Heures de colle CPGE (non-)défiscalisation

Bonjour,
je ne sais pas si je poste au bon endroit, et pardonnez le ton employé, signe d'une colère réelle.
je ne sais pas non plus si le sujet a déjà été posté.
Au mois d'octobre, au moins dans mon académie, les manants venant faire des colles ont eu la surprise de voir une correction sur leur fiche de paye, avec forte augmentation de la CSG.
Aucune explication ne nous alors été donnée.
Elle vient de m'être fournie par le service concerné:

"Bonjour Monsieur,

Suite à votre demande, voici quelques explications concernant le bulletin de salaire du mois d'octobre 2019.

Avant la paye du mois d'octobre 2019, vos heures d'interrogation en CPGE étaient payées sous le code 0207 ; les services de la DPE sont intervenues sur la paye du mois d'octobre en remplaçant cette indemnité 0207 par l'indemnité 2249, car lorsque l'activité CPGE est inférieure à 50 %, les heures d'interrogation de CPGE n'entrent pas dans le cadre des heures défiscalisées, et doivent être codifiées en 2249.


Avant cette opération du mois d'octobre, les indemnités 0207 pour la période du 01/04/2019 au 31/08/2019 avaient bien eu un effet de défiscalisation et donc à tort pour les personnes qui auraient dû avoir leurs heures codifiées en 2249, la période du 01/01/2019 au 31/03/2019 n'ayant pas été impactée, car pas d'effet automatique de défiscalisation (opération effectuée sur octobre pour les personnes devant réellement percevoir la 0207)."
«1

Réponses

  • Eh ben, déjà qu’une heure de colle, ce n’est pas payé lourd…
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            -- Schnoebelen, Philippe
  • Bonjour, est-ce de l'humour Nicolas ?
    J'avais cru lire sur ce forum que les colles étaient grassement rémunérées (mais ça doit dépendre du statut évidemment - certifié, agrégé, etc.). C'était même "chasse gardée".

    Je demande sincèrement car j'ai eu l'impression qu'il s'agissait d'un jeu de mots avec "heures de colles-punitions".

    Qui peut intervenir pour préciser un taux horaire ?

    Sur le fond, la réponse officielle justifie une non-défiscalisation liée à moins de 50%.
    Bon, qui était au courant ? Depuis quand cette règle est-elle en vigueur ?
  • J'ai demandé la référence règlementaire de cette décision, la voici en PJ.
  • Je suis dans le même cas, c'est même rétroactif jusqu'au mois de janvier pour moi, alors que le décret n'a été publié qu'en février :-S
  • Bonsoir,

    "up" pour quoi exactement ?

    C'est une mésaventure mais ça semble être justifié par un texte.

    Cordialement

    Dom
  • Effectivement, si c'est justifié par un texte, ...
    Vous devez être du bon côté du texte ou pas concerné.
  • Ha mais non voyons ?!?!
    Je demande sincèrement ce que tu attends comme réponse.
    Je ne dévoile pas grand chose moi, je ne dis donc pas si cela me concerne de très près ou de loin.

    J’ai compris que tu étais en colère. Je trouve cela légitime.
    Des commentaires ont été proposés.

    Le « up » souvent est pour poser la question à nouveau faute de réponse.
    Du coup : quelle est ta question ?

    Édit : moi, j’en ai posé une à Nicolas d’ailleurs.
    Je « up » donc ;-)
  • Effectivement, la colère m'a fait upper un peu maladroitement, je n'en connaissais pas le mode d'emploi que je respecterai donc désormais.
  • Celles que j’ai pu faire étaient payés en gros au taux des HS (E si je me rappelle bien).
    Avec en prime la belle arnaque illégale de pondérer l’heure au nombre de taupins présents.
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            -- Schnoebelen, Philippe
  • https://aphec.fr/spip.php?article366

    Le taux de rémunération des heures d’interrogation est fixé selon une règle édictée par le décret n° 50-1253 du 6 octobre 1950 (cf. supra I A 1), modifié par le décret no 98-681 du 30 juillet 1998 : le tarif de l’heure d’interrogation résulte de la division par 36 du tarif de l’heure supplémentaire-année (HSA) amputé de 25 %.

    Il apparaît ainsi que le taux de l’heure de colle est étroitement lié à l’ORS de la classe :

    • ORS 8 pour les classes de deuxième année dont l’effectif dépasse 35 élèves

    • ORS 9 pour les classes de première année dont l’effectif dépasse 35 élèves ou pour les classes de deuxième année dont l’effectif est compris entre 20 et 35 élèves

    • ORS 10 pour les classes de deuxième année dont l’effectif est inférieur à 20 élèves ou pour les classes de première année dont l’effectif est compris entre 20 et 35 élèves

    • ORS 11 pour les classes de première année dont l’effectif est inférieur à 20 élèves.

    Une précision qui peut être utile à tous ceux qui interrogent des étudiants issus de « groupes » : dans un courrier daté du 22 avril 2010 et adressé à la « Société des Agrégés », la Direction Générale des Ressources Humaines du Ministère de l’Education Nationale confirme « que pour le calcul des taux des heures d’interrogations orales dans le cas d’un groupe d’élèves, il convient de prendre en compte l’effectif de la classe dont est issu le groupe. » [4]

    1) Taux valables pour tous les colleurs, à l’exclusion des professeurs de chaire supérieure (Taux en vigueur depuis le 1er février 2017)
    • ORS de la classe / Montant (€)
    • 8 / 64,28 €
    • 9 / 57,13 €
    • 10 / 51,42 €
    • 11 / 46,75 €

    2) Taux valables pour les professeurs de chaire supérieure (Taux en vigueur depuis le 1er février 2017)
    • ORS de la classe / Montant (€)
    • 8 / 75,38 €
    • 9 / 67 €
    • 10 / 60,30 €
    • 11 / 54,82 €
  • Donc quand tu interroges un groupe de 3 élèves de 2nde année d'une classe de 40 étudiants, tu perçois 64,28€ et pour les mêmes 3 élèves issus d'une classe de seulement 18 étudiants, tu perçois 51,42€ pour le même travail.
    Quand j'ai eu le malheur de dire une fois que ce n'était pas très normal, un gentil collègue de langues s'est offusqué et m'a rétorqué (depuis son clavier d'ordinateur) qu'avec des classes de 48 élèves il avait davantage de sujets à préparer donc que ça lui prenait davantage de temps. J'ai failli lui répondre qu'il n'était pas obligé d'interroger la totalité des 48 étudiants de ses 4 ou 5 classes mais je me suis (lâchement?) abstenu d'envenimer le débat.
  • Cela m'évoque cette citation de Sacha Guitry
    "Pourquoi en vacances s'obstine-t-on à choisir douze cartes postales différentes alors qu'elles sont destinées à douze personnes différentes ?"
  • L'heure de colle doit être payée le même tarif pour tout le monde disons 60€
    et doit être défiscalisée.
  • J’ai toujours connu des agacements (pour être léger) de toutes sortes au sujet de ces heures de colles.
  • L'heure de colle doit être payée le même tarif pour tout le monde disons 60€
    d'accord
    et doit être défiscalisée.
    Je suis opposé à la défiscalisation. Ca vaut pour les profits des ultra-riches (*), mais aussi pour mes heures supplémentaires.
    On défiscalise tout et après on s'étonne que l'Etat n'ait plus les moyens de maintenir la solidarité.

    (*) J'avais d'abord écrit des riches, mais étant dans le décile du haut, je fais évidemment partie des riches.
    Ce serait tout un débat.
  • Je suis le premier à penser et à dire les tarifs des heures de colles, c'est n'importe quoi (je n'ai jamais compris pourquoi ça dépendait de l'effectif de la classe). Cela dit, passer toutes les colles à un même tarif unique, ça me paraît aussi exagéré. Le temps de préparation pour une heure de colle en ECE 1ère année ou TB 1ère année n'est pas du tout le même que pour une heure de colle en MP*.
    Pour faire simple, sans être simpliste, je mettrais un tarif 1ère année et un tarif 2ème année.
  • Devoirs faits en collège, c'est plus rentable. Niveau préparation c'est 0, et niveau réflexion, bon...
    Et une HSE, c'est plus de 50 € de l'heure. Bon c'est vrai c'est n'importe quoi de payer deux personnes qui font le même travail à deux tarifs différents...
  • Sur la défiscalisation : c’est une réforme à court terme pour le pouvoir d’achat de ceux qui peuvent en bénéficier.
    Par contre, à long terme, en effet ça n’arrange pas les choses.
    Je rejoins aléa sur ce point.

    Les heures (colles ou autres), le tarif :
    On constate depuis longtemps des disparités pour la même tâche : selon la personne, ce sont deux coûts différents.
    Faut-il mettre un pied dans ce guêpier ? J’avoue ne pas savoir. Là ce serait une réelle réforme mais on devrait trouver beaucoup de grincheux...
    Un simple exemple : Professeur principal pour un agrégé qui aurait des 5e et professeur principal pour un certifié avec une classe liée à l’orientation (et donc avec un boulot assez colossale à côté du boulot en 5e).
    Bon, on peut tout de même proposer l’argument : « passe l’agreg puisque tu as compris que c’était mieux » tout autant que « passe le concours si tu veux les vacances des profs » ou « deviens cheminot si tu veux une retraite ”rapidement” » etc.
  • Dom a écrit:
    Là ce serait une réelle réforme mais on devrait trouver beaucoup de grincheux...

    Amusant présupposé que celui-ci : une réforme est synonyme de nivellement par le bas. Mais il est vrai qu'on nous a habitué à ça en France.
  • Oui oui je suis d’accord.
    Je voulais dire que ce ne serait pas un bricolage mais un vrai changement.

    Je sais bien que depuis un moment chaque initiative rend les personnes concernées perdantes.
  • Si je puis me permettre une remarque sur la fameuse défiscalisation: si je gagne 100 euros défiscalisés que j'utilise par exemple pour aller au restaurant, sur ces 100 euros entre la TVA, les charges patronales, l'impôt sur le bénéfice.....une grande partie va se retrouver fiscalisé de fait.
    C'est une histoire de comportement asymptotique ;-)
  • Ouais, ouais, mais tout le monde sait que les enseignants planquent 99,9 % de leur pognon aux îles Caïman et à Singapour (quand on parle du loup...), alors n'essaie pas de nous enfumer, hein !
  • malavita écrivait : http://www.les-mathematiques.net/phorum/read.php?18,1898200,1901888#msg-1901888
    C'est du second degré ?

    Je me permettrais une autre remarque,
    - d'une part, je suis certifié, et ne peux me payer un resto à 100€
    - d'autre part, sur ces 100€ il ne m'en restera, par rapport à vous, que entre 75 et 80, une fois toutes les charges et impôts déduits.
    Ensuite, je serais soumis au même comportement asymptotique que vous.

    Elle est limite méprisante, votre remarque.
  • Même agrégé, se payer un resto à 100 balles est de l’ordre de la promesse électorale intéressante et tenue.
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            -- Schnoebelen, Philippe
  • Je n'ai jamais prétendu aller seul au restaurant ;-) Par ailleurs le restaurant n'était qu'en exemple....si vous préférez dépenser 100 euros à le biocop, dans une librairie ou que sais je encore le raisonnement est le même ;-)

    A+
  • Moi, j'ai payé (pour 2 personnes) deux restos à 166 et 138 € respectivement, récemment.
    J'économise pas mal d'argent pourtant chaque année depuis que je suis prof (bien plus que quand j'étaits doctorant/ATER) !

    Bien sûr, ça se fait ponctuellement, mais ça se fait.
  • Ça fait tout de même un peu:
    "Il n'ont plus de pain, qu'ils mangent de la brioche",
    votre conversation.
  • Je ne pense pas qu’il s’agissait d’une remarque polémique ou méprisante.
    C’était juste pour dire que « défiscalisé » est un mot inapproprié.

    Un peut comme quand Bourdin dit à Villani « pour Paris, transports gratuits ? » et qu’il répond « ce n’est jamais gratuit, il y a toujours quelqu’un qui paye ».

    Pour les restos chacun met son argent où il a envie de le mettre.
    Sans blague si on est jugé pour ça maintenant, où va le monde ?!
  • L'apéro du samedi soir est déjà servi ?
    Karl Tremblay 1976-2023, je t'appréciais tellement.
  • Ce que dit malavita est, je suppose, une plaisanterie.
    Comme si le nombre d'impôts n'affectait pas le budget de l'Etat.
    Les taxes sont la forme la plus élémentaire de prélèvement étatiques, les plus simples à mettre en oeuvre, les seules parfois dans les pays les moins développés. Mais dès que les fonctions étatiques grandissent, on a besoin d'autre chose.
  • J'ai entamé ce post à la re-fiscalisation des heures de colles, celle ci étant réservée aux enseignants de CPGE.
    Cela n'a pas choqué grand monde, la sociologie de ce forum l'explique sans doute.
    Mais là, vous êtes en train de vous goberger sur vos resto à 160€, sur le fait que vous mettez un max de coté, ...
    Dans les salles de profs normales, vos collègues rament pour payer leurs traites, les études de leurs enfants, finir le mois...

    que défiscalisé soit approprié ou non, n'est pas le sujet, et vous faites ce que vous voulez avec votre argent, mais évitez svp de l'étaler aussi légèrement.

    A moins que vous ne me la jouiez style dîner de con
  • Oui, les certifiés ne sont pas assez payés. On l'a dit, on le sait tous.
    De là à dire que les profs ont du mal à finir le mois... hum.
  • Heureusement, il y a les cours particuliers. Dans le XVIème arrondissement, où les tarifs pratiqués sont raisonnables, il est en outre toujours loisible d'avoir avec la mère d'intéressantes discussions – d'ordre pédagogique.
  • Personnellement j'ai juste arrêté de donner des colles quand j'ai reçu cette info (et -400€ sur la paye de septembre). Après tout, si c'est 15 balles de plus de faire une HSA en STI2D, je ne vois pas pourquoi je refuserais, on ne travaille pas pour la gloire.
  • ronan a écrit:
    vous êtes en train de vous goberger sur vos resto à 160€

    Depuis le temps que l'on parle de "restaurant Mac Donald" ou de "restaurant KFC", force est de constater que le "resto" est à la portée du lumpenprolétariat....
    Liberté, égalité, choucroute.
  • Ramon Mercader
    intéressant, vous pouvez développer ?

    [Inutile de reproduire le message précédent. AD]
  • SchumiSutil : bien sûr que si, des profs ont du mal à finir le mois. Les raisons peuvent être multiples. Avec certains banquiers "bien intentionnés", c'est facile de s'endetter...
  • Allez voir les grilles de salaire d'un certifié: moins de 1500€ en début de carrière, 2000 après 25 ans, impôts à la source déduits.
    Enlevez les traites du logement familial, et ajoutez un ou deux enfants étudiants.
    Même avec un 2eme salaire, c'est dur; imaginez les collègues parents célibataires.

    Est-il possible de clore cette discussion?
    J'ai de plus en plus l'impression d'être le pauvre certifié invité (ou pas) à un diner de cons.
  • Avec la prime d’activité pour les smicards, le certifié débute à 30 € de plus. C’est Byzance.
    Algebraic symbols are used when you do not know what you are talking about.
            -- Schnoebelen, Philippe
  • Il est clair que le logement est LE vrai problème (lié au salaire bien sûr).

    Dans la Creuse ou dans une grande ville, le niveau de vie n’est pas le même.

    Et selon les situations : je loue, j'achète, je vis chez la tante de mon ami, etc.
  • Je connais une secrétaire catégorie C qui fume un paquet par jour.

    Si je ne me trompe pas, un restau à deux à 100€ par personne, c'est 22 jours de consommation de cigarettes pour elle.

    Si une catégorie C à l'INM 436 peut se payer en cigarettes plus d'un tel restau par mois, j'ose espérer qu'un certifié qui dépasse très rapidement cet indice pourrait se payer au moins une fois dans sa vie un tel restaurant.

    Dit autrement, mettre de côté 200€ sur une année, ce n'est pas plus de 0,55€ par jour ... Le prix d'un café imbuvable à certains distributeurs automatiques ... On arrête de boire cette merde tous les jours et on peut se payer un restau très cher.

    Après évidemment chacun met son argent où il veut, personnellement je préfère dépenser mes 100€ ailleurs que dans un restaurant [donc je n'ai jamais mis une telle somme dans un restau, et je n'ai jamais fumé non plus d'ailleurs] , mais il ne faut pas me faire croire que c'est impossible pour quelqu'un qui a un emploi régulier.
  • Et parfois, on se retrouve avec de grosses dettes qu'on ne pouvait pas prévoir...
  • A cinquante ans, si tu n'as pas fait un restau à 100 euros tu as raté ta vie. :-D

    [small]C'est du second degré, je ne le pense pas du tout.[/small]
    Karl Tremblay 1976-2023, je t'appréciais tellement.
  • C'est Jacques Seguela de l'EdNat...
  • Pratiquer l'amalgame n'est-il pas une faute grossière de raisonnement, qui plus est pour un mathématicien ?
  • Ha le fameux: salauds de pauvre, ils dépensent mal leur argent! Digne des meilleurs piliers de comptoirs, merci math2.
  • Je me souviens dans les années 90, une prof agrégée, mariée à un homme assez bien placé chez Air France (disons salaire d’au moins 40000 Francs de l’époque) avait dit à un de ses collègues « je ne sais pas comment tu fais pour t’acheter un magnétoscope ». Ce couple était sans enfants.

    Le collègue en question était agrégé, marié. Sa femme était mère au foyer. Ils avaient trois enfants.
    Ils partaient tous au sport d’hiver, tous les ans. (Sans héritage bien sûr, sans pactole....)

    « Salauds de pauvres » n’est pas idoine dans ce cas.
    Il s’agit certainement d’une mauvaise gestion ou d’un pépin que je ne connais pas.
    M’enfin, quand même, un magnétoscope...(que l’on a le droit de ne pas avoir mais sa phrase était bizarre quand même « j’sais pas comment tu fais... »).

    Bon il faut quitter la salle.
    Ça a trop dévié.
    Oui c’est injuste d’avoir non défiscalisé des heures supplémentaires.
    Oui, c’est « le jeu » ma pauvre Lucette.
  • Quitte à faire du hors sujet, je vous invite à aller faire un tour sur le site de la HATVP, vous pourrez constater par vous même l'extrême précarité dans laquelle vit Jean Michel B. pauvre fonctionnaire de catégorie A et à comparer ses revenus des années passées et son patrimoine. L'un des deux pouvant être celui d'un prof lambda....
  • @ héhéhé : je t'ai répondu en mp, mais pour faire court : chacun fait ce qu'il veut de son argent comme je l'ai écrit, donc je ne me permettrai pas de juger. Nous avons tous des envies / passions / hobbies différents et c'est tant mieux ...

    Mes deux remarques avaient simplement pour but de faire relativiser le montant annoncé ni plus ni moins, et montrer que pour quelqu'un qui aurait un salaire régulier, fût-il bas, et une passion pour des restaurants à ces prix là (ce qui n'est pas mon cas), c'est possible de s'en offrir un, une fois de temps à autre. Rien d'autre à aller chercher.
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