Pages 86 et 87:
''Les seules fractions ''authentiques'' ont pour numérateur et pour dénominateur des nombres entiers positifs, donc aucune des écritures suivantes n'est celle d'une fraction: $\frac{-4}{3}$;$\frac{2^3}{4}$
8-)
J'ai vu exactement la même coquille.
Enfin, dans son livre il dit que les numérateurs et dénominateurs doivent être des entiers positifs donc (-4)/3, ok, ce n'est pas une fraction dans sa définition.
Mais pour l'autre je pense que c'est une coquille (je l'espère !!!) : $2^3/4$ est bien une fraction d'après lui !
Salut,
Merci Mateo de partager le fruit de ce travail qui a dû être long j'imagine ! (tu)
C'est quand même incroyable de voir encore des gens chercher systématiquement "la petite bête" sans même prendre le temps de remercier le travail... 8-)
Fleuristin
Désolé d'être idiot mais personnellement je ne comprends plus quand on utilise ce genre de raisonnement : un chien aboie donc aucun de ces animaux n'est un chat.
Prenons un exemple :
page 19 : une deuxième famille d'opérations : la multiplication et la division
entre la page 19 et la page 21 on a des exemples et des méthodes, bien illustrés dont je ne dis pas que c'est mal, mais je ne vois pas à quel endroit on dit ce qu'est une multiplication (hors exemple). On le devine : "additions répétées" pour les entiers mais ce n'est pas détaché (je m'interroge sur ce choix).
[small]Au passage, l'idée du robot qui réduit ses pas "réels" est une bonne idée pour expliquer la multiplication des décimaux non entiers.[/small]
.
Je demande pourquoi le choix ne pas avoir écrit du formel a été pris.
Idem pour "nombre rationnel" d'ailleurs : pour trouver l'information il faut lire tous les détails mais c'est "caché" dans une prose. Il est rare de ne pas détacher la définition mathématique du discours "décor" (ce n'est pas péjoratif !).
La rareté ne me dérange pas (je ne critique pas ça !) je suis seulement intrigué.
Edit : un argument qui me vient.
Si un élève a des doutes sur "c'est quoi un nombre rationnel", où trouve-t-il l'information rapidement ?
S'il ne sait pas du tout ce que c'est, le choix de prendre par la main avec des exemples, je le comprends, même si des détracteurs ont le droit de dire qu'ils sont contre. Mais une fois qu'on a déjà "su", faut-il tout reprendre ou bien savoir trouver un endroit en moins de trente secondes pour retrouver ce que c'est d'un seul coup ?
Réponses
Je n’ai pas vu en quoi la page FaceBook permet de savoir pourquoi ce livre est différent des autres.
Mais peut-être que je m’y prends mal.
Cordialement
Dom
''Les seules fractions ''authentiques'' ont pour numérateur et pour dénominateur des nombres entiers positifs, donc aucune des écritures suivantes n'est celle d'une fraction: $\frac{-4}{3}$;$\frac{2^3}{4}$
8-)
Enfin, dans son livre il dit que les numérateurs et dénominateurs doivent être des entiers positifs donc (-4)/3, ok, ce n'est pas une fraction dans sa définition.
Mais pour l'autre je pense que c'est une coquille (je l'espère !!!) : $2^3/4$ est bien une fraction d'après lui !
Merci Mateo de partager le fruit de ce travail qui a dû être long j'imagine ! (tu)
C'est quand même incroyable de voir encore des gens chercher systématiquement "la petite bête" sans même prendre le temps de remercier le travail... 8-)
Est-ce volontaire (un choix assumé) ou est-ce ma perception (subjective) des choses ?
Édit : pour ma part je n’ai pas émis de critique sauf un « je l’espère » humoristique.
Bien sûr que c’est du boulot.
Désolé d'être idiot mais personnellement je ne comprends plus quand on utilise ce genre de raisonnement : un chien aboie donc aucun de ces animaux n'est un chat.
Prenons un exemple :
page 19 : une deuxième famille d'opérations : la multiplication et la division
entre la page 19 et la page 21 on a des exemples et des méthodes, bien illustrés dont je ne dis pas que c'est mal, mais je ne vois pas à quel endroit on dit ce qu'est une multiplication (hors exemple). On le devine : "additions répétées" pour les entiers mais ce n'est pas détaché (je m'interroge sur ce choix).
[small]Au passage, l'idée du robot qui réduit ses pas "réels" est une bonne idée pour expliquer la multiplication des décimaux non entiers.[/small]
.
Je demande pourquoi le choix ne pas avoir écrit du formel a été pris.
Idem pour "nombre rationnel" d'ailleurs : pour trouver l'information il faut lire tous les détails mais c'est "caché" dans une prose. Il est rare de ne pas détacher la définition mathématique du discours "décor" (ce n'est pas péjoratif !).
La rareté ne me dérange pas (je ne critique pas ça !) je suis seulement intrigué.
Edit : un argument qui me vient.
Si un élève a des doutes sur "c'est quoi un nombre rationnel", où trouve-t-il l'information rapidement ?
S'il ne sait pas du tout ce que c'est, le choix de prendre par la main avec des exemples, je le comprends, même si des détracteurs ont le droit de dire qu'ils sont contre. Mais une fois qu'on a déjà "su", faut-il tout reprendre ou bien savoir trouver un endroit en moins de trente secondes pour retrouver ce que c'est d'un seul coup ?
Cordialement
Dom
Je pensais au contraire que c’était un livre à destination d’un élève (s’il existe !) qui serait volontaire pour le lire régulièrement.