Preuve Syracuse fausse

Bonjour
et si nous démontrons que la conjecture de Syracuse est fondamentalement fausse, comme si nous démontrions que le produit d'un impair avec un entier pair pouvait être impair !!!
La preuve se concentre en une page ci-jointe en PDF, n'en déplaise à certains.

BERKOUK
«1

Réponses

  • Du coup n’as-tu démontré qu’elle était vraie jadis ?
  • Il a surtout démontré que tout nombre est pair.
  • Bonjour,

    Tu devrais t'associer avec Pablo, de pareilles bêtises avec des flèches, ce serait plus joli.

    Cordialement,

    Rescassol
  • Hello du coup avec ta démo jen déduis que

    1 4 2 1 4 2 1 4 2 1 n'est pas un cycle

    X:-(
  • Je tente une réécriture :
    1)
    Lemme :
    Si on a un cycle, alors le plus petit élément est impair.
    Oui.
    Idée de la preuve :
    s’il est pair, en le divisant par 2, comme il est non nul, on obtient un nombre plus petit encore.
    Ça, ça décoiffe. Bravo. On a avancé grandement.

    2) Je n’ai pas compris : tu dis que
    $P= \ produits \ des \ éléments \ du \ cycle$
    Puis tu dis que « quelque chose entraîne $P=1$ ».
    Il faut détailler.

    3) Une remarque : le lemme utilise l’hypothèse qu’il existe toujours un cycle.
    Est-ce si sûr ?
  • Berkouk,
    capable d'affirmer sans rire que 1x2x4=1 (cycle connu P=1 dit-il).
  • Dom,
    Toi, tu peux éventuellement prouver qu'une proposition est vrai, ou bien qu'elle est fausse. Mais tu n'es pas capable de prouver qu'elle est vraie et qu'elle est fausse.
    Parce que tu n'es pas très doué, tu n'es qu'un piètre mathématicien.
    Les mathématiciens de grande classe, comme Berkouk par exemple, sont beaucoup plus doués que toi. Ils peuvent parfaitement prouver une chose, et son contraire. C'est dans leurs compétences.
    Tu me dis, j'oublie. Tu m'enseignes, je me souviens. Tu m'impliques, j'apprends. Benjamin Franklin
  • Il suffit de se placer dans $\Z/7\Z$ pour que ce soit vrai, peut-être devrait-il s'intéresser à la conjecture de Syracuse modulaire.
  • Théorème : dans tous les $\Z/n\Z$ où 2 admet un inverse, la conjecture est vraie.
    Essayons déjà de démontrer cela.
  • Bonjour
    Dom a écrit:
    Puis tu dis que « quelque chose entraîne P=1 ».
    Il faut détailler
    c'est le processus de la conjecture :

    partant de n entier , on le multiplie toujours par quelque chose soit 1/2 s'il est pair , soit par (3+1/n)/2 s'il est impair alors les termes successifs constituent un Produit qu'on suppose la multiplication de ses termes COMMUTATIVE en isolant par TRI le sous produit PAIR puis le sous produit IMPAIR dont le Produit final aboutit à 1 comme le veut la conjecture , c'est à dire P=1 , ce qui conduit à la brisure de la loi de parité
    d'où la possibilité certaine d'avoir un contre -exemple




    BERKOUK
  • Mais peut-on savoir ce que vaut $P$.
    N’est-ce pas plutôt une suite des produits successifs $(P_n)$ ?

    J’essaye avec $n=4$.
    C’est quoi ton « $P$ » ?
  • 1/2 est pair ou impair ?
  • Comme Pablo, BERKOUK a oublié de prendre ses médocs on dirait...
  • Cela dit.
    L’approche du produit est peut-être intéressante (je ne me suis pas investi en ce qui concerne les avancées de cette conjecture donc je dis ça en naïf).
    C’est forcément croissant, oui, bon…
    Mais peut-être peut-on étudier (comment ?) des équivalents ou des choses comme ça.
  • Bonjour

    si on applique une multiplication de plusieurs termes de syracuse et on appliquant la commutativité on tombe sur une absurdité et un paradoxe :
    4*2*1 = 1
    par contre le processus Syracusien comme il impose pour chaque n entier une MULTIPLICATION de ses termes , impose aussi à chaque terme
    une DIVISION par soi même d'où l'aboutissement à 1
    4/4 *2/2 * 1/1 = 1

    autrement dit la MULTIPLICATION dans Syracuse n'est pas Commutative et dévore ses termes par la division par soi , pour ne laisser que le dernier , d'où P=1


    BERKOUK
  • C'est du grand guignol !

    Berkouk, reprends ton traitement !!
  • Oui, là, il faut dire…

    Par contre c’est bien dans le sens où on n’a pas de maths non plus.
    Les maths ça passe par l’utilisation de théorèmes et là c’est on ne peut plus vide.
    Je n’ai toujours pas compris ce qu’est ce $P$, le produit de quoi ?
    Ni pourquoi il vaut $1$.
  • On a un nombre pair.
    On le multiplie plusieurs fois, soit par 1/2, soit par (3+1/n)/2
    Et à la fin, on arrive à un nombre impair (on arrive à 1)

    Ceci est paradoxal, parce que un nombre pair qu'on multiplie plusieurs fois par des entiers ne peut donner qu'un nombre pair.

    C'est la structure de la démonstration de Berkoukh2.

    Il se trouve qu'on ne fait pas des multiplications par des entiers, mais par des rationnels (1/2 et/ou (3+1/n)/2 ).
    Et donc, toute la démonstration s'écroule.

    La canicule tape fort !
    Tu me dis, j'oublie. Tu m'enseignes, je me souviens. Tu m'impliques, j'apprends. Benjamin Franklin
  • Bonjour
    Lourrain a écrit:
    Ceci est paradoxal, parce que un nombre pair qu'on multiplie plusieurs fois par des entiers ne peut donner qu'un nombre pair.

    C'est la structure de la compréhension de Lourran

    le produit de tout pair n par 1/2 , donne (n*1/2) entier ou de tout n impair par (3+1/n)/2 donne (n*(3+1/n)/2 ) entier
    LES TERMES DU PRODUIT SONT ENTIERS ( et non rationnels )

    BERKOUK
  • Bonsoir.

    Si je peux me permettre, il me semble que les rationnels sont plutôt les $\frac{1}{2}$ et $\frac{3n+1}{2}$ dont il est question.

    Multiplier un nombre pair par un demi donne bien un entier et multiplier un nombre impair par 3, lui ajouter un et diviser par deux conduit aussi immanquablement à un entier.

    Bref, à part paraphraser la conjecture, je ne vois pas où est l'argument déterminant.

    Avant de tenter une démonstration vraie ou fausse, il faudrait commencer par faire une tentative de démonstration, de préférence sensée.

    À bientôt.

    Cherche livres et objets du domaine mathématique :

    Intégraphes, règles log et calculateurs électromécaniques.

  • Dreamer permets-moi de te briefer brièvement sur notre ami BERKOUK.

    Il faut savoir que BERKOUK a quelques démonstrations à son actif : voir ici https://vixra.org/author/berkouk_mohamed.

    Ici sa dernière version de la démonstration de la conjecture de Collatz : https://vixra.org/pdf/1507.0200v5.pdf

    Personnellement j'affectionne son PDF sur la démonstration de la conjecture de Goldbach ici https://vixra.org/pdf/1507.0196vH.pdf.

    À la page 4 du document susmentionné on pourra trouver son fameux théorème 3 (une perle). Je vais quand même faire un copié-collé de son énoncé car il le vaut bien :

    3° THEOREME-3 :

    a) Seule la multiplication de 2 nombres impairs donne un produit impair.
    Dans tous les autres cas, le produit est pair.
    Et
    b) La somme de deux nombres de même parité est un nombre pair.
    La somme de deux nombres de parité différente est un nombre impair.
  • Merci Raoul.S.

    C'est vrai qu'élever de telles affirmations au rang de théorème est spécial.

    J'ai ouvert le deuxième document par curiosité, quatre théorèmes, et non des moindres (deux conjectures et deux vrais théorèmes, celui des nombres premiers et le postulat de Bertrand, mais que j'ai vu autrement) en près de 5 pages, démonstration comprise, c'est bluffant.

    Et tout cela participe à démontrer la conjecture de Goldbach, donc vouloir maintenant montrer qu'un des éléments est faux, qu'est-ce que cela implique ?

    À bientôt.

    Cherche livres et objets du domaine mathématique :

    Intégraphes, règles log et calculateurs électromécaniques.

  • Bonjour


    avec Raoul.S , on saute du coq à l'âne avec cette manie de fouiller dans mes archives sans raison (s) évidente (s) .


    BERKOUK
  • A raconter souvent n'importe quoi, on s'expose à voir réapparaître ses âneries.
  • Bonjour

    le processus Syracusain peut être vu comme P = produit des termes pairs et impairs constatée dans la trajectoire et aboutissant à 1.

    partant de n entier , on le multiplie toujours par quelque chose soit 1/2 s'il est pair , soit par (3+1/n)/2 s'il est impair alors les termes successifs constituent un Produit qu'on suppose la multiplication de ses termes COMMUTATIVE en isolant par TRI le sous produit PAIR puis le sous produit IMPAIR dont le Produit final aboutit à 1 comme le veut la conjecture , c'est à dire P=1 , ce qui conduit à la brisure de la loi de parité
    d'où la possibilité certaine d'avoir un contre -exemple.

    qui peut être vu aussi comme un plan de démonstration Syracuse-Fausse

    Syracuse repose sur la conjonction de propriétés Multiplicatives (M) suivies de propriétés divisionnelles (D) , qui tendent à s'égaliser en fin du parcours pour aboutir à un ratio ( M/D = 1 )

    en ce qui concerne Syracuse -Fausse s'explique par le facteur multiplicatif (3+1/n)/2 toujours inférieur au facteur divisionnel 2 , autrement dit M/D = 1 pour n seulement = à 1 .le retournement des autres n différent de 1 est conditionnée par le rapport des termes impairs dans la trajectoire sur celui des termes pairs qui ne doit franchir la barre de ( log2/log3=0.630929753) .

    les contres exemples fleurissent donc, dans l'intervalle ] 0.630929753..; 1[ ( qui reste à explorer )


    à vos Ordi.


    BERKOUK
  • Quel charabia, mais quel charabia ! Ça t'ennuyerait de t'exprimer normalement, comme un être humain ?

    Réécris le même message, mais en français (et sans capslock). On verra s'il a un vrai contenu.
  • BERKOUK2 fait partie de ces gens qui croient très intelligents parce qu'ils emploient un vocabulaire sophistiqué. Ça marche certainement au bal du village, mais face à des gens qui ont un minimum de connaissances, c'est simplement ridicule. Du vent, comme d'habitude.
  • Oui, je m'en doute. Entre "processus syracusain", "brisure de la loi de parité"... il essaie peut-être de se donner un style savant, mais le seul style que ça lui donne, c'est prétentieux.

    Son pseudonyme laisse indiquer qu'il n'est pas forcément français de France d'origine française, mais le forum reste francophone. Alors je me permets d'exiger qu'il parle en français normal prévu pour les humains francophones, avant de m'intéresser à ce qu'il raconte.
  • Bonjour
    Homo Topi a écrit:
    Quel charabia, mais quel charabia ! Ça t'ennuyerait de t'exprimer normalement, comme un être humain ?

    tous les êtres humains doivent parler Français dans la limite du lexique Homo-topin sinon c'est de l'Arabe incompris par les Impérialo-réactionnaires ...

    @Poirot : ou sont vos math...?



    BERKOUK
  • Bonjour;
    Berkouk a écrit:
    tous les êtres humains doivent parler Français dans la limite du lexique Homo-topin sinon c'est de l'Arabe incompris par les Impérialo-réactionnaires ...
    HomoTopi, a parfaitement raison, c'est du pur charabia.
    Sinon, je ne vois pas ce que l'arabe viens faire dans l'histoire, ni d'ailleurs l'impérial, ni non plus le réactionnaire, je ne connais pas ces langues là.
    En clair, tu es incompréhensible.

    Cordialement,

    Rescassol
  • Tu es comme les autres Shtameurs qui estiment que le monde entier doit s'adapter à eux. Tu vas probablement rester dans le déni (comme les autres Shtameurs) mais je vais t'apprendre un truc : ce n'est pas le cas.

    Nous autres, nous avons tous dû faire nos preuves dans un système où tout le monde fait l'effort de parler le même langage : du français normal et des mathématiques précises. Si tu veux communiquer avec nous, tu dois te conformer à ça, c'est comme ça. Sinon, tu continueras à être rejeté par presque tout le monde comme c'est le cas maintenant. La balle est dans ton camp.

    Réécris ton message en t'exprimant comme un humain normal qui s'adresse à des humains. Et là on discutera du contenu.
  • En clair, écris ton texte dans ta langue d'origine et passe le sur google trad, ça sera plus compréhensible et moins pompeux qu'actuellement !
  • Bonjour

    si vous n'avez compris les premières idées sur mon introduction de "Syracuse-Fausse" c'est grave , je pense plutôt que c'est le déni de réalité , ou d'un mécanisme de défense nommé Forclusion , sinon il faudrait changer du "sexe " ...


    BERKOUK
  • Mais pourquoi il parle de sexe maintenant ?
  • On a compris que tu écrivais n'importe quoi, c'est bien ça qu'il fallait comprendre ?
    Tu me dis, j'oublie. Tu m'enseignes, je me souviens. Tu m'impliques, j'apprends. Benjamin Franklin
  • RLC : Parce qu'il est complètement cinglé ? Des fois, faut pas chercher midi à quatorze heures...

    BERKOUK : ton fameux "processus syracusain", ça s'appelle "la suite de Syracuse". En mathématiques, on utilise généralement le terme de "processus" pour les processus aléatoires, en théorie des probabilités, mais ici la suite de Syracuse est un truc totalement déterministe. Ne change pas le nom d'un problème célèbre, tu n'as aucune raison de le faire et ça ne sert à rien. Surtout que celui-là a déjà un paquet de noms simples et reconnus : conjecture de Syracuse, conjecture de Collatz, problème $3x+1$...

    Bon. Je suis d'humeur très gentille, alors je vais quand même te répondre par des maths.

    Ce que tu affirmes, c'est qu'on peut résumer une suite de Syracuse à un produit qui vaut $1$. Le problème, c'est que déjà ça, on n'en sait rien du tout : si la suite de Syracuse aboutit au cycle $4,2,1$, là, oui, effectivement, on peut envisager ton approche. Mais ça ne sert à rien : partant d'un entier $n$, il faut savoir si sa suite de Syracuse aboutit effectivement au cycle $4,2,1$ pour l'écrire comme un produit qui vaut $1$. Mais si on sait ça pour cet entier $n$, à quoi le produit va-t-il servir, puisqu'on saurait déjà que $n$ n'est pas un contrexemple à la conjecture ?

    Tout le problème est là : toute suite de Syracuse qui aboutit à un cycle (pas forcément le cycle $4,2,1$ !) pourra en effet se résumer à un produit fini, celui des opérations qui conduisent à démarrer ce cycle. Sauf qu'un cycle n'est pas forcément $4,2,1$, donc il se peut très bien que ce produit fini vale autre chose que $1$. Pire encore, si une suite de Syracuse n'aboutit pas à un cycle, alors ton produit est infini et donc inutilisable.

    Ton histoire de "brisure de la loi de parité", outre le fait que personne ne sait ce que tu appelles la "loi de parité", ça n'a aucun sens non plus. Dans ton produit fini qui vaut $1$, tu parles de termes pairs et impairs, mais ça n'a aucun sens de parler de parité ici puisqu'à part $n$, il n'y a que des fractions dans ce produit. Tu multiplies $n$ soit par $\dfrac{1}{2}$, soit par $\dfrac{3 + 1/n}{2}$, et à chaque fois, tu obtiens un résultat entier qui est soit pair, soit impair. D'accord. Cependant, comment veux-tu "trier" quoi que ce soit ?

    Je te l'écris : d'après tes hypothèses, on va avoir $\boxed{1=n \times \bigg( \dfrac{1}{2}\bigg)^{A} \bigg(\dfrac{3 + 1/n}{2} \bigg)^B}$. Ton $P=1$, c'est ça. Comment veux-tu séparer ça en deux produits, un produit de machins pairs, et un produit de machins impairs ?
  • Cela n’a pas encore été soulevé mais on a ça : « un Produit qu'on suppose la multiplication de ses termes COMMUTATIVE ».
    Réglons ce point : la multiplication est commutative.
    Ici, comme l’a encadré Homo Topi, qui mine de rien a fait le boulot que tu n’as pas réussi à faire, appliquer Syracuse, c’est appliquer une fonction $S$ plusieurs fois et cela revient à multiplier l’entier de départ plusieurs fois par quelque chose (« qui change »).

    Maintenant, je pense qu’il faudrait un raisonnement asymptotique pour contrarier Syracuse.

    Avant, il faut peut-être prouver que la formule est juste.
    Admettons que je ne sois pas convaincu : comme les maths, c’est convaincre tout le monde, je veux bien attendre une démonstration de BERKOUK de cette formule.
    Quelque chose de quantifié !!!
    Puisque c’est simple, il devrait y arriver.
  • Bon je tente une trad, si BERKOUK2 veut bien s'y rattacher..

    On se fixe $u_{0}\in\mathbb{N}^{*}$, et $\left(u_{n}\right)_{n\geq1}$ définie par la récurence $u_{n+1}=\beta_{n}u_{n}$,
    où $\beta_{n}=\frac{1}{2}$ si $u_{n}$ est pair et $\beta_{n}=\frac{1}{2}\left(3+\frac{1}{u_{n}}\right)$ sinon.

    Alors pour tout $n\in\mathbb{N}^{*}$, $u_{n}=a_{n}u_{0}$, où $a_{n}=\left(\prod_{i=0}^{n-1}\beta_{n}\right)$.

    On sépare les cas où $\beta_{n}=\frac{1}{2}$ et ceux où $\beta_{n}=\frac{1}{2}\left(3+\frac{1}{u_{n}}\right)$ :
    $I_{n}=\left\{ i\,,\:0\leq i\leq n-1\:et\:\beta_{i}=\frac{1}{2}\right\} $ et $J_{n}=\left\{ i\,,\:0\leq i\leq n-1\:et\:\beta_{i}=\frac{1}{2}\left(3+\frac{1}{u_{i}}\right)\right\} $.

    Ainsi, $a_{n}=\left(\prod_{i\in I_{n}}\frac{1}{2}\right)\left(\prod_{i\in J_{n}}\frac{1}{2}\left(3+\frac{1}{u_{i}}\right)\right)=\left(\frac{1}{2}\right)^{n}\left(\prod_{i\in J_{n}}\left(3+\frac{1}{u_{i}}\right)\right)$.

    La conjecture dit qu'il existe $k\in\mathbb{N}^{*}$tel que $a_{k}=\frac{1}{u_{0}}$....
    .
    .
  • Berkouk dit que partant d'un entier n, on fait une succession de multiplications.
    Par exemple, partant de 7, on multiplie par 22/7 pour arriver à 22, puis on multiplie par 1/2 pour arriver à 11 etc etc.

    Dans ces multiplications, il y a des multiplications par des nombres pairs (22/7 est un nombre pair). Donc on ne peut pas arriver à un nombre impair.

    Il nous dit donc que partant d'un entier quelconque, on ne peut pas arriver à 1. C'est beaucoup plus fort que ce qu'on cherche habituellement.
    Habituellement, on se demande si il y a des nombres qui n'arriveraient pas à 1. Lui a démontré que aucun entier ne peut arriver à 1.

    Et donc, notre exemple partant de 7, nous, simples matheux, nous croyons que le processus donne 7.22.11.34.17.52.26.13.40.20.10.5.16.8.4.2.1
    Mais c'est une illusion, une chimère. Le chemin partant de 7 puis 22 comporte un nombre pair, il ne peut pas passer par 1, puisque 1 est impair.
    Tu me dis, j'oublie. Tu m'enseignes, je me souviens. Tu m'impliques, j'apprends. Benjamin Franklin
  • Bonjour

    aprés ce changement de sexe , je remercie les deux derniers intervenants d'avoir percer le sujet de mon introduction ; j'en prend quelques notes :
    Homo Topi a écrit:
    si une suite de Syracuse n'aboutit pas à un cycle, alors ton produit est infini et donc inutilisable.

    effectivement , mes hypothèses ne marchent que quand "Syracuse " diverge , en il n'y a jamais divergence car je "pense" , comme dans la suite de G.Stein quelque soit le sommet atteint ,la suite finira par cycler ,pas forcément à 1 , alors là je pense aussi le prouver en utilisant les GRANDS CARDINAUX pourquoi pas .
    Homo Topi a écrit:
    d'après tes hypothèses, on va avoir 1=n×(12)A(3+1/n2)B. Ton P=1, c'est ça. Comment veux-tu séparer ça en deux produits, un produit de machins pairs, et un produit de machins impairs ?


    la "Loi de parité " j'avais appelé ailleurs " THEOREME 4 " que Raoul.S vous a rappelé à maintes reprises ...bref

    le coeur de la future démonstration réside dans l'astuce de séparer les termes impairs des termes pairs du produit P= 1 , (ou tout autre nombre impair ) et de constater par exemple , que le produit des termes pairs et impairs donne 1 au lieu d'un nombre PAIR , d'où la contradiction avec le "THEOREME 4" ou la "Loi de parité"....

    Dom a écrit:
    Maintenant, je pense qu’il faudrait un raisonnement asymptotique pour contrarier Syracuse.

    à mon tour de pas comprendre cette phrase ( à détailler SVP )




    BERKOUK
  • Dans quelles mathématiques on apprend qu'une fraction a une parité ?
  • Je n'ai aucune idée de quel "théorème 4" il est question. Mais bien sûr, tu vas me dire de me débrouiller pour le retrouver tout seul, au lieu de me diriger vers ce fameux résultat.
  • Je pense qu'il faudrait tester la théorie de Berkouk, à la lumière des nombres faiblement pairs et faiblement impairs
  • Au sujet du raisonnement asymptotique : (expression très courante qui signifie vulgairement « voir ce qui se passe en l’infini »)
    S’il existe un entier pour lequel ça ne cycle pas, alors on démontre que la suite tend vers l’infini (j’ai en tête un raisonnement assez simple).
    En trouvant un équivalent, si on trouve qu’il est possible que ça tende vers l’infini, c’est qu’on peut nier la conjecture.

    Ça ne dit rien cependant sur l’existence d’un autre cycle (car un autre cycle, ce serait « loin » de l’infini)
  • Bonjour

    @Homo Topi :

    Pardon , théorème 3 au lieu du théorème 4 :

    3° THEOREME-3 :

    a) Seule la multiplication de 2 nombres impairs donne un produit impair.
    Dans tous les autres cas, le produit est pair.
    Et
    b) La somme de deux nombres de même parité est un nombre pair.
    La somme de deux nombres de parité différente est un nombre impair.


    @Médiat : qu'attends -tu pour le faire


    BERKOUK
  • Le théorème de la parité...

    Aujourd'hui , Berkouk2 publie une démonstration qui prouve que la conjecture de Syracuse est fausse.
    C'est pour compléter son travail. Jusque là, il avait publié une preuve que la conjecture était exacte.
    Maintenant, il considère qu'il a fait le tour du problème, il a publié les 2 preuves.

    Dans sa précédente publication, quand il prouvait que la conjecture était exacte, il avait structuré sa démonstration en lemmes. Et il avait démontré chacun des lemmes en question.

    Un des lemmes disait : Le produit de 2 entiers est un nombre impair si et seulement si les 2 entiers sont tous les 2 impairs. C'était visiblement l'étape 4 de sa démonstration.
    Et il avait donc démontré ce résultat.

    Voilà l'histoire de ce théorème 4.
    Un théorème fondamental, prouvé par Berkouk2.
    Tu me dis, j'oublie. Tu m'enseignes, je me souviens. Tu m'impliques, j'apprends. Benjamin Franklin
  • Attention HT : à chaque fois on utilise le terme précédent pour faire 3x + 1. C'est donc plus compliqué que simplement $(3 + \frac{1}{n})^{B}$ !
    Sinon, en remarquant que $a \frac{1}{a} = 1$, on peut partir d'un nombre $x$ et écrire que on a toujours autant de nombres qu'on veut tels que $xa_{1}...a_{n} = 1$ !
    En séparant encore pairs et impairs c'est évidemment impossible. Berkouk nous a donc ouvert les yeux : tous les facteurs doivent être impairs. On en déduit le théorème : tout nombre réel est impair.
    Merci infiniment ô grand Berkouk de nous avoir montré le chemin, bien au-delà de nos préjugés impérialistes qui nous aveuglaient depuis des siècles. J'ai peur que les très malfaisants amoureux de la langue française n'acceptent jamais une telle découverte cependant, vous connaissez leur hostilité envers les étrangers, fussent-ils aussi géniaux.

    Encore merci ! Merci merci merci !
    A votre place ô Berkouk l'unique je ferais vite une publication de la preuve, sous un nom français pour que les coloniaux la prennent au sérieux (par exemple Jean-Eudes Dupont), afin de gagner le million et surtout changer à jamais les mathématiques et leur mauvais usage par les soi-disant génies occidentaux.
    J'ai honte d'Euler maintenant, j'ai même honte de l'avoir admiré à une époque.

    Mais j'imagine que c'est la modestie suprême qui pousse à publier publiquement cette preuve géniale. On n'en finirait pas de dresser une éthopée de Berkouk le Magnifique.
  • Dom : c'est marrant. Moi, il me reprochait mon vocabulaire limité quand je lui demandais d'écrire son texte en prenant en compte que ses lecteurs sont des humains, parce que je ne comprenais pas son fabuleux vocabulaire à lui. Paf, tu claques une fois le mot "asymptotique", et y'a plus personne... il parle de grands cardinaux mais je doute qu'il ait la moindre compréhension de ce que c'est.

    BERKOUK : le problème dans le $P=1$, c'est que les termes du produit sont des fractions, donc ils n'ont pas de parité. Tu ne peux pas séparer le produit en termes pairs/impairs.
  • Les gars faut lire quoi http://www.les-mathematiques.net/phorum/read.php?43,2288330,2288538#msg-2288538 c'est le théorème le plus connu de BERKOUK.
  • RLC : tu as raison, mais du coup, c'est encore pire.
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