier aux ENS en termes de niveau, loin de là
    - en thèse, mes collègues venant des ENS ou de l'X n'étaient pas nombreux au regard des autres profils, et ENS ou X ne voulaient pas dire "bonne thèse"
    Bref, j'ai adoré la fac, j'ai pu faire toutes les mathématiques fondamentales que j'ai voulues (notamment topologie algébrique poussée, puis théorie des modèles, théorie des ensembles et analyse/géométrie o-minimale), sans souci.
  • Pour aller dans le sens de ce qui a été dit plus haut, j'ajouterais que si les voies d'admissions aux grandes écoles se sont démultipliées (concours étudiant pour les ENS, concours ATS pour les élèves issus des IUT notamment, "sur titre" pour certaines écoles du concours Mines-Ponts, etc.) c'est aussi justement parce que ces écoles savent qu'elles ont tout à gagner à recruter plus largement. Il ne faut pas s'y tromper, si elles ne parvenaient pas à attirer des profils moins adaptés à la prépa mais tout de même très bons, elles auraient redistribué ces places aux CPGE.
  • math2
    Modifié (May 2022)
    A une époque plus ancienne où j'étais moi-même étudiant (et où le net n'était pas encore "grand public"), les grandes écoles avaient des difficultés à recruter des universitaires. Un ami était à Centrale Paris et m'avait fait savoir le niveau auquel ils étaient descendu en moyenne pour les étudiants de P6, et encore sans pourvoir toutes les places ; perso j'avais fini ma licence (en CTEU à P6) 4 points au dessus en même temps que ma 5/2, c'était donc loin d'être insurmontable.
    Je suis à titre personnel particulièrement content que ces voies se soient démocratisées. S'il est vrai que rentrer par les canaux des universités par exemple est considérablement plus facile que d'y rentrer par les classes préparatoires, les étudiants universitaires y apportent d'autres choses. J'observe, et au delà du simple cliché, que si mes étudiants universitaires sont moins à l'aise sur les trucs classiques, ou dans les calculs (faire le moindre DL est quasi-impossible pour une grande majorité), les tous meilleurs font souvent preuve de davantage d'autonomie, et même sur un exercice jamais du type jamais vu auront assez souvent davantage de réactivité. Un de mes anciens étudiants était rentré à l'X, son classement lui aurait fini de terminer dans l'un des meilleurs grands corps de l'Etat, et pourtant il n'a pas travaillé pour, il souhaitait aller dans le privé et créant en plus sa boîte.
  • julian
    Modifié (May 2022)
    Boh... Il y a des élèves de MP pc non étoilées qui parviennent à intégrer X, Ens, entre autres... Mais il est vrai qu'ils viennent d'usines à concours, ginette, lazaristes, llg, h4 et j'en passe... Peut-être leur niveau dans les matières non scientifiques a-t-il joué... 
  • C'est une évidence. Mais pour le coup, au moins à l'X où l'enseignement est pluri disciplinaire, les anciens CPGE sont avantagés également sur ce point.
  • Bonjour,
    Pour la question initiale, les écoles de Statistique (Ensae, Ensai, Isup…), en prenant un maximum de cours d’option de Statistique mathématique et de Probabilité, peuvent constituer une solution, certes pas idéale, mais une solution tout de même.
    Bien à vous.
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